𝟵- 𝘼𝙡𝙚𝙭 𝘼𝙡𝙗𝙤𝙣

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Salut à tous et à toutes j'espère que vous allez bien.

Je vous embête pas plus et je vous laisse avec le Alex Albon x oc.

Bonne lecture ☆

———— 𝗲𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝗹 𝗹𝗼𝘃𝗲 ————

Alex entra dans la chambre silencieuse, le bruit des machines médicales habituellement rassurant étrangement absent. Le soleil, qui se glissait timidement à travers les rideaux tirés, peignait des ombres douces sur le lit où Clara reposait. Ses yeux fermés semblaient cacher des rêves lointains, des souvenirs d'un autre temps, où les rires et les espoirs étaient leur seule réalité.

Clara ? Murmura Alex, sa voix tremblante, espérant une réponse qui ne viendrait jamais.

Un frisson glacial le traversa, une peur sourde se fraya un chemin jusqu'à son cœur. Le vide qui régnait dans la pièce lui parut soudain trop vaste, trop oppressant. C'était comme si le monde entier avait cessé de tourner, laissant derrière lui ce silence pesant, cette absence déchirante.

Non... non, non, non ! Balbutia-t-il les larmes jaillissant sans qu'il puisse les retenir.

La panique monta en lui comme une vague incontrôlable. Il recula précipitamment, ses jambes vacillant sous le poids de l'angoisse. Puis, dans un élan désespéré, il se précipita hors de la chambre, le cœur battant à tout rompre.

Les couloirs de l'hôpital, d'ordinaire aseptisés et clairs, lui apparurent soudain comme un labyrinthe oppressant. Il courait, appelant à l'aide, son désespoir résonnant contre les murs, mais personne ne semblait l'entendre. Chaque porte qu'il passait lui renvoyait l'écho de son propre chagrin, et il sentait cette réalité brutale s'abattre sur lui : Clara était partie.

Finalement, il aperçut une infirmière au bout du couloir. Il se rua vers elle, les mots se bousculant dans sa bouche, incohérents, déchirés par la douleur.

Clara... elle... elle ne bouge plus ! Aidez-moi !

L'infirmière, son visage se transformant en une expression de tristesse résignée, posa une main douce sur son bras.

Je suis désolée Mr Albon. Dit-elle d'une voix douce, mais ferme.

Nous avons fait tout notre possible... Elle s'est éteinte paisiblement il y a quelques instants.

Les mots résonnèrent dans son esprit comme un coup de tonnerre. Le monde sembla s'effondrer autour de lui, laissant un vide béant là où autrefois résidait l'espoir. Alex tomba à genoux, incapable de contenir le flot de larmes qui coulaient maintenant librement, son corps secoué par des sanglots incontrôlables.

Dans ce moment de détresse, il réalisa que tout ce qu'il restait de Clara n'était plus qu'un souvenir, fragile comme une étoile filante dans un ciel d'encre. Mais même si elle était partie, elle vivrait à jamais dans son cœur, gravée dans chaque sourire qu'ils avaient partagé, dans chaque mot doux qu'ils s'étaient chuchoté.

Et tandis qu'il pleurait dans ce couloir froid, une seule pensée résonnait dans son esprit : il l'avait aimée de tout son être, et cet amour, même dans l'absence, ne s'éteindrait jamais.

Les minutes s'étirèrent en heures alors qu'Alex restait prostré dans ce couloir glacé, son esprit incapable de se détacher de l'image de Clara. Chaque battement de son cœur semblait résonner douloureusement dans le silence, une mélodie d'amour brisé et de chagrin infini. Les infirmières passaient furtivement, respectant son deuil, leurs visages marqués par la compassion, mais aussi par l'impuissance.

One shot F1/F2 [demande Ouverte.]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant