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Nous sommes en début d'hiver, une épaisse robe maculée décorait toutes la capitale et ses régions alentour.
C'était bientôt Noël.

Récemment, tu avais postulé pour un rôle à l'opéra de Paris ton anxiété ne faisait qu'accroître t'es crainte si tu ne serais pas accepté là-bas.
C'était ton rêve depuis enfant.

Mais la semaine suivante, tu ressus une lettre. Pas n'importe quelle lettre, c'était une lettre d'admission !
Tu fut soulagé(e) d'avoir été accepté ton rêve pouvait enfin ce réaliser !
Par contre, vu que tu travailleras là-bas pendant un certain temps il te serait inconcevable de retourner tout les soirs chez tes parents sachant que tu ne vis même pas à la capitale !
Du moins aux alentours.

Tu décida donc d'informer tes parents de cette merveilleuse nouvelle.

-Père , mère j'ai une excellente nouvelle à vous annoncer !

-Quel est cette nouvelle ? Ce questionna ta génitrice, intrigué par ta bonne humeur et ta voix qui semblait être rayonnant

-J'ai le plaisir de vous annoncer que je viens d'être admis(e) à l'opéra de Paris !
Dît tu d'une voix encore plus enjouée

-A la bonne heure ! J'espère que tu feras la fierté de la famille ! Dit ton père d'un air peut convaincu

-Cheri, ne soit pas si dur. C'est pas facile de trouver un travail où autre. Tu le sais mieux que personne !

-A son âge on ne se pavaner pas à rêver d'aller dans un endroit de riche ! C'est n'importe quoi.

-Père je sais que vous êtes inquiet pour moi, mais ne vous en faite pas. Je vous promets de réussir à la tâche qui me sera convié(e) j'en fais le serment.

-Tres bien, qu'il en soit ainsi. D'ailleurs (ton nom) c'est tu quand esque tu commencera à travailler là-bas ?

-oui dans une semaine.

-Mais tu est au courant que Pars c'est pas la porte à côté non plus hein ? Dit le père impeux plus inquiet

-Hereusement que ta tante vis là-bas. Dit ta mère pour calmer les inquiétudes de ton père

-Tante Georgette ? Je ne savais pas qu'elle vivait là-bas ! Mais c'est une excellente nouvelle ! Merci mère !

-Derien mon/ma fille/fils. Dit elle d'une voix bienveillante et douce

-Bien. Sur ce viens m'aider à nourrir les bestioles. Tu t'occuperas de tes bagages plus tard. Nous avons tous le temps derrière nous. Interpella ton géniteur d'une voix assurée et roque

Tu acquiesça les mots de ton père et l'accompagna à l'étable où était abriter les bovidés.

Plus tard dans la journée tu étais seul(e) à pensé à tout et à rien. Quand soudain quelq'un te cacha les yeux comme pour te faire une surprise.

-Qui est là ?!

-Tinquiete pas ce n'est que moi !

-Hugues ! Mon vielle ami ! Mais ça fait longtemps !

-Ouais ça fait un bail en effet.
Alors, ça donne quoi ? T'a enfin réussi à postuler ? T'a eu un travail apparemment ? C'est où ?

-Alors ouais j'ai était admis(e) a Paris. Mais je te dit pas c'est quel endroit sinon c'est pas du jeu ensuite je commence ma nouvelle aventure la semaine prochaine ! C'est pas la classe ça ?

-Bah si carrément ! Franchement je suis vraiment heureux pour toi (ton nom).

-Bon je vais pas trainer trop longtemps j'ai promis à mes collègues que je paierai la tournée on a eu une bonne pêche ce matin et il faut fêter ça ! Si tu veux tu peux venir, comme ça on fêtera en même temps ton admission à ton premier vrai boulot ? Quand dit tu ?

-Ouais carrément ! Super idée merci beaucoup Hugues !

Tu accompagna ton ami d'enfance pour fêter ton nouveau boulot et la super récolte de poisson ?

La fête battait son plein et tu tamusa comme un/une fou/fole.

La nuit était tombée et tu décida de rentrer chez toi pour decuver. Ton ami était bien trop bourré pour t'accompagner, mais vu que c'était juste à côté de chez toi tu y allas seul(e).

~~~~~~

Plusieurs jours on passé, c'était la veille de ton départ.
Tu commença à préparer tes valises pour partir chez ta tante à la capitale.
T'es parents étaient assez émue de voir que tu quittes le nids familial, mais c'était ainsi. Hugues t'attendais depuis ça charette car c'est lui qui allait te déposer chez Georgette.
Car pile au bon moment il avait des choses à faire à la capitale.
Alors vous vous êtes arrangée que tout se passe comme des roulettes.

La muse du fantôme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant