L'histoire que j'écris m'est arrivée il y a maintenant un peu plus d'un an. Je suis plutôt jolie, bien foutue comme disent les hommes, marié à un homme que j'aime et qui est beaucoup plus branché sur le sexe que moi. Depuis longtemps, son fantasme est d'avoir une expérience sexuelle à trois( 2 hommes et moi). Mais moi je suis trop timide pour ça. Du moins jusqu'au jour où.
Je décide d'aller faire du shopping. Je traîne dans les boutiques. J'entre dans une grande galerie commerciale. Je passe un peu de temps dans une boutique de bijoux fantaisie. Il y a beaucoup de monde et ça bouscule pas mal. Je décide donc de partir et de revenir une autre fois. Je paie mes achats et au moment de sortir, un agent de la sécurité m'accoste et me demande de le suivre pour une simple vérification du ticket de caisse.
Je le suis, je traverse des couloirs, puis on entre dans un bureau, il referme la porte derrière moi. Il me demande ce que j'ai acheté, je lui montre donc mes achats et le ticket de caisse.
Et là il me dit : « rien d'autre à déclarer », je suis étonné de sa question et je réponds : « non ».
Il me demande d'ouvrir mon sac à main et de le vider devant lui. J'exécute et à mon incompréhension et étonnement, il y a une bague et un collier encore dans leur emballage provenant du magasin.
Le gardien me dit : « et ça c'est quoi ? »
Je ne sais plus quoi dire j'ai le souffle coupé : « mais je ne sais pas .ce n'est pas à moi. je n'ai jamais acheté ces horreurs »
L'agent répond : « effectivement vous ne les avez pas acheté, mais dérobé ».
Je deviens rouge écarlate, il était entrain de me traiter de voleuse. Mais comment me défendre ?qui avait pu glisser ses objets dans mon sac ?
Annie et son gode
Le gardien : « n'essayez pas de nier, vous êtes devant le fait accompli. ».
J'ai bon lui répéter que ce doit être un mal entendu, et que quelqu'un a du glisser ces objets dans mon sac, il ne veut rien savoir.
Il me dit alors qu'il va rédiger un rapport, prévenir la police pour qu'il dresse un procès verbal et me fouiller, et que suite à cela un article passera dans les faits divers de la presse locale signalant les faits. Je suis morte de trouille. Mon honneur allait être sali pour quelque chose dont je ne suis pas responsable.
Je lui demande sa clémence en répétant mon innocence et là il me propose de ne pas faire intervenir la police, qu'il y aurait alors simplement un rapport interne au magasin et un article dans la presse, mais la fouille serait faite par lui car il n'y a pas de personnel féminin au niveau de la sécurité du magasin.
Après un moment de réflexion, j'accepte, j'évite tout de même le rapport de police.
Le gardien me demande de me tourner face au mur en tendant le bras vers le haut et en appuyant les mains sur le mur. Il se place derrière moi et commence à me palper les épaules, les bras, le dos, il passe ses mains devant moi et m'attrape les seins à pleine main. Je sursaute. Il me plotte allègrement. Je lui dis sur un ton un peu agressif : « profitez en, ne vous gênez pas » et il me répond : « vous préférez la police ? » et il continue, il descend sur mon ventre puis passe sur chacune de mes jambes.
Ce jour là j'avis mis une petite jupe assez serrée avec des bas auto fixant. La jupe étant serrée sur mes cuisses il ne pouvait pas remonter plus haut.
Il arrête et me dit : « madame je suis désolé mais il va falloir que vous remontiez votre jupe pour que je puisse vous fouiller jusqu'en haut de vos jambes ». Je proteste mais en vain il ne rien savoir et dit appliquer le protocole de fouille au corps et que si je refuse il appellerait la police pour avoir un agent de sexe féminin pour réaliser le geste. Alors je m'exécute, je remonte timidement ma jupe. J'arrête et là je l'entends marmonner plus haut madame. Je continue. Ma jupe est retroussée jusqu'à ma taille laissant apparaître mon string, mes bas et mon joli cul et il me demande alors d'écarter les jambes. Il s'approche de moi, il est tout prés, je sens son souffle dans mon cou. Il se baisse et reprend sa fouille jambe gauche puis jambe droite et d'un seul coup il passe sa main entre mes cuisses, la colle fermement sur mon pubis et la retire en la frottant sur mon sexe. Je sursaute et lui crie que c'est dégueulasse ce qu'il est entrain de faire, même si je dois avouer que mon sang n'a fait qu'un tour et j'ai immédiatement senti l'humidité envahir mon sexe.
Il ne répond rien, remplit quelques papiers puis il me dit qu'il y a un problème, la somme dépassant 100 euros il était dans l'obligation de prévenir son supérieur et que lui ne faisait pas de cadeaux. En claire il exigerait un rapport de police. Il l'appelle au téléphone il discute au moins 5 minutes puis il raccroche. Il me dit qu\'il ne veut rien savoir . sauf si éventuellement je me montrais gentille avec eux.
Je crois rêver, ce n\'est pas possible. Je lui dis que je ne comprends pas ces propos et là il me répète sèchement : « vous avez le choix entre les flics avec procès, article de presse et une partie de jambes en l'air ». Je suis abasourdie et épuisée psychologiquement.
Je ne sais plus quoi faire et j'imagine la honte qui s'abattrait sur moi avec mon nom dans les faits divers. Alors, je ne sais où j'ai trouvé la force de répondre mais je lui dis : « d'accord dites à votre chef que j'accepte »
Il reprend son téléphone, lui parle puis raccroche. Il s'approche et me dit que son chef souhaite qu'il me bande les yeux pour préserver son anonymat. Il me bande donc les yeux. Le silence se fait lourd autour de moi, j'ai peur, je demande ce qu'il m'a pris d'accepter et soudain une porte s'ouvre. Puis, quelqu'un derrière moi me ceinture et m'embrasse dans le cou. Il me plaque les fesses contre lui, je sens déjà son sexe au travers de son pantalon puis il me plotte les seins avec fermeté. Je pousse des petits soupirs.
L'autre devant moi m'a ouvert le chemisier et a dégrafé mon soutient gorge, il me baisse ma jupe. Tout va très vite. Il me fait écarter les jambes, m'embrasse le vente descend sur mon sexe, il met sa tête entre mes cuisses, écarte mon string et me lèche le sexe. Je pousse des petits cris car en même temps il me doigte.
Celui derrière moi me baisse mon string, je mouille comme une fontaine, cette situation m'excite malgré moi.
L'homme devant se redresse, il m'embrasse à pleine bouche, m'attrape par les cheveux m'oblige à m'incliner en avant et me demande d'ouvrir grand la bouche, et me fourre sa queue que je suce immédiatement. Elle est grosse j'ai un peu de mal à la faire entrer dans ma bouche. L'autre derrière me doigte et me lèche. Ensuite, l m'allonge sur le bureau l'un me donne sa queue à sucer et l'autre est entre mes cuisses qu'il écarte et qu'il tient fermement. Je sens son sexe contre le mien. il est encore plus gros que tout à l'heure.
Il appuie son gland sur ma chatte et je sens ce chibre entrer lentement, l'adrénaline monte en moi, je me défoule en suçant l'autre. Il me rentre sa queue presque entièrement et là il commence des va et vient puissants et brusques. L me remplit la chatte à chacun de ses mouvements, la sensation est tellement forte que je n'ai pas tardé à avoir un premier orgasme. Ils m'ont pénétré chacun leur tour dans toutes les positions. C'était très fort, j'en arrivais même à oublier pourquoi j'étais là. Ils me donnaient un tel plaisir une telle jouissance.
Après un certain temps, l'un des deux s'allongea au sol et l'autre me guida de manière à ce que je vienne m'empaler sur sa bite bien droite. Il me baisa un peu comme çà puis il me serra contre lui, m'obligeant ainsi à me cambrer. Vous devinez sûrement la suite l'autre est venu derrière moi, a présenté sa queue à l'entrée de mon petit cul. J'ai eu bon dire que je ne voulais pas de sodomie, que je n'aimais pas çà, il continuai à appuyer son gros gland sur l'entrée de ma petite grotte qui finit par céder. Quelles sensations indescriptibles de plaisir, de jouissance et de douleur à la fois. Je sentais son sexe entrer progressivement en moi. Puis petit à petit ils ont entamé des va et vient. Je ne pouvais plus, j'hurlais de plaisir, jamais je n'aurais imaginé vivre une expérience pareille, je me faisais pénétrer les orifices par deux inconnus en même temps. Mais quel pied.
Après m'être fait littéralement labourer, je sentis celui qui me sodomisait se crisper, il s'est immédiatement retiré, il m'a redressé et m'a joui au visage et sur les seins. Je me suis relevée, l'autre homme aussi et il m'a repris en levrette contre le bureau. Je n'en pouvais plus, je n'arrivais plus à crier mon plaisir puis vint la délivrance, il retira son sexe et m'aspergea les fesses, le sexe et le cul de son foutre. J'étais anéantie, affalée sur le bureau et j'avais bien du mal à redescendre du septième ciel.
J'entendis un claquement de porte puis on me retira mon bandeau. Il ne restait plus que le vigile, le sexe à l'air qui malgré une position au repos me semblait d'une taille encore imposante. Son chef s'était éclipsé. I me dit que je pouvais m'habiller et disparaître et que bien évidemment, il ne s'était jamais rien passé, pas de vol pas de viol.
Je suis repartie tout hébétée, me demanda encore ce qu'il m'était arrivée. Une fois dans ma voiture, j'ai réfléchi longuement et je me suis souvenu d\'un instant dans le magasin où le vigile, en s'excusant pour se frayer un passage dans le rayon parmi le monde, s'était frotté à moi. C'est sûrement à ce moment là qu'il a glissé volontairement les articles dans mon sac, me soupçonnant ensuite d'avoir tenter de les dérober.
J'ai souvent repensé à cette aventure, je ne l'avais encore jamais raconté à personne auparavant. Aujourd'hui, je suis partagée entre la honte d'avoir acceptée ce chantage, d'avoir trompé mon mari et l'envie de revivre un tel moment de jouissance. Il m'arrive parfois d'y repenser quand mon mari me fait l'amour car il n'a pas été gâté par la nature de ce côté là il a un sexe à peine dans la moyenne nationale et maintenant que je connais l'effet que m'a donné un plus gros sexe. Honnêtement, je n'avais jamais joui autant et aussi fort.
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L'innocence en chair et en os
RomanceCette chronique est une histoire réelle d'une jeune filles sénégalaise qui a vécu de vrais tours de l'amour une histoire presque incroyable. Ecrites avec un français jargon de la rue, des expressions jeunes. La jeune zayna exprime sa vie en tant que...