Flashback il y a dix-huit ans le jour où il l'île de l'éclipse fut attaquer.
Armstrong et allonger dans son lit entrain de fixer intensément le plafond. Il est une heure du matin et le soleil n'est pas lever. Armstrong se lève de son lit en faisant en sorte de ne pas réveiller sa femme. Au moment où Armstrong pose ses pieds sur le sol un chien se lève du panier qui se trouver près du lit pour le rejoindre. Le chien est un vieux basset hound peinant à se déplacer. Armstrong s'habille et en fouillant dans sa poche il trouve le grelot que lui a donner Toka au bar. Il fixe le grelot pendant ce qui lui semble être une éternité avant de le remettre dans sa poche. Armstrong sort finalement de sa chambre suivi par son chien. Dans le couloir il aperçois une douce lumière violette s'échaper d'une porte entre ouverte. Il rentre dans la pièce est vois Ombrage dormir sous la douce lumière violette d'un cristal scintillant. Armstrong s'assoit sur le lit en prenant garde ne pas réveiller Ombrage. Armstrong caresse tendrement les cheveux de sa fille avant de commencer à verser des larmes silencieuse. Il se relève alors et sort le grelot de sa poche. il hésite pendant un instant à le poser à côté de l'oreiller d'Ombrage avant de finalement le garder et sortir de la pièce. Armstrong arrive dans la pièce principal de la maison et s'assoit à table avant de se baisser pour caresser son chien. Armstrong prend alors une profonde respiration et récupère son casque et ses chaînes poser sur la table avant de quitter sa maison. Une fois dehors Armstrong commence à s'éloigner en direction de la plage. Il se retourne une dernière fois vers sa maison. Armstrong arrive à la plage et s'assoit sur un rocher en fixant l'océan. Il ne sent rend pas compte mais les heures passe, le jour se lève et de plus en plus de soldats de l'île de l'éclipse arrive sur la plage. Un jeunes soldat s'approche d'Armstrong en semblant effrayer.
Jeune soldat "Mon...Monsieur Armstrong j'ai une question à vous poser."
Armstrong ne réagit pas et continue de fixer l'horizon. Soudain il aperçois les navires de guerres des différant royaumes arriver au loin. Il se lève alors de son rocher accroche ses chaînes à ses bras et met son casque. Le jeune soldat prend alors son courage à demain et pose finalement sa question à Armstrong.
Jeune soldat "Monsieur Armstrong je veux que vous me disiez la vérité ! Nous allons mourir pas vrai..."
Armstrong "Écoute gamin. Mieux vaut mourir ici que d'être encore là après pour simplement souffrir en constatant tout ce qu'on a perdu."
Armstrong se racle la gorge.
Armstrong "ÉCOUTER MOI LES GARS ! QUE TOUS CE QUI SOUHAITE PARTIR LE FASSE MAINTENANT ! PERSONNE NE VOUS JUGERAS SI VOUS PRÉFÉRER PASSER VOS DERNIERS INSTANTS AU PRÈS DE VOS PROCHES !"
Un silence s'installe parmi les soldats. Quand soudain un soldat vient se placer derrière Armstrong.
Soldat "Mieux vaut mourir ici plutôt que de déshonorer mon peuple, mes camarades et ma famille ! OH MON GÉNÉRAL NOUS ATTENDONS VOS ORDRES !"
Un autre soldats vient se placer derrière Armstrong à côté du premier suivit d'un autre puis d'un autre encore et encore. ils viennent tous se tenir en ligne derrière Armstrong pour former des bataillons.
Soldats "MIEUX VOS MOURIR ICI PLUTÔT QUE DE DÉSHONORER MON PEUPLE, MES CAMARADES ET MA FAMILLE ! OH MON GÉNÉRAL NOUS ATTENDONS VOS ORDRES !"
Armstrong souri tandis que les navires de guerres commence à accoster et à cracher des centaines de soldats en continu.
Armstrong "HAHAHAHAHA !!! C'EST PARTIT LES GARS ! "
Soldats "OUAIS !!!!!!"
Armstrong attrape ses crochets et charge contre les navires de guerres suivit de tous ses bataillons. de tous les côté du front des soldats alliés comme ennemis se font transpercer, déchirer et fusiller. Les cris de terreurs des soldats et le son des coup de feu et des armes s'entrechoquant commence à recouvrir toutes une partit de l'île. Armstrong aperçois alors un bataillon de soldats ennemi profiter de la mêlé général pour s'enfuir en direction du reste de l'île. Armstrong envoi alors ses chaînes en pour tenter de les arrêter. Les crochets d'Armstrong empalent alors le torse de plusieurs soldats du bataillon ennemi. Armstrong rétracte ses chaînes emportant au passage tous les soldats empaler avant de les projeter contre les navires de guerres. Les différant inquisiteurs sortent alors de leur navires de guerre respectif et commence à foncer vers le reste de l'île en ignorant complètement le champ de bataille. Armstrong se jette en l'air et réattérit sur une main avant de se mettre à tourner de plus en plus vite. Les chaînes d'Armstrong tourne tout autour de lui et déchiquète tout se quelle touche. Armstrong utilise alors la force centrifuge pour se propulser vers les inquisiteurs pour tenter de les arrêter Mais Brock le seul inquisiteur qui n'était pas encore sortit de son navire de guerre se jette sur le champ de bataille et réussi à arrêter Armstrong simplement en bloquant les chaînes avec son bras.
Brock "Ma sœur et mes frères ne prennent aucun plaisir à faire ça. J'en suis moi-même le premier attrister alors s'il te plaît Armstrong."
Brock recouvre son poing de cristaux avant de frapper Armstrong en plein dans le torse. Ce dernier crache une grande quantité de sangs avant de s'effondrer au sol.
Brock "Ne rend pas les choses plus difficile."
Brock quitte alors le champ de bataille en marchant comme si il ne se passer rien autour de lui.
Ellipse quelque minutes plus tard.
Armstrong se réveille sur le champ de bataille. Il se relève difficilement avant de constater l'horreur sous ses yeux. Tous ses bataillons sont morts. Aucun soldat de l'île de l'éclipse n'a survécu. Armstrong avance dans cette mer de cadavres quand soudain une main lui attrape la jambe. C'est le jeune soldat qui avez demander à Armstrong si ils allez mourir. Armstrong se penche alors au sol pour le essayer de le redresser mais celui se vide de son sangs. Tout le bas de son corps a était arracher.
Jeune soldat "Monsieur Armstrong... vous êtes vivant... S'il vous plaît, dites-moi que je vais m'en sortir... Je... je ne peux pas mourir maintenant... J'ai trop de choses à vivre... Je vous en supplie, monsieur Armstrong, aidez-moi !... Ma fiancée... Elle m'attend... Elle va avoir besoin de moi pour élever notre enfant... Il faut que je rentre..."
Armstrong attrape la main ensanglantée du jeune soldat et la serre contre la sienne.
Armstrong "T'inquiète pas, mon gars. Tout va bien se passer, je te le promets... Toi et ta fiancée, vous allez pouvoir l'élever ensemble, votre enfant..."
Le soldat serre plus fort la main d'Armstrong, comme pour essayer de se raccrocher à la vie. Sa voix est brisée, entre sanglots et spasmes.
Jeune soldat "Monsieur Armstrong... Je ne sens plus... plus rien... Je n'ai plus de jambes... Pourquoi je ne vous vois plus ?... j'ai si froid... tellement froid..."
Armstrong serre le corps tremblant du jeune soldat dans ses bras. Il respire difficilement, chaque inspiration est un supplice accompagné d'un râle de douleur.
Jeune soldat "Merci... Merci, monsieur Armstrong... Vous aviez raison... Peut-être qu'il vaut mieux mourir ici... plutôt que de survivre... pour constater ce qu'on a perdu... Mais... pourtant... pourtant, je... je ne veux pas... je ne veux pas mourir ! Je vous en supplie... Par pitié... aidez-moi !"
La respiration du jeune soldat devient saccadée. Son souffle s'accourci , comme si l'air lui manquait. Ses yeux se révulsent, et son corps convulse brièvement. Une panique sourde monte dans sa voix.
Jeune soldat "Non... non... ce n'est pas juste... Je devais encore... voir mon enfant... entendre son premier cri... sentir son odeur... S'il vous plaît... J'ai trop rêvé... trop rêvé de cette vie..."
Son souffle s'étouffe brusquement. Son corps se tend, ses doigts se crispent une dernière fois sur la manche d'Armstrong avant de se relâcher. Ses yeux restent ouverts, figés dans une terreur muette. Non pas par peur de la mort, mais par l'horreur de tous les rêves qu'il ne réalisera jamais. Dans un silence pesant, Armstrong sent le dernier spasme quitter le corps sans vie du soldat. Une vie brisée avant même d'avoir eu la chance de commencer.
Fin du chapitres
Merci d'avoir lu
Et désolé pour les éventuelles fautes d'orthographe et de conjugaison.