Nous

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Je suis au bar de cette boîte que Tae, mon ami d'enfance, m'a conseillé suite à mon déménagement à Séoul.

Je proviens de Busan où j’avais mes parents, mes amis, mon job et mes soumis.

Je suis ce qu'on appelle dans le milieu BDSM, un dom et je suis à la recherche d'un soumis qui pourra supporter mon appétit sexuel, ma violence au lit et m’apporter la paix intérieure.

Sur la piste, les corps se collent, se frottent, se chauffent.

Certains vont jusqu’à pratiquement baiser en public et ça éveil en moi une certaine excitation.

Puis mon regard se porte sur ce petit ange aux cheveux rose qui dance seul.

Son corps s’alangui aux rythme langoureux d’une chanson latine très chaude.

Son corps moulé dans un cuir noir et chemise fluide blanche se mouve dans un déhanché langoureux et sexy.

Et puis cet homme, apparemment très saoul, s’approche et se colle à lui de façon à presser son entre jambe contre le fessier bien rebondi de mon ange.

Mon chaton tente de le repousser mais cet individu ne le lâche pas et devient plus violant en lui attrapant les cheveux dans une poigne dure.
C’est le moment pour moi d’intervenir.

Lorsque j’arrive à leur hauteur, j’entend le petit rose lui dire que son copain ne va pas apprécier qu’il le touche de cette façon mais ses yeux sont en mouvement constant puis se posent sur moi et me supplié de l’aider.





- Hey ! Tire tes sales pattes de mon mec !


- Fallait pas le laisser faire son allumeur si tu voulais pas que d'autre profite de son cul.





J’empoigne son poignet et le lui tord fortement pour qu’il lâche prise sur le p’tit ange.




- Aie ! Putain ! Tu m’cherche, mec ?


- LACHE - MON – MEC !





Je ressert ma prise et le voilà  genoux à mes pieds, le regard noir et les lèvres pincées pour ne pas hurler de douleur parce la pression de mes doigts sur poignet c’est intensifié.




- Dégage !


- Vas t’faire foutre !


- Je ne me répéterai pas. Si tu n’te barre pas tout de suite, tu vas amèrement le regretter. Crois-moi.


- Ah Ah Ah… Et tu compte faire quoi, blaireau ?




Je ne lui répond pas par des mots, ce mec est trop con pour saisir la chance que je viens de lui donner.

Je lui retourne le bras dans un craquement douteux qui le fait hurler de douleur et le repousse loin de moi dans un coup de pied retourné en pleine mâchoire qui l’étale au sol comme la merde qu’il est.

Je fais un pas en avant, parce que je n’en ai pas fini avec lui mais deux petites mains entourent mon biceps bondé et tire légèrement dessus.

Nous (JIKOOK)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant