Chapitre 6

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Fiancés?

Je suis fiancée???

J'assimile mal alors là très mal l'information, mon père n'avait pas le droit, non il n'avait pas le droit de m'utiliser pour obtenir un gros contrat. Finalement qui n'a servi à rien parce ça ne l'a pas empêché de courir à l'échec le menant irrémédiablement à la ruine. La Corporation, cet entreprise qu'il avait créé au point d'oublier la présence de sa propre famille n'existe plus, mieux il est complèment détruit aujourd'hui. Il y a de cela 6 mois, depuis qu'on a acheté le terrain pour construire un boutique de vêtement à la place.

- Layla, ma chérie, écoute, tenta mon oncle conscient de mon état rageur qui ne va pas tarda à tout anéantir rien qu'avec mes mots.

- Ne m'appelle pas comme ça, ne m'appelle plus comme ça mon oncle. Pendant tout ce temps, tu étais au courant de l'arrangement de mon père et tu n'as pas eu assez de couilles pour m'en tenir rigueur. Maintenant tu me parles de fiancé et puis quoi encore, après ce sera mariage, je serai une parfaite épouse docile répondant présente au moindre besoin de son mari en plus des gosses qui pointeraient plus tard le bout de leur nez.
Tu me connais! tu savais très bien que j'allais réagir ainsi et Non! NON JE REFUSE C'EST CLAIR!!

- Je suis ton aîné Layla et je ne tolère pas qu'on me manque de respect surtout pas venant de ma famille, tonna-t-il d'une voix qui se veut dur.

- JE M'EN FOUS T'ENTEND! NE VIENS PAS ME PARLER DE RESPECT ET DE FAMILLE PARCE QUE C'EST PAS CE QUE JE VOIS AUJOURD'HUI!  Vous me prenez pour une pute c'est ça, bon à vendre pour un foutu contrat. Pourquoi tu ne l'as pas arrêté hein? Ton frère a toujours eu le chic de nous mettre dans des situations pas possible. C'est pour ça que maman n'a pas pu supporter.

Le regard de mon oncle s'assombrit et moi, ça me fait jouir intérieurement. Je touche là où ça fait mal comme ça il comprendra toutes ces ondes négatives qui m'assaillent jusqu'à fissurer mon esprit, là maintenant!

Pathy jusque là en retrait s'avança légèrement vers moi pour me murmurer de me calmer. Il faut que je réfléchisse tranquillement à tout ça.

C'est alors que l'affreux pingouin crût avoir le droit de m'approcher et de me tapper la discute.

- Réfléchis bien à ce que tu rates poupée,   moi je suis un vrai, plein aux as, tu ne manqueras de rien. T'as qu'à me demander ce que tu veux.

- vraiment? Souriai-je amusée.

Il hocha la tête avec arrogance et moquerie.

- Alors pars! Pars loin d'ici et ne reviens plus jamais.

- Je ne perd jamais un contrat bébé. Je t'aurai même si c'est par la force et même la justice ne pourra rien pour toi. Alors ne demande pas l'impossible poupée, Répéta-t-il.

-C'est tout ce que je suis? Un vulgaire contrat? Tu sais ce que tu devrais faire avec ton contrat à la con, t'étrangler avec. Les mecs comme toi me passent de travers. Et si t'es autant riche que ça, t'as qu'à te payer de vraies putes et encore tu ne pourras même pas les satisfaire avec ta bite toute molle. Moi, je fréquente de vrais bonhommes, ceux qui te fassent hurler de plaisir rien qu'avec un baiser, lui balançai-je à la figure.

Les veines qui apparaissent sur ses bras et sur son cou montrent qu'il est sérieusement furieux et devinez quoi, moi encore plus. Il s'avança plus près de moi pensant m'intimider tout en changeant l'expression sur son visage. mais je reste droit, sans broncher.

- Tu sais quoi, oublie tout ce que je viens de dire. Quand je t'aurais, tu me suppliras, tu te soumettras à moi comme une chienne. Et quand je me serai lassé de toi, je te transformerai en pute de service et là tu auras tellement d'hommes pour s'occuper de toi que tu ne te souviendras même pas de leur taille, débita monsieur toucher dans son égo.

Jusqu'à t'avoir :)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant