Le mafia King Park Jimin!! (Park Jimin FF)

~*35*~

⚠️ Attention sujet sensible!!! Si vous ne vous sentez pas en confiance, vous pouvez passer cette partie⚠️

Taehyung: Ji-Eun. Réponds. Moi. P*tain. De.  M*rde.

Je la dirige dans ma chambre et ferme la porte à clé.
Je l'ai fait s'asseoir sur mon lit. Je m'agenouille à sa hauteur et la regarde d'un air assuré.
Elle essaye de reprendre ces esprits tant bien que mal, mais je sais qu'elle a de la difficulté.

Taehyung: P*tain Ji-Eun... À ce point...

Elle finit par lever la tête, les yeux pleins de larmes.

Ji-Eun: Pendant ma captivité, il – il a commencé à me toucher...

Quoi?!
Elle continue à parler, je n'ose pas l'interrompre.

Elle m'explique qu'il lui a fait des attouchements et se masturbait devant elle et a essayé tant bien que mal à la doigter...

Ji-Eun: Tout ça m'a fait m'a rappelée l'autre...

Elle fait référence à son ex-mari.
P*tain de m*rde...
Je comprends pourquoi elle ne voulait rien savoir du plan de Jimin.

Je l'ai laissé pleurer, puis elle s'est endormie sur mon lit. Je l'ai couvert de ma couverture et je suis sorti.
En sortant de la pièce, je croise le regard de Jimin qui lui semble inquiet.

Taehyung: Il faut qu'on parle...

Point de vue: Jimin

De quoi veut-il parler?
Je le suis silencieusement vers un couloir qui mène vers ma chambre.

Taehyung: Écoute, il y a certaines choses qu'il faut que tu saches...

Son expression est noire. Il m'inquiète un peu.

Jimin: J'écoute.

Il m'explique tout ce que Ji-Eun lui a raconté.
Le sang me monte jusqu'aux oreilles et mon regard devient vide.

Jimin: Je reviens...

Je me dirige vers la salle d'arme, en prends un et me dirige sans plus attendre vers ma voiture. Pendant ce temps, je téléphone à Jin.

Seokjin: Ouais?

Jimin: Localise ce p*tain d'enf*irer.

Seokjin: Tu as abandonné le plan?

Jimin: Pose pas de question, fais ce que je te dis.

Je raccroche et reçois presque immédiatement sa location. Je conduis jusqu'à sa position.

...

Quand je descends de ma voiture, je me fais entourer par des gardes. Rapidement, je les détourne et les abats avec colère. Je me dirige vers sa villa. Mes pas deviennent de plus en plus lourds, j'ai le visage vide et les yeux noirs de colère.
Un des gardes m'arrête dans la maison. Je lui donne un coup, saisie son col et le traîne jusqu'à la pièce où se situe Marc.

Il me regarde sous le choc, mais cette expression disparaît rapidement par un sourire narquois.

Je souris.