Amour Autorisé

14

POV: GABRIEL.

Le soleil se lève lentement sur la petite ville de Paris, quand Gabriel ouvre doucement les yeux et sent immédiatement la chaleur réconfortante du corps chaud de son amant. Il caresse presque du bout des doigts la joue de Jordan qui vient d'ouvrir les yeux et a déjà un doux sourire sur son visage à la vue de Gabriel.

-Coucou mon amour. Dit Jordan la voix rauque encore légèrement endormie.

Comme réponse à sa phrase, je me mis au-dessus de lui, et me colle a lui en mettant ma tête sur son torse.

-Je t'aime Jordan. Dis-je.

-Moi aussi Caro Mio. Répondit-il en me caressant les cheveux.

-Gab il faut se lever il est 10h et Jean-Philippe arrive a midi pour manger. Dit-il en m'embrassant le haut de la tête.

-Mais j'ai pas envie, je suis tellement bien contre toi. Dis-je en me collant encore plus à lui.

Il se lève, en me prenant dans ses bras et en mettant ses mains sous mes cuisses, et nous amène dans la cuisine, il me pose sur le plan de travail et m'embrasse doucement et amoureusement, puis il me lâche et se retourne pour nous faire du  café. Quand il fini, il se remet en face de moi et s'installe entre mes jambes et me donne ma boisson.

Quand nous avons fini de prendre notre  petit déjeuner, nous partons en direction de la salle de bain ou nous prenons une douche ensemble, nous sortons, nous nous habillons puis je met un peu de gel dans les cheveux de Jordan pour les tenir en place et il me recoiffe les cheveux pour les disciplinée un peu puis il m'embrasse sur la bouche.

-T'es magnifique mon cœur. Dit Jordan avec un léger sourire.

-Toi aussi t'es parfait. Dis-je en mettant sur la pointe des pieds pour l'embrasser sur le front.

Je pars m'asseoir sur le canapé et Jordan vient à côté de moi. Je me mets a califourchon sur lui, enroule mes bras autour de son cou et dépose ma tête sur son épaule, il enroule ses bras autour de ma taille.

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POV: JORDY (l'homme capable)

Cela faisait dix minutes qu'on était enlacés dans la même position quand quelqu'un toque à la porte.

-Ca doit être Jean-Philippe je vais lui ouvrir. Dis-je, il leva la tête avec un petit air grognon et se décale.

Je laisse sortir un léger rire en le voyant comme ça puis me lève et vais ouvrir à Tanguy, en le voyant je le prends dans mes bras dans une étreinte amicale, je vois Gabriel arrivé et il lui fait la bise.

-On va manger, j'ai faim. Dis-je avec un petit sourire.

-Ça me va, j'ai vraiment faim. Dit le nouveau président du rassemblement national.

Nous mangeons tous ensemble et nous rigolons beaucoup, il était enfin 14h, j'allais lancer mon plan.

-Je dois aller chercher un truc que j'ai commandé j'avais totalement oublié, je peux vous laisser tout les deux. Dis-je d'un tond assuré légèrement empli de regrets.

-Aucun souci mon cœur. Tu penses revenir dans combien de temps ? Dit Gabriel.

-Dans une demi-heure je pense.