KéaJe sort de mes penssées en entendant toqué à ma porte. Je soupire fortement avant de dire : " oui entrez."
La porte s'ouvris laissant place à marco, c'est le majeur d'homme de la demeure. Il est assez âgé , il à précisement cinquante-huit ans. Mon père dit que c'est son bras droit et que sans lui il ne serais pas la ou il en est.
- Votre père vous demandes. Annonce marco d'une voix assez sèche et triste à la fois.
Je ne l'avais jamais vue comme ça. Que ce passe t-il. J'aquieçe et dessent dans le bureau de mon père, je reste un moment devant sa porte puis fini par toquer.
- Entre. Dit il sachant que c'étais moi.
J'ouvre délicatement la porte et entre, il a l'air préocuper. Ses long cheveux noir s'abbatent sur ses yeux de la même couleur il est vetu d'un costume noir et d'une chemise blanche. D'ailleur je ne ressemble pas vraiment à mon père il à la peu blanche et ma mère avait la peu noire. Je ne sais rien d'elle , à chaque fois que j'essaye d'aborder le sujet il évite.
Je m'assoie sur la chaise en façe de son bureau et ne dis pas un mot. Il se tourna vers moi.
- Kéa... il marqua une pose.
Si je t'es fais venir c'est pour une raison très délicate.Je relève la tête inquiète. Il se lève et se tourne dos à moi contemplant la vue à travers ses grandes baie vitrées.
- Qu'il y a t-il ? Il y a un problème papa ?
Un long soupire traverse la salle sans bruit. Il vient ensuite se rassoir dans son fauteille en cuir noir.
- Je vais devoir partir quelques part pendant un long moment...il marqua une pose. Tu vas aller chez un ami à moi en attendant il veilleras sur toi pendant mon absence.
Quoi? Je suis sous le choc...je ne comprends pas toutes ces informations.
Il détourne le regard se sentant coupable.
- Mais papa je peux rester ici marco veillera sur moi. Dis je d'une voix assez calme.
Il me regarde de nouveau avant de prendre un paquet de cigarrette et d'en sortir une. Il ne fais ça que l'orsqu'il ne vas pas bien. Il sait pertinament que je déteste cette odeur et que ça me fais tousser. Il se lève pour aller ouvrir la fenêtre. Une brise fraiche vient carresser mon visage et traverse mes cheveux fraichement lissés.
- Ce ne va pas être possible ma chérie, ne discute pas tu iras chez les Carters.
Il apporta sa cigarrette à sa bouche et l'alluma avec un briquet.
- Tu ne resteras pas longtemps ne t'inquiète pas je viendrais vite te chercher, je te le promet.
Mes yeux étaient remplis de larmes mais je ne voulais pas qu'il me voie pleurée. Alors je me lève et quitte son bureau me rendant jusqu'à ma chambre. Je prend un sac et commençe à mettre quelques affaires à moi. Notament un colier avec un pendetif en diament. Il appartenait à ma mère c'est la dernière et seule chose qui me reste d'elle.
J'entendis la grande porte d'entrée claquée signe que mon père étais partit. Il ne m'avais même pas dit au revoir ni ou il allait. Il ne ce sousouais plus de moi. Je devrais vivre seule à partir de maintenant me débrouiller par mes propres moyens.
J'entends des pats qui viennent du couloirs. Papa avait oublié quelques choses? Ou il venais me dire au revoir? Je me lève de mon lit me dirigeant vers ma grande porte. Je pose ma main sur la poignet mais la porte souvris.
Un homme étais la devant moi il portais un masque je ne voyais que ces yeux. Je recule appeurée. Je court vers ma coiffeuse et attrape un brosse qui étais posé la. Qui étais ce ? Comment étais t-il entrer? Des gardes sont posés partout dans la demeure. Il s'avance plus près de moi. Son regard me glaçais le sang. Il est vetu d'un pantalon noir et d'un pull de la même couleur. Je pouvais voir une arme rangé dans son pull. Il étais si menaçant.
- Qui êtes vous ?!
Il ne reponds pas et sort son téléphone de sa poche, il pianote quelques minutes dessus avant de lever la tete vers moi.
- Ton nom? Demandes t-il sechement.
Je recule de plus en plus la peur me gagne et sans réfléchir je saute par la fenêtre. Heureusement ma chambre n'etais pas tres heute.
J'atteris, et cours le plus vite possible en dehors de la maison. Je ne voie personne aucun garde ni même majeur-d'hommes.Personnes.
Mes jambes se mettent à tremblers et mon coeur s'accelera. Je me retourne et vie l'homme me poursuive. J'avance et mon pied se torde et je trebuche au sol.
C'étais la fin j'allais mourir là maintenant. Sans avoir aucun ami, sans avoir une seule fois quittée cette maison qui me servais de cellule. J'allais mourrir sans être tombée amoureuse... tout étais fini.
Il se rapproche de moi dans une marche lente. Et puis plus rien...
A suivre...