Alibi

chapitre 1

"13 octobre 2024, la jeune Juniper Gray a été retrouvé morte dans sa chambre vers la fin de la soirée lorsque ses parents furent revenus d'une soirée entre amoureux. La cause de son décès demeure toujours un mystère pour les autorités local"

-14 octobre 2024-

Je fermai doucement le journal avec un petit sourire aux lèvres, nous étions enfin débarrassés de cette pétasse. Vous devez vous posez cette fameuse question qui vous brule la langue, qui a tué Juniper ?? je suis malheureusement dans l'obligation de vous répondre, j'en ait aucune putain d'idée. Je lançai un petit regard vers ma mère qui mangeait doucement seul dans le salon posé sur son fauteuil, elle avait la même routine tous les jours. C'était triste à voir, depuis que mon père a été arrêté pour meurtre et vente de stupéfiants illégal, elle avait perdu son mari et sa joie de vivre en même temps. Je pris mon bol vide et parti le déposer dans l'évier de la cuisine, je mis un peu d'eau à l'intérieur car je n'avais aucune envie de laver ma vaisselle maintenant.

-Maman je pars pour l'école on se voit ce soir. Criai-je en enfilant mes converses noires.

-Parfait, bonne journée chérie.

Je pris mon sac à dos et le mis sur une de mes épaules et sorti de la maison en prenant bien soin de ne pas claquer la porte. Je marchai doucement vers mon arrêt de bus du matin, là où m'attendais ma meilleure amie Kimberly Ellis. Elle regardait paisiblement dans ma direction avec un large sourire, toujours aussi joyeuse cette fille.

-Salut ma belle. Dit-elle en prenant doucement ma main pour m'approcher d'elle.

Je me laissai toucher et m'approcha de son corps pour être un peu réchauffer. Elle mit son bras autour de mon épaule subtilement et chuchota dans mon oreille.

-tu as bien lu le journal ce matin? Chuchota-t-elle

J'esquisse un petit sourire en guise de réponse et répondit discrètement.

-bien sûr, jamais au monde je ne manquerais l'opportunité de voir son nom à la con dans le journal du matin.

Elle me prenait pour qui la miss ? mes plus grands rêves étaient de voir tous les connards de mon école dans un journal pour annoncer enfin leur mort. Oupsie. Pardon pour ce petit moment... revenons donc à l'histoire si vous voulez bien. Mon amie s'éloigna de moi doucement pour me laisser de l'espace, elle avait toujours son regard fixé vers moi. Je savais qu'elle n'aimait pas m'entendre jurer mais ce n'est pas ma faute, je ne fais pas exprès. On continue un peu notre discussion de hier soir à propos d'un certain garçon sur qui Kim avait un petit béguin, son nom était Mateo Caruso.il joue dans l'équipe de football de notre école avec Warren Jones son meilleur ami. Warren est littéralement mon pire ennemi, Quand je dis pire ennemi je suis très sérieuse, ce mec me fait royalement chier. Il est toujours là à me pousser dans les corridors comme si l'école lui appartenait, il embrasse sa petite amie à côté de mon casier en pensant que je suis jalouse de lui. En parlant de Jones, il prend le même bus que moi et voilà l'autobus qui s'arrête devant nous. Lorsque je mis un pied dans l'autobus l'autre idiot se mis à crier.

-Hey Clarke tu aime ça l'odeur de la drogue? Hurla-t-il avant de me lancer un sac de poudre blanche sur la poitrine.

Le sac de plastique était trop mal fermé que tout la poudre se mit sur mon chandail neuf. J'allais vraiment tuer ce connard, il avait de la chance que ce soit seulement de la farine car je lui aurais arraché la tête. Je m'assoie près de Kimberly sur un banc en essuyant mon chandail rapidement et j'entendis encore sa voix horrible parlé.

-Et dire que cette connasse a un père drogué et tueur en série. Dit-il en croyant que je n'allais pas l'entendre.

J'en avait marre, même si le bus était en route vers l'école, je me levai rapidement et lança mon sac à l'endroit où j'étais. Je m'approchai de Warren et ses idiots d'amis au fond de l'autobus, je pris le col de son chandail et lui mis trois énormes coups de poing au visage. Il n'u pas le temps de riposter que je l'avais déjà lancé au sol pour lui donner une rafale de coup de pied dans le ventre.