La guerre, synonyme de l'amour ?

Chapitre 1

Un monde fantastique, divisé en plusieurs royaumes, où d'étranges créatures y vivent. Des nains, des trolls, des elfes, des gigantesques animaux... mais je ne suis qu'une humaine.

Je vis dans une petite ville nommée Lacville. Les bâtiments, maisons en pierre sont abimés. Les pontons en bois sont fragiles usés par l'eau qui entoure la ville. Les habitants sont vêtus de vêtements rongés par l'humidité. La nourriture est principalement composée de poisson mais elle manque. Le Maître de notre village ne vit que pour la richesse. Il nous prend notre nourriture, nos vêtements potables, nos richesses.

En face de nos habitats, une énorme montagne qui autrefois était habité par les nains, la montagne solitaire. Maintenant, c'est un dragon Smaug qui y vit.

Le Maître égoïste ou la menace du dragon me pousse à quitter cette maudite ville, mais mon frère et mes neveux souhaitent rester ici et je ne peux m'y résoudre de les laisser. Mon frère Bard, un batelier, c'est glissé dans une révolte pour offrir nourriture et reconnaissance aux habitants. Alors je l'accompagne dans sa lutte, partant à la pêche ou à la chasse dans les environnements qui encercle notre ville. Alfrid, le bras droit du Maître et les gardes soupçonne notre complot. Alors ils nous surveillent nous forçant à être vigilant.

En ce jour sombre, la pluie est présente. Je me suis vêtue chaudement pour me rendre à ma corvée du jour. Je suis chargée d'entretenir le matériel, les armures et les armes des gardes du Maître. Je traine la patte à chaque fois que je m'y rends mais je n'ai guère le choix. C'est un ordre de notre cher Maître.

Alors que j'aiguise la vingtième épée de la matinée, deux jeunes femmes que je considère comme des collègues, s'approchent légèrement de moi. Les étincelles qui s'échappent du contact entre la lame et la pierre ronde, les empêche d'avancer plus près.

« Étilda, tu viens manger ? Demande Jina.

-Non, je n'ai pas faim. Merci. Dis-je avec un léger sourire.

-Je me demande pourquoi nous te posons la question. Je ne t'ai jamais vu prendre une pause. Ricane Ladir.

-Plus vite mon travail est fait, plus vite je pourrais sortir chasser. Affirmai-je les yeux rivés sur mon action.

-Il faut que tu arrêtes de ramener de la viande pour les habitants. Ils vont le comprendre et tu risques la peine de mort. Murmure Ladir.

-Ladir, la ville est à l'agoni ! Je ne peux pas laisser les habitants mourir de faim. Chuchotai-je sèchement.

-Vient Jina, ne restons pas ici. Quelqu'un nous a peut-être entendu et je ne veux pas être pendu avec elle. Marmonne agressivement Ladir. »

Alors que la femme blonde, Ladir me regarde avec mépris, Jina semble comprendre mon intérêt à mettre ma ville en péril pour les habitants. Elles s'en vont toutes les deux avec des sacoches en cuir qui contiennent leur déjeuner.

« Je sais que tu as faim, petite sœur. Surgit une voix masculine derrière des sacs en toiles.

-Bard ? »

Un grand brun, les cheveux arrivant aux épaules et une barbichette apparait et me sourit sincèrement. J'arrête d'aiguiser l'épée, la jette dans le tas des armes et soupire bruyamment.

« Je peux savoir ce que tu fais ici ? Tu devrais plutôt t'occuper de mes merveilleux neveux.

-Je suis bien obligé de m'occuper aussi de ma petite sœur intrépide, sinon tu vas mourir de faim. »

Il sort de sa cachette et sort quelque chose de sa bandoulière. Cela semble être un sandwich emballé dans une feuille de chêne. Il me tend le déjeuner en insistant bien du regard sur moi.