L'empereur le regardait avec un regard froid qui aurait pu le tuer s'il l'avait voulu.
Il souriait.
Mais les deux mots qu'il prononça étaient si dur qu'ils aurait pu fendre une montagne.
L'homme en face frissonna.
L'empereur avait droit et pouvoir sur toute personne résidant sur cette terre.
Le contrat, obligeait les gens à obéir à ses moindres, ordres, grâce à de la magie puissante.
Les chevaliers ne fais pas exception, mais il ne pouvait pas obéir.
Le chevalier aimait bien trop sa dame.
Le chevalier vacilla mais tint bon.
Laura de l'empereur et sa magie faisait pression sur lui pour le forcer à exécuter son ordre.
Par miracle, il n'obéit pas.
Cependant, l'empereur se répéta et ses mots furent plus tranchant que ça hache.
« Perceval, tue-la »
Il ne résista que quelques secondes supplémentaires puis ce vue obligé de brandir son arme sur Sinope.
Sa dame.
Sa vie.
Son amour.
Elle aurait dû le détester pour ce que Perceval s'apprêtait à lui faire.
Mais au lieu de cela, elle le regardait droit dans les yeux pleine a ras bord d'amour et d'affection.
Elle comprenait.
L'ordre de l'empereur retentit une troisième et dernière fois.
« Tue-la »
En un coup, Perceval trancha la tête de l'amour de sa vie.
Sa dame.
Il n'eut même pas le temps de lui dire qu'il l'aimait.
Qu'il était désolé.
Le mal était fait.
Elle était morte.
Il s'écroula de chagrin et cru mourir.
Mais même un dragon ne parviendrait pas à bout de Perceval.
Alors comment le chagrin le pourrait?
L'empereur lui, fixait le corps Gisant à même le sol du chevalier, comme si l'amour qui l'habitait était une maladie contagieuse.
« tu devrais me remercier, grâce à moi, tu ne portes plus ce poids inutile qu'est une femme. Maintenant, tu es digne d'être mon chevalier. »
Perceval se redresse ça, la colère faisait bourdonner ses oreilles.
« Sinope était ma dame, la force de mon cœur. Elle était la source de ma force et non un poids. Sans elle, je ne suis plus digne d'être un chevalier. Même morte, elle fait battre mon cœur. Aujourd'hui, je vais arrêter le tien pour que tu paie la dette que tu lui dois. Ta mort sera ma vengeance. »
Sur ces mots, Perceval, selon ça son épée avide de sang en main. Il était à dix mètres de sa cible. L'empereur hurla.
« Per... »
Plus que neuf mètres.
« Perceval... »
Plus que six mètres.
« Perceval m... »
Plus que trois mètres
« Perceval meu... »
Un mètres.
« perceval meur ! »
Souffrance.
La lame s'était figé en même temps que le chevalier en deuil, dans le cou ruisselant de sang de l'empereur.
Peur.
Un chevalier et un monarque sentent le battement de leurs cœurs ralentir.
Néant.
Dernière respiration.
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La Lame
Short StoryPetite nouvelle/poème très court et en une partie. tout est dit dans la couverture.