J'aimerais voler, pouvoir planer, mais je reste là à voler. Sans abris je vole, toujours et encore je vole... Ma femme est au marché et essaye de faire des recettes combien même je lui ais expliquer que ce n'était pas la bonne recette. Mais elle s'obstine. Un jour, il ne faisait plus jour, j'ai passer au dessus du grillage. Pour tomber devant un bâtiment sans âges. Je m'était renseigner durant la journée auprès d'une proche boutique et le commercent m'avait dit qu'il n'y avait plus personne par ici, ce bâtiment allait être détruit. Malchanceux, je retombe pile dans des toilettes sèche, ma main dans l'escremment, collée comme un aimant. Ceci me répugne et je la retire en disant :
- Putain ! J'ai faillis ne pas m'en sortir!
Je sort des toilettes et avance vers le bâtiment... Soudain, des voix que j'entends, ils sont deux ou peut être trois je ne sais pas. Je grimpe les marches discrètement, aperçois quelque part là-bas, deux sac. Je suis voleur, l'opération s'annonce risqué, après tout je suis humain, je ne suis pas équipé d'un moteur... Je repère une masse qui me paraît solide tout près des sacs, je me dit :
- Chouette! Un moyen de combattre si jamais il m'arrive des craques!
Je saisi le sac, j'ai le traque...
TAC! Une canette qui tombe, les 3 hommes me traque!! Je prend la masse et court le plus vite que je le peux mais je me fait attraper! Je décide d'écraser ma masse sur le crâne de l'un d'eux et l'agite dans tout les sens, ceci n'a pas de sens... La victime, le crâne déformé continue à parler, à nous devisager malgré son crâne tout cabossé ! Les autres courent, épris de peur mais moi je reste là béha à ne pas comprendre ce qui ce passe, le temps passe. Je décide de me ramener près du feu, de cacher le cadavre et d'appeler ma femme pour lui dire où je suis. Sur ma main je remarque une tâche rouge, ceci doit être du sang... Je frissonne. Ma femme vient, elle m'embrasse sur la joue, je lui rend sur le cou. Alors qu'elle découvre le cadavre, horrifiée je lui explique que ce n'est pas grave. En lui expliquant la raison. Enfin, elle comprend. C'est alors que nous remarquons que le sang n'est pas du sang. Ma femme décide alors de goûter mais sans regret, ceci n'a pas l'aire de la dégoûter!
Ceci s'apparente à de la sauce Salsa, épris de bonheur, nous fracassont la masse sur le cadavre jusqu'à pas d'heure... Le lendemain, ma femme eu une bonne idée, elle décida de vendre la sauce sur le marché. Ce fût un franc succès et nous voilà surpris! Les dames du quartiers firent de la pub et la nouvelle se fit connaître. Alors, à court d'ingrédients, nous sommes obligés de trouver ce "carburant"...
Un SDF traîne là dans la rue, il dort, j'essaye alors de l'attraper mais il me mord, je crie fort puis pars...
Un homme bête promène sa bête, un petit coquère tout mignon qui finira bientôt en petit magnons... Je lui demande de venir, il accepte, à l'air perdu. Après 4 heures, j'ai enfin réussi à amasser 12 corps entasser dans le coin de la pièce...Épris de bonheur, nous fracassont la masse sur les cadavres jusqu'à pas d'heure...
Alors que la blessure dû à la morsure me lance je dit à ma femme que je n'en peux plus. Elle me crie dessus en disant «Tu doit faire ta pars de travail sinon...»
Je gémis et elle essaye de m'écraser le marteau sur le crâne! Alors s'ensuit une lute désespéré! La masse nous transperce nous deux hommes si il y en avait deux, ensuite moi et ma femme nous transformant en sauce Salsa. Il ne fallait pas...
La richesse nous monte à la tête...