Chapitre 2

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Le week-end est passé si vite...je ne m'attendais pas à voir le temps passer en un rien de temps. Pourtant j'ai la pression qui monte en moi. Ce mystérieux homme ne me dit rien qui vaille surtout si il reconnaît m'avoir fait du mal. Je ne sais pas je ne le sens pas. Et mon instinct a malheureusement toujours raison. La seule chose que je sais c'est « les yeux bleus ». Il me semble que Nathan avait les yeux bleus mais aussi Sébastien. Sébastien...que de souvenirs mais c'est bien celui qui m'a le plus blessé. J'espère que je n'aurai pas affaire à lui. Je vais au lit et m'endors vite car je suis plutôt fatiguée. Mon réveil sonne à 5h45. Je me lève assez simplement ce qui me surprend puis va me faire couler un grand café. Pendant ce temps là je vais m'habiller et me maquiller. Lorsque je reviens le café est à la bonne température, pas trop chaud ni trop froid. Je récupère mon sac, vérifie que je n'ai rien oublier, ferme les fenêtres car sur Paris les vols sont fréquents et finis enfin par fermer la porte. Je prend l'ascenseur puis je marche 10 minutes pour atteindre mon travail. Une fois sur place je salue poliment mon patron qui m'agace à se servir de moi comme un punching-ball puis va m'assoir à mon bureau. Je ne vois personne. Pourtant on est bien lundi et l'homme est censé être présent. 30 minutes plus tard j'entend des pas venir vers la salle. Alors que j'étais concentrée sur un dossier important, je vois un grand brun arrivait. Il était d'une beauté sans pareil. Il égal les mannequins que l'ont ne voit seulement sur dans les magasines vogues ou du style. Puis sa peau mate et ses bras où on appercoit distinguèrent ses veines ne font pas inaperçu. Il me sourit et me dit :

- tu profite bien de la vue, collègue ?

Après un bref instant où je me rend compte que c était la dernière personne que je voulais voir je lui répond enfin :

- haha très drôle Sébastien. Pourquoi es-tu ici ? Tu as besoin d'un avocat digne de ce nom pour te protéger de je ne sais quel merde que tu as faite ?

- Tu as appris à avoir de la répartit à ce que je vois. Et bien au cas où tu aurais la mémoire courte je suis « les yeux bleus » donc je vois qu'il faudra qu'on communique beaucoup pour que tu m'accepte un minimum.

- A c'est donc toi ? Je pensais que ça serait Nathan car il a vraiment un côté gentil au moins lui. Et ta communication tu peux de la mettre où je pense. Je travaille seule depuis le début ne vient pas me déranger.

- Super drôle Cassandra ton humour est incroyable. Et bien je vais alors voir m.godon pour avoir plus d'informations puisque ma collègue ne veut pas jouer dans l'esprit d'équipe.

- C'est bon vient la que je t'explique. Ça sert à rien d'aller voir le patron pour ça ramène toi.

- A donc je vois que tu n'aime pas le patron d'accord d'accord.

Il s'approche donc de moi. Je commence par lui expliquer la base mais il se rapproche dangereusement à mon goût. Au moment où je me tourne vers lui pour lui demander si il m'écoute j'aperçois que son entre-jambe, qui n'est clairement pas un petit attirail, est gentiment en train de défier les lois de la gravité. Autrement dit qu'il est en train de bander. Je le regarde et il me sourit. Il approche un peu plus ses lèvres de mon visage. Il dévie d'un coup pour venir me chuchoter à l'oreille que le patron a un rendez-vous et qu'il s'est absenté pour deux heures. Je comprends du premier coup ses intentions et le repousse violemment. Il me regarde droit dans les yeux et rigole. Comment il peut oser me faire ça. Me prendre ma virginité à 15 ans et se barrer le lendemain ne lui a pas suffit ? Il sait qu'il me fait de l'effet mais au point de jouer avec ça c'est un peu exagérer. il retourne à sa place tout en continuant de rigoler puis se met au travail au bout de une heure. c'est la journée la plus longue que j'ai jamais eu je crois. il est d'un insupportable...c'est un vrai enfant.

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⏰ Last updated: Sep 21 ⏰

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