El hijo de la muerte

Prologue

(Résidence des Serrano)
Léo, 7 ans et demi

Je cours partout pour échapper à Sandro notre majordome, j'ai envie de voir mon parrain et mon père, mais ce dernier m'a interdit de les déranger. En plus oncle Rosinante à emmener son fils Deklan avec lui, j'entends des pas approcher grâce au son je reconnais immédiatement ma mère avec ses talons. J'ouvre grand les bras et sautille sur place pour qu'elle me fasse un câlin, elle le fait avec un immense sourire.

— Cariño, no debes huir así!¹
— Lo siento mamá.²
— Ce n'est pas grave mon amour mais ne recommence plus !
— Promis !!!
— Ont va emmener du café et un coca, avec des parts de gâteau pour les hommes.
— Oui !!!!! Je veux voir Tío³ Rosinante et son fils !

Nous nous rendons au bureau de mon papa, j'espère qu'il ne sera pas fâché contre mamá si je suis avec elle.... Lorsque mam's ouvre la porte le visage de pap's s'illumine.

— Mi Corazón, te dije que no vinieras a mi oficina esta tarde!⁴
— Mais je voulais voir Rosinante et rencontrer Deklan !!!
— Tu aurais eu le temps de faire ça au dîner petite canaille !

Il me prend dans ses bras, ça fait du bien d'être contre lui. Je ne veux plus bouger d'ici ! Il se réinstalle dans son fauteuil et reprend sa conversation avec Nante et mamá. Deklan me fixe, je descends de mon perchoir et me met à sa droite, je tremble un peu il fait froid dans la pièce. Dek le remarque et me met sa veste sur mon corps, il passe son bras derrière moi et m'attire à lui. Je laisse tomber ma tête contre son flanc et m'endors aussitôt.

Deklan

Pendant que le gamin tape sa petite sieste contre moi je lui caresse les cheveux et parle à mes potes sur Instagram, un groupe de chats pour des fils de mafieux et autres personnes du « même monde ». Les adultes ont fini de parler, ils se tournent tous vers l'asticot et moi. Je hausses les épaules nonchalamment en voyant mon père m'interroger du regard.

— Bon et bien, j'espère que tu va bien prendre soin de mon grand gaillard ! Je ne vais pas rester plus longtemps, sinon c'est ta crevette que je vais emporter Julio. Déclare mon paternel en rigolant

Mais de ce que je vois, monsieur Serrano ne plaisante pas. Il lui fait une accolade amicale avant de se diriger par ici.

— Prend soin de toi mi hijo !⁵
— Entendu, ne t'en fais pas ça va aller.

Il acquiesce et part, le chef et moi le suivons jusqu'à l'extérieur pour un dernier au revoir. Mon père m'enlace aussi fort que possible je lui rend son étreinte, ce n'est pas grave si il me brise les os je suis dans ses bras. Quand il monte dans sa voiture j'essaye de retenir mes larmes, je ne veux pas qu'il s'inquiète. Je le sais qu'il va pleurer aussi, je le sentais trembler contre moi. Alors qu'il démarre en trombe je hurle :

— NE TE FAIS PAS TUER JE N'AI PLUS QUE TOI !

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¹ : Chéri, tu ne devrais pas t'enfuir comme ça !
² : Pardon maman
³ : oncle
⁴ : Mon Cœur, je t'ai dit de ne pas venir à mon bureau cet après-midi !
⁵ : mon fils

NDA : Hello tout le monde ! J'espère que vous allez tous bien. Et que le Prologue vous aura plu !!!