Chapitre 2

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              **Dalanda Aïcha Barry**

Je suis assise dans ma chambre, mais soudain je resentis comme si quelque chose était arrivé a mes enfants.je me lève immédiatement et cours vers le salon ou les enfants jouaient.

Mais a premier vu elles n'ont rien alors pourquoi je ressens cette douleur si mais enfants vont bien.

Je leur demande alors

_ vous allez bien.

_ Oui répondent_elles en cœur.

Mais leur réponse ne me suffit pas,
Alors je me rapproche d'eux et les inspectes, Alhamdoullillah elles ont rien.

Je vois ma tante arrivée elle me regarde perplexe se demandant sûrement pourquoi je regarde ainsi les enfants.

_ Que ce passe t_ il Dalanda pourquoi les regarde tu ainsi, demande t_ elle.

_ j'ai crû qu'elles était en danger, mais a ce je vois elle vont bien.

_ yaw ya warra dallal sa khel bi kham ni sa Domi darra doulénn Diot thé gua bayi lénn niou fo,nagne déme si bir makk yaw am nagne wakhtane(tu dois te calmer et avoir confiance que rien n'arrivera a tes enfants,et laisse les jouaient et accompagne moi a l'intérieur je veux discuter avec toi.)

_ Ma tante vous êtes mére. vous êtes bien placé pour comprendre ce que je ressens.

_ je comprends mais yaw ya guemoul yallah si sa dôme yi, Allez vient.

Je la suis docilement a l'intérieur, arrivée dans ma chambre que je partage avec mes enfants, je la vois refermer la porte et venir s'installer à côté de moi sur le lit.

_ j'espère que ce n'est rien de grave.

_ Non, mais il faut qu'on parle Dalanda ça fait dix ans que tu as divorcé, je pense qu'il est temps de penser à toi et à ton bonheur.

_ je ne suis pas encore prête, et les enfants sont jeunes elles ont besoin de moi.

_ Elles ont dix ans que veux tu encore où tu cherches un prétexte car tu l'as pas oublié.

_ Ne me parlez pas de lui, sa fait des années que je l'ai oubliée.

_ Alors qu'es ce qui t'empêche d'accepter la proposition de mon fils.

_ Vous savez que je considère Sonhibou comme mon frère.

_ Comme tu veux, sache que je te considère comme ma fille , je  dit ça pour ton bonheur.

_ Rassurez vous quand je trouverai la personne idéale vous serez la première a être prévenue.

_ Konn bakhna magui yégue sibir bagua parré Agne (c'est bien je suis dans ma chambre).

Quand elle sors ,je pars rejoindre la cuisine pour commencer le repas.

Après avoir fini . Je demande aux enfants de prévenir tout le monde.
Quelque minutes après ont été tous assise au tour du bol.

Suite au repas je Sers le thé dans le salon ou son toute la famille.

_ Aller femme mariable, Nop ma gua bagne(aime moi tu refuses) dit Sonhibou me fessant honte devant ses parents et sa sœur.

_ Arrête de dire tes bêtises devant mes enfants.

_ elles savent déjà que je suis fou de toi.

Je ne réponds pas parceque je sais qu'il a raison,je dirais même que tout Dakar le sait pour ne pas dire Sénégal.

On reste discuter dans le salon jusqu'à ce que les parents partent avec les enfants faire une sieste.

Maguette,sa sœur nous dit qu'elle part réviser chez une copine.

Un Amour Sans LimitesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant