CHAPITRE 4

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Éléana

La fête bas son plein. A ce que m'a dit Hailee, on se trouve dans la maison d'une des fratérnités de l'unviversité, mais j'ai pas retenue laquelle. Bien que la maison soit immense, on se marche littéralement sur les pieds. En essayant de suivre Hailee pour aller nous chercher un truc à boire dans la cuisine, je me suis fais marcher dessus au moins 3 fois.

- Tiens je nous ais trouvé de quoi boire me crie Hailee

Elle me tend un verre que j'apporte tout de suite à mes lèvres espérant me rafraîchir car avec le monde qu'il y'a dans cette maison, on se croirait dans un sauna.

En prenant une grosse gorgé de cette boisson jaunâtre je le regrette à la seconde. Le liquide me brûle instantanément la gorge.

- Mais c'est quoi ce truc demandais-je en toussant

- Martini Schweppes mais vue t'as tête j'ai peut être pas bien dosé dit-elle en grimaçant

Au bout d'un moment Hailee aperçois des amis à elle autour d'une table dans le salon qui à atterrie dans un coin pour laisser la place à une piste de danse.

- Salut tous le monde ! Alors quoi de neuf ?

- On allait se faire un jeux de la bouteille ça te tante.

- De fou, Éléana tu joue ?

- Non merci c'est pas mon truc déclinais-je

- Dommage saurait été cool que tu joues lance un des garçons autour de la table

- Tout doux Mathis, c'est à ma meilleure amie que tu parles là répondit Hailee pour moi

Le fameux Mathis est en réalité un homme très mignon. Il est blond avec de petite tache de rousseurs au niveau du nez qui lui donne un aire très enfantin. Au vue du fait qu'il ai l'aire de dépasser tous ses potes d'une tête au moins, je dirais qu'il est plutôt grand. En plus, il est le seule à avoir remarquer ma présence derrière Hailee quand ont est arrivées prés d'eux.

Chose rare car en générale quand on est toutes les deux, les gens ne me remarque pas vraiment à côté de la fille solaire qu'est Hailee, moi qui suit une fille aux antipodes de sa personnalité. Mais c'est un truc qui me convient, que les gens ne fasse pas vraiment attention à moi. Je suis quelqu'un qui n'aime pas être au centre de l'attention.

Certain vont dire que je me cache derrière mon amie et ils ont raison. Mais pour les gens comme moi c'est parfois plus simple comme ça.

Après 5 minutes de jeux et au moins une dizaine de salive buccale échanger, je commence à avoir les mains moites, je sent mon cœur commencer à accélérer. J'ai de plus en plus de mal à respirer et avoir l'impression que tout le monde me regarde. J'ai envie de vomir. Il faut vite que je sorte d'ici.

Je me lève en vitesse de la place sur laquelle je me trouvais et me dirige tant bien que mal vers l'extérieur de la maison. Une fois arriver sur le ponton, je me mets accourir le plus loin possible de la fête et de tous ces gens qui me donner l'impression d'avoir leur yeux braqué sur moi.

C'est dans un petit parc que finis par me porter ma course. J'arrive enfin à respirer. Je déteste ça. Ce sentiment d'oppression que je ressent à chaque fois qu'il y'a trop de monde. À cause de ça même aller faire les magasin en période de solde mais presque impossible.

Qu'est ce que j'aimerais être comme toutes ces gens à qui tout va bien dans la vie, ces gens qui n'ont pas de problèmes, mais je peux pas. Tout cela à cause de ces crises d'angoisses qui me prennent à chaque fois sans raison. Elle ne se manifeste jamais de la même façon, des fois j'ai l'impression que l'on m'enfonce des centaines d'aiguilles dans le cœurs, parfois c'est comme si quelque chose ou quelqu'un me compressé la cage thoracique, m'empêchant de respirer, un peu comme tout à l'heure.
Je ne sais jamais quand ce qui les provoques, elles peuvent survenir à cause de la foule, ou juste à cause d'un son ou une image qui passe à la télé ou même à cause de mes propres pensée par fois.

Je devrais pas mais, j'ai honte dêtre comme ça. À tel point que personne n'est au courant pour mes crises d'angoisses, pas même Stéph ou Hailee. Quand je suis avec elle et que je sent l'une arrivé, je trouve toujours une excuse pour m'isoler.

Après des minutes qui m'on parue des heures, je réussi enfin à me calmer. Je décide donc de faire le tour de ce petit parc, mais avant ça j'envoie un message à Hailee pour ne pas qu'elle s'inquiète et lui dis de profiter de la fête, je rentrerai en bus chez moi.

Ce parc est magnifique éclairer par la lune, je me retrouve en plein milieu d'une allée de Tuliplier en fleur. En plus le ciel est parsemé d'étoiles cet nuit, j'ai l'impression dêtre dans un autre monde.

Un bruit bizarre vient interrompre ce super moment.

Je crois que sa vient de l'arbre derrière moi. Je décide donc de m'approcher pour voir ce que c'est.

Au fure et à mesure que je me rapproche du bruit, j'aperçois là silhouette d'un homme qui, d'une main se tient à l'arbre, et de l'autre, se tient le cœur.

Oh mon dieu, est ce qu'il est entrain de faire une crise cardiaque juste sous mes yeux !?

- Est ce que vous allez bien demandais-je d'une voix peu assurée

Ne recevant aucune réponse je répète ma question pensant qu'il ne m'a peut être pas entendue.

Cette fois, j'ai le droit à une réponse.

- Dégage dit-il presque dans un soupir tel que je ne pense pas avoir compris

- Qu'est ce que vous venez de dire ?

- J'ai dit DÉGAGE !!! Cri-t-il en se retournant vers moi

Maintenant que je le vois mieux, je peux facilement distinguer qu'il est dégoulinant de sueur. Ses cheveux brun lui colle à la peau et s'est pareil pour son t-shirt qui laisse aucune imagination a sa musculature. Si j'en crois ce que je vois ce gars est sacrément bien foutu.

Mais il à perdu tout son charme à la seconde ou il m'a crié dessus.

Nan mais je sérieux, pour qui il se prends !

Je suis là, je suis gentille, je vois que le mec vas peut-être rencontrer Dieu ce soir, je lui propose mon aide ET LUI, il me dit de dégager, il se fout de ma gueule.

C'est absolument pas dans mes habitude de crié sur les gens mais là il vient vraiment de me faire sortir de mes gonds en une phrase.

- Nan mais tu vas te détendre ok, je t'ai juste proposé mon aide parce que je croyais que tu était entrain de faire une crise cardiaque, mais si tu veux crever comme un pauvre type tout seul dans un parc derrière un arbre te gêne pas, vas-y !!! Je te jure quel connard !

- Tu viens de me traiter de connard ou je rêve me questionna-t-il avec un regard noir

Une fois mon énervement passé je me rend compte de que je viens de faire. Je suis morte. Mais qu'est ce qui m'a pris d'insulter un gars que je connais même pas. En plus on se retrouve que tous les deux dans un parc complétement vide à l'abris des regards. Ça se trouve le type c'est un psychopathe qui vas peut être me tuer puer m'enterrer en dessous de l'un de ces arbres.

Mon Dieu El mais qu'est qui t'as prise !

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