Chapitre 1: les initiales

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La vie est toujours un fmardeau pour nous les humains , chasseurs des primes. Mais précisément moi j'avais une lueur d'espoir qui brillait dans mon coeur pour construire ma famille Comme tout le monde de ce monde Sauf qu'elle a été incomplète.
J'ai ma propre histoire à ecrire, à raconter et je pourrais dire que c'est la plus fascinante de tous.
Tout a commencé avec Louis Ortega. Ce jeune portugais dont je suis follement tombé amoureuse mais à travers notre mariage, Un cauchemar s'est éclaté.  Alerte ! spoilers. chaque chose a son temps. permettez-moi de me présenter chers lecteurs. je me nomme Nawal et je suis Djiboutienne,  fière de l'être. Fille aînée d'un riche commerçant arabe et d'une mère somalienne. Un métis sans doute, j'étais le parfait mélange d'eux. J'ai rencontré Louis en fin de lycée vers mes dix-neuve ans dans mes études universitaires. Là j'ai senti la tension entre lui et moi.
J'ai donc réalisé que je devais mener ma vie avec lui. mais pourrait-on supposer que j'avais tort ? Je l'ignorais mais un peu comme dans tous les histoires d'amour. Notre étincelle était boycotté. Par qui ? est sûrement votre prochaine question. par tout le monde simplement. Ils disaient qu'il était chrétien et c'était pas la peine de gaspiller le temps de ma vie avec lui mais moi je ne partageais pas le même point de vue qu'eux. on pourrait penser que c'était un mauvais type mais c'était un ange ou peut-être un diable déguisé pourrais-je dire.
Il a fallut montrer à ma famille ma routine matinale et à quel point Louis était gentil pendant tout mes séjours à l'université ( à l'étranger bien sûr) .
parfois ma mère pétait les plombs en prétendant qu'il ni le.....
fallait jamais se fier à un étranger et l'idée de nous voir dans un seul appartement la rendait folle de rage.
Mon petit frère Isaac prenait sa part de l'histoire : " tu sais quoi Nawal , l'amour à l'étranger c'est juste trahison et manipulation. Tu ferais mieux d'arrêter tes plans ridicules".
Bonté divine, Tout ceci me rendait dingue.
Des temps en temps , j'étais mal à l'aise à l'idée de voir ma famille juger Louis d'une façon négative.
Une fois l'université terminé. Je devais quitter l'Espagne pour regagner Djibouti. Le pays sans ombre dont je suis née et même grandi. J'ai dû laisser Louis derrière moi mais on a planifié de se marier l'été.
Pour une raison que j'ignore, je sentais le vertige dans la partie bas de mon corps.
c'était étrange et bizzare.
Je sentais des fortes douleurs de sorte que ça ressemblait à une paralysie.
Après sept heures de voyages, je suis enfin arrivée.
l'accueil de ma famille s'avéra chaleureuse mais les yeux friods de ma mère m'a tué.
Mon petit frère qui semblait démoralisé sûrement à cause de mon mariage prochain me serra fort dans ce bras en promettant de tuer Louis si jamais il profitait de moi.
Mon Père un cas particulier , n'en parle même pas, lui c'était un assassin silencieux comme le tronc d'un arbre sèché.
Mais c'était un réel suspense , une famille dont je cachais rien et qui m'ignoraient à ce point.
Après mon installation , ma famille semblait angoissée.
j'ai donc décidé de prendre refuge chez Anab.
oui, ce nom qui vous paraît de classe moyenne était celui de notre femme de ménage.
Elle a toujours été là. Dire qu'elle était même présente le jour où je vu la lumière de ce bas monde.
Anab  , elle n'a pas ignoré notre amitié du passé.
On a passé beaucoup de moments ensemble, par exemple le soir quand elle allait à la boulangerie. J'adorais me cachais derrière des murs pour la suivre un peu partout même si je connaissais pas le chemin du retour donc Je comptais sur l'aide de mère nature pour retrouver mon chemin. Enfin bref, je lui ait raconté mon histoires pendant mes six ans à l'étranger qu'elle considérait un peu comme une série télévisée novelas.
Mais sa conclusion à elle était la suivante : " écoute chaque battement de ton cœur, il renferme un grand secret sur ta capacité à gérer toute chose".
C'est à ce moment que je me suis mise à vomir  un peu partout un liquide blanc et visqueux.
C'est là que Anab se précipita vers le stock  et accourut avec   des désinfectants et une serviette.
À ce moment-là , je senti un effroyable sentiments qui gargouillait mon estomac.
À cette instant précis , une pensée  qui venant droit du ténèbres heurta ma mentalité.
J'ai donc songé à un test de grossesse et il s'est avéré positif.
À une phase pareille de la vie, j'étais perdue. L'inquiétude,  la peur , la joie de tout raconter à Louis dès qu'il sera connecté.
Un mélange de tous les sentiments dont j'étais comblé.
soudain , il fut un moment où la vie donnait ses opinions lugubres dont on pensait qu'on traversait le couloir de la mort.
En effet, cet enfant serait juste un cadeau qui me ferait plus rapprocher de Louis.
Mais j'étais en train de commettre la plus grosse erreur de ma vie sans le sentir.
En cet période de l'année,il faisait trop chaud et avec cette chaleur, j'ose rien dire à ma famille. j'imagine surtout pas la réaction de mon père et  celle de mon petit frère.
D'après des renseignements médicaux, je vivais mes six semaines de grossesse.
j'avais encore le temps de boucler cette histoire mais c'était pas le choix que je voulais prendre. Tout ceci était trop chargé pour moi mais je devais garder le coup pour vivre des jours meilleurs.
Juin se présenta , Juillet pris le relais et enfin août regagna sa place dans l'année. Ça devait être l'arrivée de Louis. Et il est finalement arrivé avec sa mère
pamela et sa grand-mère Elroy. Bobo au cœur était l'expression parfaite pour désigner un moment pareil. Ils étaient tous adorables. J'imagine cet air gentil qu'avait pamela ce jour-là et puis j'essaye de comparer avec la triste réalité que je vis aujourd'hui. et j'avoue c'était pas beau à croire tout cette histoire. Parfois, ma grand - mère que la miséricorde de Dieu soit sur elle disait : " c'est pas les gens qui changent mais les masques tombent ". Les présentations paraissaient entre ma famille et eux comme une salutation lourde.
Ma famille avait l'air de ressembler au gardiens de la galaxie face à eux. Ce sentiment pourrait être celui d'une personne quand il est devant une nouvelle culture et aussi devant des gens d'un nouveau paysage, ça fait trembler , je ne vous fais pas dire.
Cependant, mon père n'a pas autorisé qu'on soit dans la même chambre et j'étais d'accord avec lui après la bêtise que je faite.
je ne savais pas quoi faire et je n'avais pas dit la nouvelle à personne pas même Anab et Dieu merci elle ne m'a pas soupçonné.
Vingt - quatre heures ont passé et je suis restée muette face à la créature qui grandissait dans mon organisme et qui de plus en plus me donnait la chair de poule.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 12 ⏰

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