C'est plus facile de survivre à deux. {Shigadabi}

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Bonjour les amis !

Voici ma seconde ff, qui je pense ne sera pas postée à un rythme régulier mais bon, qui sait ?

En tout cas je suis contente de réécrire pour vous <3

Dans cette histoire, Dabi pourra être appelé Toya par quelques personnages et Tomura a gardé son nom et s'appelle donc Tenko.

Oh, et pour le plot, Tenko et Dabi ont le même âge (à quelques mois près).

Bonne lecture~
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Pdv Dabi :

On s'ennuie à mourir ici...

J'étais affalé sur ma chaise, me balançant légèrement d'avant en arrière tout en fixant le plafond par manque d'occupation.

Je déteste cet endroit, c'est le pire lycée que j'ai jamais vu et c'est presque une honte pour le fils aîné du numéro deux de devoir se contenter d'un établissement de ce genre, bref. C'est principalement à cause de mon alter et des risques que j'encours quand je l'utilise que je n'ai pas pu suivre une formation de héros.

Mais c'est pas pour autant que je m'interdis de l'utiliser, comme en témoigne les nombreuses brûlures sur ma joue, mes bras (surtout le gauche), mes jambes, mon dos et un peu de mon torse.

(NDA : il a moins de brûlures et surtout mieux soignée que l'original si vous avez compris)

Et autant vous dire que quand votre propre père vous renie et vous ignore si vous lui devenez inutile, vous n'avez pas vraiment de raison de faire de votre mieux.

De toute façon, vous savez ce qu'on dit ? Le premier est toujours raté...

??? : salut Dabi !

Une voix enjouée me sortie de mes pensées, et quand je baissai la tête mon regard croisa celui de Tenko, mon meilleur ami.

Tenko est orphelin, il m'a confié que quand son alter s'est soudainement éveillé à 5 ans il a tué toute sa famille dans un accident avant d'être recueilli par un orphelinat (et pas vraiment un orphelinat de qualité). C'est aussi pour ça qu'il porte constamment des gants spéciaux.

Tenko et moi nous sommes rencontrés il y a presque deux ans en seconde dans ce même lycée (c'est honnêtement le seul bon point à propos de ce lieu) alors que nous étions dans la même classe.

Le courant était immédiatement passé, c'est étrange mais c'est un peu comme si nous nous complétions : je suis le soutien émotionnel et le grand frère qu'il lui manque, et lui est toujours là pour m'écouter quand personne ne le fait (en même temps, personne ne pense à aider un gars comme moi, je suis censé être fort et ne rien rater).

Je ne peux pas m'empêcher de sourire un peu à la vue de sa bouille, la peau brûlée de ma joue droite se pliant imperceptiblement.

Dabi : salut.
Tenko : alors, bien dormi ? Me demanda-t-il tout en s'asseyant à côté de moi et en sortant ses affaires de cours.
Dabi : pas trop, mais mieux qu'hier. Répondis-je avec un ton apathique au possible. Et toi... ?
Tenko : ça va.