Câlin d'un soir

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Après une belle journée au soleil, nous sommes rentrés à la maison et avons chacun pris une douche pour nous dessaler et nous rafraîchir.

Tu t'es rhabillée très simplement, portant un pantalon et un t-shirt sous lequel tu n'as pas mis de soutien-gorge. Tes joues ont pris des couleurs et tes yeux bleus ressortent de ton visage. Tes très jolis petits seins sont libres sous ce t-shirt et cette simplicité est sexy à souhait.

Nous sommes face à face, bouquinant chacun de notre côté. Tu sens mon regard sur toi qui regarde ton visage, tes yeux, les lèvres et descend rapidement sur ta poitrine. Tu lèves la tête et saisis mon regard. Tu as deviné l'objet de mon attention et souris de voir la lueur du désir au fond de mes yeux. On se regarde quelque temps, cherchant le premier qui va baisser le regard. Tu tapotes le canapé à côté de toi, m'invitant à t'y rejoindre. Je me lève sans me faire attendre et m'assois à ton côté.

De la douche prise plus tôt ressort une odeur envoûtante et féminine. Tes cheveux brillent après avoir pris le soleil. Je passe mes doigts entre les tiens et me penche doucement pour chercher le contact de tes lèvres. Notre premier baiser est très doux, nos corps restant éloignés l'un de l'autre, uniquement unis par une main. Nos lèvres se cherchent très tendrement, les miennes s'entrouvrent légèrement pour saisir délicatement ta lèvre inférieure.

Ma main vient saisir l'arrière de ta nuque, tu sens mon emprise sur ton corps prendre forme. Nos deux corps se rapprochent rapidement, nos hanches se touchent et mes mains descendent dans ton dos. Ta langue vient rapidement chercher le contact de mes lèvres, je sens la pointe de ta langue caresser ma lèvre inférieure. Notre baiser se fait alors plus gourmand et nos langues se rencontrent en un baiser fougueux, un peu animal.

Je descends alors du canapé et m'installe à genoux entre tes jambes. Tu écartes celles-ci et les accroches dans mon dos. Notre baiser reprend de plus belle, mes mains saisissent tes petites fesses vigoureusement. Tes mains descendent le long de mon dos, s'agrippent à mon cou et viennent frotter mon torse.

L'excitation nous gagne tous les deux et ton bassin réclame un contact plus ferme. Mon sexe est complètement dressé et tu viens coller ton pubis, à travers ton jean, contre le mien. J'assure plus fermement ma prise sur tes fesses et entreprends un léger mouvement de frottement contre ton sexe. Mes lèvres quittent alors les tiennes et ma langue descend le long de ton cou vers le creux de ton épaule. Mes lèvres viennent t'embrasser derrière l'oreille et mordiller un peu son lobe.

Tes mains agrippent fermement mes fesses pour maintenir une pression continue et croissante sur ton sexe. Nous nous regardons un instant, conscients que la température monte et réjouis de la perspective d'une belle occasion de faire l'amour, au calme, dans un climat paisible et sans contrainte de temps.

Je t'avoue alors un fantasme non réalisé depuis trop longtemps, consistant à remettre une bûche dans le feu, à apporter un matelas dans le salon et à faire des câlins à la seule lueur des flammes. Je te suggère, pendant que je pars chercher le matelas, de refaire comme on avait déjà fait chez moi : je t'invite à ne garder que ton string et à commencer gentiment sans moi les petits plaisirs, j'entends en effet à mon retour ne pas te voir les mains inactives. Tu acquiesces et je pars chercher un matelas.

À mon retour, je te trouve, les lumières éteintes et éclairée uniquement par les braises du feu, une main posée sur le bord de la cheminée, à genoux sur le tapis du salon, et une main glissée sous ton string, caressant ton sexe. Tu es de dos et tu m'entends venir, tu ne te retournes pas afin que je profite du spectacle. Ton petit cul est éclairé en contre-jour et ses courbes n'en ressortent que mieux. Je défais rapidement mon pantalon et m'approche de toi. Mes mains se portent sur tes seins, chauffés par la chaleur du feu et d'une grande douceur. Mon sexe dressé vient se coller à tes fesses et tu entreprends quelques mouvements d'une langueur particulièrement excitante. Je te chuchote des mots à l'oreille et cherche tes lèvres pour les embrasser. Une de mes mains descend le long de ton ventre et vient se coller au dessus de la tienne. Je perçois ainsi le mouvement de ton majeur sur ton clitoris, tantôt rapide, tantôt lent.

L'innocence en chair et en os Où les histoires vivent. Découvrez maintenant