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𝐍𝐄𝐈𝐆𝐄 𝐃𝐓É

Kuzan Aokiji



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LE SOLEIL RAYONNAIT SUR LA PETITE ÎLE DE Infortunii, les oiseaux chantonnaient et virevoltaient joyeusement tout autour de l'îlot ensoleillée, leurs ailes boisée battaient de plus belles, y laissant quelques belles plumes brunes au passage. Ils tournoyaient sur eux même, faisant des figures acrobatiques dans les airs, avant de tous se diriger à l'unisson en direction du soleil, puis, après plusieurs minutes, ils retombèrent en direction d'une colline situer au bord de l'eau. Leur voyage terminé, ils se posèrent sur un pommier situé non loin d'une chaleureuse maison au toit de tuiles rouges.

Une douce mélodie parvins aux oreillettes des animaux volants, une sorte de fredonnement musical sans réel rythme défini. Les oiseaux, après un court instant de réflexion, se mirent à piailliez joyeusement en sa direction. L'un d'entre eux s'envola même et vint se poser tout près de la voix, l'observant de ses petits yeux brillants.

La mélodie se stoppa brusquement et une fine silhouette féminine se tourna en direction de l'animal.

« Tient, bonjour toi. » La silhouette déclara, approchant son doigt couleur porcelaine près de son plumage, ses douces boucles blondes retombant sur ses épaules alors qu'elle se penchait de plus en plus, espérant pouvoir caresser cette petite boule de plumes.

Mais, un animal restant un animal, l'oisillon s'envola avant de se déposer sur une clôture entourant la petite maison et ses environs gazouillant étrangement tout du long.

« Quel dommage... » La femme se redressa avant de poser son visages entre ses mains, arborant une moue déçus sur le visage.

Puis, brusquement, comme le bruit d'un fusil se déclenchant au beau milieu d'une forêt en y effrayant chacun de ses habitants, de lourds pas raisonnèrent tout autour de la colline. Les oiseaux, au paravent calmes, s'affolèrent et s'envolèrent en direction de ses bruits. Mais, avant d'avoir put atteindre la figure à moins d'un mètre, les animaux tombèrent au sol dans de petits bruits sourds, congelés.

Ceci attira immédiatement l'attention de ce qui était, jusqu'à présent, la seule humaine présente dans le périmètre. Cette dernière écarquillas ses yeux qui se mirent instantanément a brillé comme de petites étoiles resplendissant pour la Lune au beau milieu de la nuit.

« Kuzan ! J'ai vu les nouvelles dans le journal ! Tu as quitté la marine ? » La femme se leva et se précipita gracieusement en sa direction, la robe d'une couleur semblable à celle du ciel virevoltant autour d'elle alors que ses jambes avancèrent naturellement vers la forme qu'elle avait précédemment nommée "Kuzan".

NEIGE D'ÉTÉOù les histoires vivent. Découvrez maintenant