𝚍𝚒𝚡-𝚜𝚎𝚙𝚝

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ᴊᴇʟᴇɴᴀ ᴊᴏᴄᴇʟʏɴ ʟᴜʙɪɴ
ᴘᴏɪɴᴛ-ᴀ̀-ᴘɪᴛʀᴇ, ɢᴜᴀᴅᴇʟᴏᴜᴘᴇ
ᴊᴜɪʟʟᴇᴛ ᴅᴇᴜx ᴍɪʟʟᴇ ᴠɪɴɢᴛ-ᴅᴇᴜx

nos avant bras remplis de sacs de différentes marques, nous entrons unenouvelle fois dans un magasin

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nos avant bras remplis de sacs de différentes marques, nous entrons une
nouvelle fois dans un magasin.

pour ma dernière semaine, kaiyah m'a
entraîné aux centres commercial pour
refaire le pleins de vêtements. surtout
pour elle. de plus ça nous fait du bien de
se retrouver vraiment que nous deux,
pour de vrai cette fois-ci.

— t'as vu la veste en jean là-bas ? elle
pointe du doigt le vêtements. je prend.

— si tu veux, mais tu n'es pas millionnaire kay. fait gaffe. elle lève son pouce.

je la suis dans plusieurs rayons et regarde ses bras se remplir de plus en plus, elle n'est pas possible.

— rassure moi, c'est le dernier magasins
qu'on fait ? parce-que j'ai vachement faim. je lui demande attendant une réponse positive de sa part.

— promis, de toutes manières je pense avoir fait le tour. heureusement.

après avoir trouvé tout ce dont elle a besoin, kay passe finalement à la caisse.
j'ai insisté pour lui payer ses vêtements mais elle a catégoriquement refusé.
elle peut être sur que je paierai le repas.

nous voilà sortis du dernier magasin
en cherchant désespérément un endroit
où manger. on se balade un peu partout
jusqu'à trouver un endroit qui convient.

le serveur nous place puis pars chercher
les menus. je pose mon sac près de moi tandis que les sacs qui contiennent les
vêtements se trouvent à mes pieds.

— sa épuise les magasins quand même,
elle me fait remarquer, non mais c'est vrai quoi. je souffle le sourire aux lèvres.

— c'est surtout ta carte qui est épuisé,
crois moi. à mon tour de lui faire remarquer quelque chose.

— peut-être bien, mais je met beaucoup
de côté à chaque fois donc no problem.
je hoche la tête.

le serveur reviens avec les menus puis repart d'aussitôt. j'observe ce qu'il y a
et peine à trouver mon bonheur. comme
à chaque fois après tout.

— tu prends quoi toi ? j'essaie de m'inspirer de ses choix.

— pizza chèvre miel, et toi ?

— justement j'en sais rien, mais je pense
une pizza aussi.

après une dizaine de minutes une serveuse viens nous demander nos commandes. ensuite nous choisissons les
boissons et elle repart avec nos menus
à la main.

— non mais je rêve, elle regarde son téléphone, regarde.

une vidéo prise par yvick montre lui et
les garçons sur des jet-ski. je trouve la
vidéo très amusante surtout quand je vois lisko tombé du jet-ski.

— ils ont l'air de bien s'amuser.

— tu m'étonnes, elle sourit, je me demande qu'est-ce qu'il leur passe par la tête pour prendre de telle décision.

— imprévisibles. elle rit puis repose son téléphone sur la petite table.

j'hésite à lui annoncer notre officialisation avec moctar. je sais qu'il
fallait un peu attendre mais je suis bien
obliger de lui dire à elle. c'est comme ma
sœur, je ne peut pas lui cacher.

— kaiyah je dois te dire quelque chose,
elle me regarde apeuré, juste promet
moi que tu ne vas pas crier.

— mon dieu elle est enceinte.

— ça va pas ou quoi ? jamais de la vie,
espèce de folle. elle fait semblant d'être
soulager.

— accouche, sans mauvais jeux de mots
évidemment. je me tape le front.

— moctar et moi, elle écarquille les yeux, on est ensemble.

— QU- .  j'écrase la paume de main contre sa bouche.

— chut, on est dans un lieu public je te
ferais rappeler. j'enlève ma main de sa
bouche.

kaiyah me bombarde évidemment de questions sinon ce n'est pas elle. je lui
raconte tout et elle finit par taper dans
ses mains telle une enfant. entre temps
nos pizzas sont arrivés encore brûlante.

— je te préviens, si tu ouvre ta bouche
je te la coupe. je la menace.

— promis, juré, craché. elle coupe en plusieurs parts sa pizza.

nous changeons rapidement de sujet pour parler de son possible déménagement sur Paris. je n'ai qu'une
envie c'est de pouvoir passer tout mon
temps libres en sa compagnie. elle doit
encore bien y réfléchir car ce n'es pas
quelque chose qu'on prend à la légère.
c'est carrément un changement de pays,
ce n'arrive pas à tout le monde.

me concernant, je me sens bien dans mon appartement. il se situe assez proche de mon lieux de travail et les
voisin ne sont pas horrible, au contraire.
après avoir déménagé à paris, j'étais totalement perdue, un déménagement dans la capitale française c'est loin d'être
facile, surtout étant une femme noire.
au début je me soucier tellement du regard des autres que je ne voulais plus mettre un pied dehors, puis je me suis
rendue compte que ma couleur de peau
faisait partie intégrante de ma vie et de
ma force. alors ce jour-là je suis sorti de
chez confiante, me foutant royalement
du jugement extérieur. je savais qui j'étais et je savais que j'étais unique, alors, pourquoi ce cacher ?

— parcontre, il y a intérêt à ce que je sois la marraine. elle lâche d'un seul
coups.

— de quoi tu parles ?

— et bah ? de votre futur gosse ? elle
croque dans sa dernière part de pizza.

— t'es cinglé meuf, genre vraiment.

— moi ? cinglé ? je crois pas non.

je lève mes yeux aux ciel la laissant nous
inventé un futur parfait à moi et moctar.
qu'est-ce qu'elle peut être inspiré quand
elle veut. ça me faut plus rire qu'autre chose la voit s'imaginer le prénom de nos enfants. je peut être sûre que ce sera
une très bonne marraine.

 je peut être sûre que ce seraune très bonne marraine

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j'ai trop trop aimé écrire ce chapitre.
une journée entre girls #weneededit.

ig : aquoisertdesaimer ☀️

𝚂𝙴𝙽𝚃𝙸𝙼𝙴𝙽𝚃𝚂 𝙽𝙾𝚄𝚅𝙴𝙰𝚄𝚇 - 𝙾𝚁𝙼𝙰𝚉Où les histoires vivent. Découvrez maintenant