Athénaïs.- hallo ??
- Oui bonjour vous êtes bien la fille de Monsieur Wilder-Hudson ?
- Oui c'est moi pourquoi ??J'appréhende ce qu'il va me dire,
Je m'inquiète pour papa..
J'espère qu'il n'y lui rien arrivé..- Vous pourriez venir le plus vite possible ?
- Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? Il va bien ?, dis-je sentant la panique montait en moi
- Je ne peux pas vous le dire par téléphone désolé mademoiselle, venez le plus vite possible
- J'arrive, lâchai-je avant de raccrocherJe comprendrai jamais les hôpitaux.
Pourquoi m'appeler pour ne pas me dire ce qu'a mon père ?!
Une dizaine de minutes plus tard, me voilà devant l'hôpital,
Je pris mon courage à deux mains et m'engageai dans l'asile.
- Bonjour, je suis Athénaïs Wilder-Hudson, je viens voir mon père
- Je suis désolée Athénaïs..
- Quoi ?! Qu'est-ce qu'il y a ?? M'affolai-je
- Ses artères se sont bouchées, votre père a fait un avc.. dit l'infirmière d'une voix remplie de pitié envers moiQu..Quoi ?
Je ne sais plus où me placer
Mes yeux se perdent, je ne vois plus rien
Je sens l'angoisse prendre possession de mon corps
Ma respiration s'accélère,..
Un point de côté apparaît dans ma poitrine
J'ai mal.
Mon cerveau n'arrive pas à encaisser
Mes jambes commencent à vaciller
Mes mains elles, commencent à trembler
Je suis comme une feuille sur la branche d'une arbre en automne,
À deux doigts de tomber.
- Je veux le voir, finis-je par dire
- Bien, suivez moi mademoiselleOn traverse l'hôpital avant d'arriver devant sa porte
J'allais rentrer mais l'infermiere me stoppa
- Il n'est pas encore réveillé.., me dit-elle avant de partir me laissant seule devant la chambre
J'inspire un grand coup avant d'ouvrir la porte
Avant d'ouvrir la porte et de le voir,
Le voir sur ce lit, allongé, sans vie
Ses doigts tout noir, à force de rouler
Sa peau mate, ses yeux fermés,
Comme s'il était mort..
Je m'assis à son chevet,
Je pris sa main dans la mienne- Réveil toi papa..
Un bruit me fit sursauté
- Il va bien ?? Me demande James
- J'en sais rien, il a fait un avc et ne s'est pas encore réveillé..
- Il va se réveillé tant fait pas sœurette, me prend-il dans ses bras
- Je suis fatiguée James
- Repose toi, je suis là, je le surveilleJe sens qu'on me dépose dans un lit,
J'ouvre les yeux, je suis chez moi ?
James voulait me déposer dans mon lit mais je lui en empêcha, avant qu'il parte je le rattrapai
- Reste.. S'il te plaît James..
- T'en fait pas je suis là petite sœurIl vient s'allonger à côté de moi,
Je me mis directement dans ses bras- Je t'aime James, craquai-je dans ses bras
- Je t'aime aussi Athé, je t'aime une fois, je t'aime deux fois
- Je t'aime plus que le riz et les petits poids, fini-jeQuand on était plus petit, avec papa et maman on regardaient toujours une série,
Desperate HouswievesDepuis quand on est tout petit, on se dit
"je t'aime" de cette façonC'est peut être basique vous me diriez
Mais pour nous c'est symbolique.
C'était l'époque où il y avait toujours papa et maman à la maison..
........
Papa et maman s'engueulent..
J'ai peur
James et moi sommes cachés sous un matelas
Je suis dans ses bras,
Il me cache les oreilles pour ne pas que j'entende les cris de nos parents
Mais je les entendais..
On entend la porte de la chambre s'ouvrir brusquement, papa a défoncé la porte..
Il se met à crier dans la chambre
J'avais peur,
Je tremblais,
J'étais tétanisée..
James lui me cachait encore les oreilles pour me protéger..
Je le sens pleuré contre moi, lui aussi tremble
On comprenait pas ce qu'il se passait..
Quelques heures plutôt, avant que papa rentre.
Maman nous avait dit de nous enfermer dans la chambre et de n'en plus en sortirOn est toujours sous le matelas, je voyais les pieds de papa,
Il retournait toute la chambre, il criait
Criait si fort..
Que ses cris me hantaient encore..
Il nous appelé, nous disait de venir le voir
Mais on était là, dans la peur,
On ne pouvait pas parler, on ne devait pas lui répondre..- Et surtout.. S'il vous parle, vous demande de venir avec lui, ne sortez jamais de votre cachette d'accord mes chatons ? Nous avait dit maman
........
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Fallen Devil
Teen FictionLui, lui et encore lui, Hélios, le meilleur ami de mon frère, mon meilleur ennemi. Je le déteste pour ce qu'il m'avait fait Pour cette partie de moi qu'il m'a ôté , Pour ce bonheur qu'il m'a enlevé Pour ce mal-être qu'il m'a filé.