1. L'ADULTERE

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Je ne sais mm pas pourquoi j'ai voulu ecrire une histoire la verite javais rien a faire bref 💀💀🤣

Bonne lecture❤️

(Ya surement des faites d'orthographes mais flemme de corriger jvous ment pas😔)

Assise au sol, enveloppé dans cette couverture affreusement sale, je ne parvient pas a trouver le sommeil malgré toutes mes tentatives. Ces images affreuses refont surface dans mon esprit ,dès que je ferme les yeux ce qui me procura des frissons torrides. Mon ventre cri famine. Cela fait plusieurs jours que l'ont me nourris plus. Parfois, je pensais même a bouffer les cafards qui séjourne avec moi. Tandis que j'étais dans mes pensées, j'entendis des pas derrière cette porte de cellule qui grinçais a chaque fois qu'un garde ou que lui l'ouvrait. La clé de la cellule se tournait dans ce verrou que je regardais tout les jours ne sachant pas quoi faire de mes journées. 

Dès qu'il parvient a rentrer dans la cellule, je fermis frénétiquement les yeux pour ne pas qu'il voit mon mal etre et également accentuer mes cauchemars.  

Je sus d'instinct que c'était lui car dès son entré, une atmosphère démoniaque se fit ressentir dans cette pièce de 2 mètre carré. 

Toujours les yeux fermer, j'entendis ses pas se rapprocher lentement de moi comme il le fait toujours pour m'intimider se qui fonctionne car, a chaque pas mon rythme cardiaque s'intensitif mais je freins l'indifférence. 

Lorsqu'il qu'il est enfin proche de moi, il s'agenouilla a ma hauteur et pris d'une manière douce mon menton avec son index et son pouce. Il y avait des jours ou il venait dans ma cellule complètement bourré pour venir me tabasser lui et ses hommes ou alors il venait seul soit pour but de me traumatiser en me racontant ses anecdotes aussi sombres les une aux autres ou pour but de me narguer avec de la nourriture ce qui me bouillonnait le sang mais je ne peux rien y faire. 

Je sentis son souffle sur ma peau. Son haleine était un mélange de chewing-gum à la mente et de cigarette. Vu l'odeur prononcé je su directement qu'il avait fumer récemment. J'avais toujours les yeux fermer pendant qu'il m'observait. Je le sais car je le connais par cœur et que durant toutes nos années passer ensemble je ne peut pas ne pas le connaitre. 

Bref, je secouais la tête pour faire disparaitre ses pensées de mon esprit. Je sentis son autre main inoccupé me caresser la joue d'un geste affectueux se qui me fis froncer les sourcils de dégout. Il n'a pas l'air d'aimer mon reflexe il me dit tout bas

- Ne soit pas dégouter de moi Fürstin (princesse*)

Je ne répond rien.

Il s'approcha de moi jusqu'à se que nos front soient collés.

-Parle moi. dit-il d'une voix qui me faisais craquer à une époque.

Les souvenirs.. tous ceux que nous avons vécu ensemble ses promesses, ses mots doux, sa gentillesse, ses mains sur moi, nos soirées a regarder le ciel et a se parler de tout et de rien pendant des heures. Tous ses souvenirs me donnait une immense rage envers le genre masculin. Je sais que je finirais ma vie seule, car je ne veux pas souffrir comme je l'ai été. Je lui ai donner tous se que j'avais je pensais que ce serait l'homme qui me comblerais de bonheur jusqu'à notre mort. Chaque soir je m'imaginais lui et moi devant le maire nos familles, nos amis pour vivre a ses cotés. 

Mais tout mes rêves sont tomber à l'eau le jour ou je l'ai surpris à commettre un pécher grave qui est L'ADULTERE. Etant croyante, c'est un pécher que je redoute le plus sachant que mon père à déja infliger cela à ma mère. Je ne saurais pas expliquer le sentiment que j'ai eu lorsque je l'ai surpris. J'avais senti un immense poids sur moi comme si tous les bonnes choses qu'il m'ai faites et que nous nous sommes faites retombaient sur moi. Comme si mon corps s'engouffrais bas très bas.

Tellement que étais je dans mes penser je ne remarqua pas que je pleurais et sanglotais à chaude larmes.

Lui qui c'était éloigné de moi sans que je m'en rende compte, c'était assis juste devant moi me regardant me morfondre sans une once de pitié dans son regard. Dans ses iris d'un bleu électrique et ses globes extrêmement rouge du à la cigarette ,je vis seulement une lueur d'amusement et d'une autre mais que je n'arrivais pas a d'écrire comme si il était soulé. Alors que si tout se serais dérouler comme je l'aurais imaginé on aurait déjà eu des enfants.

- Ta fini ? dit-il d'une voix rauque

Je me décidais enfin à parler.

- Pourqu-quoi tu m'as fait sa ?! dis-je en criant de toutes mes forces malgré ma voix cassé.

D'un coup, il se relève comme si je l'avais électrocuté. Il fit juste deux pas pour arriver jusqu'à moi pour m'attraper les cheveux. Du moins ce qui en restait car, il me les couper jusqu'au milieu du dos alors que mes cheveux était tout en bas de mon postérieur. Il savait très bien que mes cheveux comptais beaucoup pour moi. Il l'a juste fait pour me voir souffrir mais je ne lui ai pas laisser profiter.

Il sortit quelques secondes pour appeler ses hommes pour venir me tabasser. Une dizaine d'hommes rentrait dans ma cellule armé de ceintures, bâtons et de lames. Tous avait un sourire au lèvres. Je me demandais parfois si ils avaient des familles. Accepteraient-ils de voir leurs filles, cousines, nièces se faire battre avec de telles armes ?

Ses hommes commencèrent donc à me martyriser. Certains me fouettais d'autres décrassaient mon corps avec leur pieds d'autres encore me crachais dessus. Mais je ne voulais pas réagir pour ne pas donner leurs donner de la satisfaction. Même si mes larmes me trahissait.

Ils continuèrent à me tabasser jusqu'à sang. Je suis certaines que des ecchymoses recouvraient la moitier de mon corps sauf mon visage, car je recouvrais mes mains dessus. 

Alors que je sentis que j'était au bord de l'inconscience, ils s'arrêtèrent tous d'un coup surement avaient-il reçu un signal pour arrêter. Je sentis des pas se rapprocher de moi. Et d'une poigne ferme, une main attrapait fermement mon visage se qui me fis gémir de douleur. Quand mes yeux rencontre ses deux iris bleus que je re connais par cœur. Je gloussais lentement sans pour autant ne pas garder mon sang froid. 

- Tu continues de faire la "femme fatale" même quand on te tabasse a plusieurs..  Dit-il d'une voix a peine audible.

Il s'approcha de mon visage, ses lèvres frôlaient mes joues, mon nez. Il se mit également a léché mon arcade sanglante.

Il ramenait ensuite ses lèvres vers mon oreille droite en me disant.

- J'aime tellement te voir souffrir, voir ton sang dégouliner sur ton joli petit corps tes larmes , ton regard si doux qui m'implore de dire à mes hommes ou à moi d'arrêter. Mais sache une chose Sierra, tu ne sortiras jamais d'ici.

Un frissons me parcourut, je parcoure la cellule du regard en cherchant de l'aide. Soudain je croise un regard certes dur mais je réussi a percevoir une lueur de pitié. 

Notre regard dure 10 secondes avant qu'il le rompe en hochant légèrement la tête suivit d'un sourire a peine visible.

Après sa tout le monde quitta ma cellule, je me retrouvais seule avec moi meme mes penser mener vers la douleurs de mes blessures ma faim mais également L'Homme...









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⏰ Last updated: Sep 27 ⏰

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SIENNA.Where stories live. Discover now