Liana, une étudiante en littérature, assez banal en apparence, une petite rousse aux yeux vert, jolie mais sans plus. Une élève plutôt bonne en deuxième année de fac, ne sait pas que lors d'une des ces fêtes sa vie va radicalement changer....
Je descend les marches de l'escalier en manquant plus d'une fois de me tuer, foutue talons aiguilles...J'étais habillée d'une belle robe en soie noir, et d'une veste en cuir noir. Je me précipite vers la porte d'entrée, j'étais en retard...
_Bonne journée maman !
_Bonne journée chérie
On est de 31 octobre, c'est enfin Halloween, meilleure fête pas de débat. Amanda et moi allions passer la journée ensemble, on avait pas eu le temps de se voir pendant les vacances à cause des devoir, merci Madame Arman pour son exposé et son livre de 1000 pages à lire...
On avait tout prévu pour aujourd'hui, rendez vous dans un café, papotage et enfin boite de nuit avec Marcus et James, j'avoue ils sont un peu là en garde du corps.
_Aïe !
Merde, je me suis pris un potos, Liana, quand apprendras tu à marcher ?... Je contourne le potos et continue de marcher, j'habite en centre ville de New York, dans un petit appart avec ma mère, donc j'ai vraiment tout à proximité. Pour Amanda c'est plus compliqué, elle habite assez loin de la ville, mais au moins elle n'habite pas avec sa mère elle, et elle sa mère ne connais pas l'existence de ses <<jouets>>... Heureusement que ma mère est ouverte d'esprit sinon je sens que j'aurais passer un sale quart d'heure, même si je n'ai pas pus échapper au discours sur l'utilisation de ceux-ci. Bref, ,je me dirige vers le bus, qui pour une fois arrive à l'heure, bordel il va tomber quoi ? J'allais monter mais un homme descendant me percute.
_Hey !
Le gars s'enfuit en courant, je fouille dans ma poche pour sortir ma carte de bus, putain il est où mon porte feuille ?
_ Oh le fils de pute par son père !
Je me tourne pour voir où est parti le voleur, mais je le vois tourner à une ruelle 300 mètre plus loin, l'enculé...
Je cours pour le rattraper, bien sur en talon c'est beaucoup plus compliqué.. Quand j'arrive à la ruelle ,il n'est plus là, forcement. Il y a un grillage qui bloque le passage, je suis sur que ce salaud l'a grimper pour s'enfuir, connard . Bordel je suis pas catwoman, j'vais pas grimper ça en talon !
Je sort de la ruelle, le bus est déjà parti, je soupire, je prend mon téléphone et appelle Marcus.
_Hey Marcus, eheh, tu pourrais être mon preux chevalier pour m'emmener à la soirée ?
_Pourquoi, t'es pas censée prendre le bus ?
_Longue histoire...
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Quelques heures plus tard ,22h 36, boite de nuit.
_Mais du coup c'étais qui le gars ,un clodo ?
Je me rapproche pour mieux entendre Amanda à cause de la musique assourdissante, les gens qui dansent me poussent un peu, et un m'empêche de répondre à Amanda avec ses mouvement ,ce qui me donne une raison de plus d'être énervée. En plus l'odeur de vomi, de pisse et de sueur me monte à la tête. Je regarde Marcus ,Amanda et James pour leur demander de sortir avant que je vomisse aussi.
_Venez on sort, histoire de respirer un peu
Ils acquiescent, on arrive à se faufiler un chemin, grâce à James qui nous ouvrent la voie , heureusement qu'il est là, avec son gabarie de footballeur. On arrive dehors, L'aire est tout de suite plus respirable. On reste debout devant la porte de service à discuter, je prends l'une des clope que me tends Amanda, comme dans mon porte feuille l'autre connard à pris mes clopes... J'ai bien le seume. J'inspire la fumée puis la souffle.
_Alors Liana, tu le connaissait ?
Je regarde Amanda en fronçant les sourcils.
_Qui le clodo qui m'a voler ?Nan, je te jure que si j'avais pas eu mes talons ,je l'aurais frapper ce pauvre type, en plus ce fils de chienne à disparue je sais pas comment
_Chelou
_Ouais et-
Je me fais couper par un gars qui tape dans mon épaule en passant, je me retourne avec un regard agacé. Désolée mon gars, mais c'est pas le jour pour me faire chier .
_ Eh fais attention où tu vas
Le gars et son groupe de potes me regarde étonnés, celui qui m'a bousculé un grand, cheveux ébène. Il est canon ce con. Il s'approche, presque poitrine à poitrine, je suis obligée de lever la tête pour le regarder tellement il est grand. Sa voix est rauque, avec un petit air étonné .
