Chapitre 4

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 Au fil des semaines, Apollon se rapprocha de plus en plus du trio, le groupe avait accueillit avec joie cette addition ! Un petit problème persistait, les plus jeunes n'arrêtait pas de les embêter pour savoir où trouver Apollon. En quelque mois il était devenu leur idole, dès qu'ils avaient une question, c'était Apollon, les autres ne les recevaient seulement si le grec était introuvable. Certains se réjouissait du calme que la situation apportait, d'autres était un peu jaloux car il perdaient en popularité. Le trio, lui, n'en pouvait plus. Certes Barty adorait être le centre de l'attention mais devoir répondre à tous les élèves qu'il ne savait pas où se trouvait leur amis était épuisant.

Aucun des trois ne comprenait comment le grec avait pu devenir si populaire mais cette partie là ne les dérangeait pas trop. Ils disaient que c'était sa gentillesse, il disaient que c'était son intelligence, même parfois sa beauté.

Une grande majorité des filles n'avait des yeux plus que pour lui, faisant bien rire Barty devant son malheur. Il leur avait avouer ne pas aimer cette attention particulière puisque c'était seulement des filles, pas des garçons. Explication implicite pour leur avouer qu'il était gay.

Ce fait justement, parlons en, nous savons tous qu'à cette époque, dans le monde des moldus, être gay est un crime. Mais comment est-il considéré chez les sorciers ? Tout dépend de la zone bien sûr ! Dans les sociétés asiatiques, ils étaient acceptés, mais la tradition voulait que les représentation d'amour d'un être à un autre soit fait dans le privé. Vous ne voyez donc rarement plus que deux personnes qui se tiennent la main, gay ou hétéro. En Océanie, on vous demandait pourquoi il y aurait une différence entre un gay et un hétéro, la diversité du continent était la plus importante du monde sorcier. Comme chez les moldus, même si ils étaient en avance d'un demi siècle, être différent était normal, être une créature magique n'était qu'un détail. En Europe, les sorciers étaient à cheval sur leurs traditions qui détruisaient leur société, être gay était donc pour les pauvres, la seule solution chez les nobles était d'être assez puissant pour fournir un héritier. Très peu accepté donc. En Amérique du sud, les populations sorcières se faisaient rare et tout comme en Afrique, ils ne s'étaient jamais vraiment posé la question. En Amérique du nord, n'en parlons pas, ils pensent être les plus avancés. Un peu comme la haute société européenne, ils prennent de haut le monde. Et chez eux, être homosexuel est un crime, soit le sorcier est exécuté, soit il est banni. Et dans les deux cas c'est pas très joyeux.

Mais ce n'est pas notre sujet ! Personne ne le savait, il avait fait en sorte de garder le secret. Il n'avait aucun problème dans son pays avec ça mais tout le monde savait que le Royaume Uni était très... arriéré. Le garder secret était donc primordial pour son intégration.

Ses trois amis lui avaient posés pleins de questions, de sa couleur préférée à sa pièce de théâtre préférée, en passant bien sûr par le quidditch. Il leur avait donc expliqué que sa couleur préféré était le doré, que sa pièce préféré était Hamlet de Shakespeare. Et qu'il ne suivait pas le quidditch, il écoutait seulement sa sœur en parler quand des matchs avait lieux. Sa famille justement, elle avait été le centre d'une grande discussion. Baty, fidèle à lui même avait insisté pour rencontrer sa sœur, clamant que si lui était un apollon, elle aussi devait être une déesse, sa beauté n'aurait eut d'égal. Il avait dit vrai sans le savoir, faisant bien rire les autres, Apollon pour ce sous entendu involontaire, et les deux autres parce qu'ils savaient très bien que Barty était gay et amoureux. Enfin ça, seul Regulus le savait.

Lors d'une sortie à Prés au lard, il leur avait présenter sa famille. Sa mère, Léto, ils avaient appris qu'elle était issue d'une grande famille, elle avait eut la chance de se marier avec l'homme qu'elle aimait mais celui ci ne l'avait pas prise au sérieux et l'avait trompé et surtout, il avait déjà une femme ! C'est comme ça qu'Apollon avait commencer à détester son père, Bias de Thessalie.

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Une année très enrichissante, ce fut le commentaire d'Evan peu avant d'entrer dans le train. Leur année s'était déroulée sans accros majeur. Les griffondors avait comme toujours abuser de leurs droits et s'étaient fait chouchoutés. Mais rien qui ne sorte de l'ordinaire sur ce point, Serdaigle avait gagné la coupe de quidditch malgré le fait qu'ils n'aient pas attrapé le vif d'or contre l'équipe de griffondors. Griffons qui avaient d'ailleurs hurlés à la tricherie, mais ça n'avait pas aboutit.

Les cours avaient été agréables et leurs études avançait bien, ils avaient profité de leur année avant celle des premières grandes révisions. Leur amitié avait fleurie, Apollon s'était parfaitement bien intégré dans le groupe. Sa réputation d'idole des jeunes ne l'avait pas lâché d'une semelle mais tous avaient compris qu'il ne fallait pas déranger les trois autres si ce n'était pas une urgence. Il se plaisait beaucoup chez les serpents et les serpents l'appréciaient, que demander de plus ?

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Divide et impera

Diviser pour régner

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Je pense que vous avez compris que j'aimais vraiment pas comment les griffondors abusent dans l'œuvre. Mon petit cœur n'a jamais compris pourquoi et maintenant demande revanche au nom des serpentards et des serdaigles. La vengeance des poufsoufles étant porté par mon meilleur ami.

Love et paix entre tous.

Désolé aussi pour la longueur du chapitre, même si mes chapitres sont habituellement courts celui la l'est encore plus.

Salutations

RmS

Godly AscensionWhere stories live. Discover now