VENDREDI 21 SEPTEMBRE 22 :28H
Alors que j'étais entrains de lire la duologie de Laura Swan le second de mon père entra dans la chambre cette fois si en toquant
Un grand sourire de fierté envers lui se dessine sur mes lèvres
- Entre ! Dis-je en lui donnant l'autorisation
Il pénètre par la suite ma chambre en étant clairement blasé d'être le messager entre moi et mon père
J'avoue qu'en ce moment il est légèrement tendu sans aucune raison
- Ton père veut te voir encore une fois
Je pousse un longs soupire et mets fin à ma lecture et pars en direction de son bureau
Richard remarqua mon énervement dans ma façon de marcher il mis sa main sur mon ventre pour me barrer ma route
Il ne m'a suffis une seule fraction de seconde pour lui jeter un regard noir
- Richard je te déconseille fortement de jouer avec mes nerfs VOUS SAVEZ TOUS TRES BIENS JE DETESTE QUE ON ME DERANGE EN PLEINE LECTURE
Je sais chérie mais c'est important alors gardes ton calme et vas-y et pèses tes mots il est un peu tendu. Dit-il en essayant de refroidir mon sang chaud car je l'avais rapidement
Je suis une fille très colérique et ça tout le monde le savait à part mon père
- OK !
Je monte à l'étage avec une colère dans le sang j'étais à deux doigts de ne pas partir dans son bureau
Arrivé devant la porte je ne pris, J'ouvris brutalement la porte : Tu veux quoi ?
- Tu es prête ?
- Nan il me faut encore du temps
- PARDON !?
- IL.ME.FAUT.ENCORE.DU.TEMPS
- En 12 ans d'entrainement ?!
Il croise les bras contre sa poitrine en s'adossant sur son bureau les sourcils en poussant un soupirant d'une façon déçue de moi
- Oui
Il explosa : C'EST UNE BLAGUE
- Nan
- Il te faut du temps où tu ne veux juste pas partir en mission
- A vrai dire je pense les deux
- Tu ne veux pas venger ta mère Juanne ?!
Je fronce les sourcils prise de courts par cette question qui sonnait plus comme une accusation qu'une question : Ne joues pas avec mes nerfs toi-même tu sais que j'ai une soif de rage plus énorme que la tienne alors ne tient plus jamais telle discours devant moi
Il s'approcha dangereusement de moi puis il saisit violement ma mâchoire il l'a serrait celle-ci tellement violement que je commençais à avoir le mauvais pressentiment que elle allait se fracturer sous ses doigt
- Tu vas me venger cette putain d'Italie C'est compris ? Et je te jure que si à midi tu n'es pas dans l'avions je n'hésiterai pas une seule seconde à te tirer une balle en pleine trachée jugulaire !
Mon teint fut virer d'un teint clair d'un teint pâle zombie mes pupilles se sont rapidement rétrécirent
- D...d'accord
- Dégages...j'aurais dû planter ton incapable de mère dans son sommeil pour pas que vienne au monde putain je regrette de pas l'avoir fait depuis longtemps
Il pointe la porte du doigt me faisant comprendre qu'il ne voulait plus voir ma personne