𝐂𝐡𝐫𝐨𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐘𝐚𝐬𝐦𝐢𝐧𝐚: « 𝐮𝐧 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐥𝐨𝐢𝐫»🌹

10🌹

Moi: Mohamed ?

Medhi: qu'est ce que tu veux le kho?

Mohamed : tu sais que t'es le s mais là touche pas comme sa frérot

Medhi: qu'est ce tu veux toi c'est elle , elle veut pas m'écouter

Il s'approche de nous et il attrape mon autre bras pour que Medhi me lache

Mohamed: allez Salem le kho , on en reparlera

On part , moi toujours avec les larmes aux yeux et Medhi surpris de se qu'il venait de faire.
Le trajet se passe en silence jusqu'à devant le hall de chez moi.
Je le regarde, il avait toujours son air froid , un regard profond mais très froid se qui me donné la chair de poule.
J'étais sur le point de monter lorsque j'oublia de le remercier.

Moi: euh attend

Mohamed: quoi?

Moi: merci tu sais ,comme tu le sais il n'est comme sa d'habitude.

Mohamed : si il a toujours été comme sa c'est juste que ces derniers temps c'est compliqué

Moi: oui mercii encore

Mohamed:«en souriant» tinquiète

Il avait un sourire magnifique mash'الله
Puis il partit
Je monte tranquillement dans ma chambre à lire des chroniques d'ailleurs allez lire celle de leilawttp7
Enfin bref je m'endorma enfin.

«Pose les filles vous ne devez sûrement rien comprendre alors on va faire un retour en arrière lorsque j'étais au collège.»

« retour en 2015🌹»

J'habitais dans un autre quartier
Cetais un quartier formidable avec des amis formidable
J'habitais dans se quartier parce que mes grands parents habitais ici
Cetais la plus belle époque de ma vie jusqu'à se jour où tout a basculé malheureusement...

Mama: chek dili?

Moi: walou pourquoi?

Mama: on va aller chez Jedi ( grand pere )

Moi: Saha vzz

On partait en direction de chez mes grand parents.
Mais bizarrement aujourd'hui j'avais un pressentiment bizarre.

Vendredi 17 octobre 2015

Moi: Papa? Pourquoi y a du monde dans la maison ?

Papa: ...

Moi: papa?

Papa: ...

Moi: BABA?

Papa: Jedi a le cancer et ceux depuis quelques mois

Moi: ...

Suite à cette nouvelle tout mon monde s'écroule. Mon grand père cetais ma vie , ma safe place , mon bonheur nan parlant même pas de mon père . J'étais très proche de lui de la j'ai senti des larmes coulés. Je me précipite dans la chambre directement en lachant mes larmes sur l'oreillé une douleur atroce

Quelques mois plus tard,

L'état de mon grand père s'empirait de plus en plus. Je gardais toujours malgré que cetais perdu d'avance.