( histoire vraie pas de moi ) Je suis tombée...amoureuse d'un garçon comme la majorité des filles une fois dans leurs vie, mais il y a deux version de l'histoire une plus joyeuse et l'autres moins mais le plus important c'est de ne pas rester bloqué...
Mon plan était simple, je savais où il partait pendant les pauses.
Valentinno partait toujours à l'arrière de la cafetière pour fumer une clope, j'aimais bien quand il passait à côté de moi et que l'odeur de la cigarette froide et de son parfum se glissait sous mes narines.
Une senteur pas très subtile, mais plutôt virile et brutale.
De quoi me faire frissonner en sentant cette combinaison peu romantique.
J'avais décidé de me faufiler dans son petit coin secret pour lui dire salut et lui demander son numéro de téléphone, avec un peu de chance, il serait de bonne humeur et décidera de me le donner sans me prendre pour une fan obsédée.
Il m'a fallu exactement 10 minutes pour découvrir son passage secret permettant d'accéder à l'arrière de la cafétaria.
Il était là devant moi, le dos collé au mur moisi, une cigarette entre les lèvres, putain je donnerais tout pour devenir cette clope, ses yeux gris qui se plongeaient dans les miens me faisant sentir faible, impuissante, comme une proie qui reste figée par la peur devant son prédateur.
Il décrocha la cigarette légèrement de ses lèvres et laissa la fumée délicatement s'évacuer de sa bouche.
Après m'avoir regardé de haut en bas avec ses yeux fatigués et ses cernes marqués par les heures d'entraînement pour atteindre la perfection.
- T'en veux une ? Dit-il en me tendant une cigarette
- Ouais j'en veux bien une, ton prénom c'est bien Valentinno sans être indiscrète ? Dis-je en allumant la cigarette
- C'est déjà indiscret d'espionner les gens pendant leurs répétitions, tu sais. - Je ne t'espionne pas, je veux juste écouter de la bonne musique j'ai du gout, je te signale.
Ce n'était pas vraiment le cas, ma playlist était remplie de sons à l'eau de rose ou de musiques tristes pour verser de belles larmes de crocodile, ce qui avait l'air assez fade quand j'écoutais les musiques qu'il jouait ou ce qu'il écoutait pendant ses pauses aux répétitions.
- Si tu le dis, bibi. - Bibi ? - J'ai fait mes recherches aussi, si tu voulais le savoir. Dit-il avec un petit sourire en coin.
Il avait ce petit sourire mesquin en prononçant cette phrase, comment pouvait il savoir mon surnom sachant que même mes amis les plus proches ne le connaissaient pas ?
- Rejoint moi à la fin de l'heure dans la salle de répète à la fin de l'heure ok? En me le chuchotant dans l'oreille - O... Ok
J'imaginais sûrement qu'il voulait me faire un concert surprise, mais j'étais très loin de ce qui allait se passer.
J'étais restée le temps de terminer la clope et de prendre conscience de ce qui venait de se passer.
Cette discussion était tout simplement lunaire, comment savait-il mon surnom ?
Mais surtout, pourquoi m'avait-il invitée dans la salle de répétition ?
C'était passé tellement vite, beaucoup trop vite.
Je n'ai même pas pris la peine de me présenter.
De toute façon, il avait l'air de déjà me connaître.
1 heure plus tard...
J'attendais devant la porte fermée à clé. Les minutes passaient et je commençais à penser qu'il s'était foutu de moi, mais j'avais choisi de rester immobile.
Je voulais le voir.
- Hé bibi !! - Ne m'appelle plus comme ça. - C'est ton frère qui m'avait dit que c'est ton surnom préférer. - Tu parlais à mon frère ?
Mon cœur commençait à serrer, juste le fait de savoir qu'il parlait à mon frère me donnait encore plus envie d'être avec lui.
- Tu as dû être courageuse après ce qui s'est passé. - Bof. - Moi, je fais fais encore le deuil de ma mère, je commence à voir la lumière.
Après un court silence, je lui fis un sourire et pénétra dans la salle.
- Je suppose que tu veux plus ken après cette discussion, j'avoue ça a tué la tension.
Pardon ?
Il avait cru que je l'avais aborder pour coucher avec lui mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond dans sa tête?
-Pardon, tu peux répéter ? - Donc vu ta tronche, je suppose que tu n'étais pas venu me voir pour ça ? - Bah non, connard, et si tu pensais que je voulais le faire avec toi pourquoi tu m'as appelé par le surnom que mon frère qui est mort m'avait donné putain ! - C'est vrai, c'est pas très futé de ma part, mais si tu pouvais juste ne pas crier, je suis sensé laisser personne entrer ici. - Sauf les filles qui se font écarter les jambes entre deux chaises, je suppose ? Dis-je sous le coup de la colère.
Son visage était rouge tomate, encore plus rouge que le soutif que je portais.
- Mais arrête de raconter de la merde, j'ai sauté personne dans cette salle, et je suis désolé je ne sais pas ce qui s'était passé dans ma tête, pardonne-moi. En se mettant à genoux - C'est bon, relève toi, c'est pas la fin du monde tu sais.
Je vis son visage se relâcher et l'atmosphère devenir moins palpable
- Ouais, parce que quand on était tous les deux à l'arrière de la cafétéria, tu avais l'air de quelqu'un qui voulait arracher ma clope des lèvres sérieusement.
Cette fois c'était moi qui étais toute rouge, il n'avait pas tort, je donnerais tout pour goûter à ses lèvres.
- Tu me passes ton numéro de portable, comme ça on se fixe une date pour se voir, pas dans la salle de répète qui sent la transpiration plutôt que ma transpiration je devrais dire. Dit-il encore un peu gêné
Je me souviens de ce jour comme si c'était hier, je me sentais tellement légère.
SALUT MES TI DIAMANTS, JE REVIENS COMME UNE PETITE FLEUREEEEEEE
Je sais que je ne vais pas avoir les mêmes stats et que ce type d'histoire n'intéresse pas le public de 2024-2025 sur cette plateforme mais je ne vais pas écrire de darck romance pour la fame
bref gros bisous mes ti diamant
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
