Le retour

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Après cette journée de sommeil, j'étais partit tôt laissant Gabriel seul dans mon appartement. Je l'avais laissé seul dans le lit pour rejoindre marine au QG, je lui avait préparer une omelette et puis un baiser sur le front avant de partir.

En arrivant au QG je voyais tout le monde courir dans tout les sens, alors je me frayait un passage jusqu'au bureau de marine. Elle m'ouvris la porte et me laissa entrer.

"Salut marine c'est la course ce matin !"

"Oui c'est sûr qu'après deux semaine de vacance et une autre improvisé j'ai dû te trouver un remplaçant"

"Qui c'est ?"

"Sebastien chenu"

Je grinçais des dents pour ne rien sortir sur cette personnes que je n'arrive pas à apprécier.

"Bon Jordan il faut qu'on parle sérieusement" dit-elle d'un ton plus terne

"Des photos de Gabriel et toi on tourner !"

"C'est delogu je vais m'en occupe ne t'en fait pas et puis réellement marine j'ai tellement envie de le crier sous tout les toit"

"Fils de pute"

"Et qui gouverne la France alors ?"

"Comme Gabriel est dans état démissionnaire déjà c'est Edouard Philippe mais des élections présidentielles on été improvisé d'ailleurs demain tu as un débats"

Fait chier je suis contre qui ?"

"Jean-Luc melanchon"

"Cet vielle branche qui confond les arabes avec les fantômes ?" Disait-je en rigolant.

"Sujet verbe Hamas" disait marine en rigolant à son tour.

Nous rigolons un moment puis je repris ma route vers mon bureau, là où une pile de dossiers m'attendait. Comment ce fait-il que Sebastien n'est rien fait !

"Monsieur chenu vous êtes un incapable ou vous vous la couler douce ?"

"Pardon ?"

"Les dossiers dans mon bureau là pile à triplé de volume bordel !"

"Oui comme ceux de Laurent jacobelli !"

Le ton montait de plus en plus et mes nerfs aussi.

"Entre le président du rn et un simple député je pense que mes dossiers son plus important !"

"Qu'est ce que j'en est à foutre regarder un peut tout les dossiers que je vous est fait j'ai moi même mes dossiers à remplir et on en serais pas là si vous auriez gagner vos putain d'élection législative !"

Nous crions à présent et cela interpella edwig qui s'approchait de nous.

"Pardon !"

"Vous avez très bien entendu j'en est assez de me faire écraser par vous !"

"Redite une fois une chose pareil et c'est par terre que vous finirez !"

"Ouais c'est ça essaye connard va !"

"T'es mort fils de pute !"

Je commençais à prendre c'est épaules et le plaqua contre le mur de derrière, d'un coup  une vois ce mis à crier derrière moi. En me retournant il me frappa violemment à l'œil avec son poing.

Politiciens amoureux ? 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant