merci [correction permanente]

[11] - Plus de peur que de mal (3)

Hello ! ça faisait longtemps ! Déso pour l'absence, comme je l'ai expliqué dans le "chapitre" précédent, le chapitre 12 s'était supprimé de mon ordinateur sans que je sache pourquoi. Sa m'a un peu déprimé et j'ai remis du temps à l'écrire, à retrouver ce que j'avais écrire. D'autant plus que maintenant les cours ont repris.

Mais bref le voilà, il fait environ 3 600 mots, il assez long, par rapport à ce que j'écris, j'espère qu'il vous plaira. Le chapitre douze devrait arriver demain, donc Samedi dans l'après midi puisque je poste celui là vers 23h le vendredi. 

Teaser : le 12, que j'ai mis un à deux mois à écrire est génial (sans me vanter), j'ai adoré l'écrire malgré que j'ai du le réécrire et plus long aussi, vers les 4000 mots.

En tous cas bonne lecture à tous !

Précédemment :

Puis en attendant que mon père ne revienne je me remis dans ma position initial, la tête appuyé sur le flanc de mon grand frère, lui tenant la main.

Je tombais bien vite dans les bras de Morphée. Durant mon temps de repos je sentit comme une couverture se déposer sur mes épaules.

Il faut dire que cette journée avait été riche en émotion.

21 Mai 2023 – 8H13 – CHU de Reims

PDV Gabryelle 

Mes yeux s'ouvrirent sur les rayons de soleil qui transperçaient la pièce. Pendant que j'émergeais, j'entendis 2 voix masculine, une plus grave que l'autre. Celle de mon père et.. celle de Mael..

Je papillonnais des cils pour m'habituer à la lumière vive de la pièce. Je m'étirais le dos, parce que dormir courbé sur une chaise, c'est pas super confort.

Mael – salut sœurette.

Je tournais vivement ma tête vers sa voix. Mael était réveillé et souriait malgré ses blessures. Je le serrais dans mes bras tout en faisant attention à ses blessures.

Gaby – Mael.. tu m'as fait si peur.. ne refait plus jamais ça..

Mael – promit Gaby.

Il posa doucement sa main saine sur ma tête et m'ébouriffa les cheveux.

Mael – je suis content que tu sois là Gaby. Ça faisait longtemps.

Moi – je suis désolé, en ce moment je suis très prise par le travail. En me relevant.

Mael – ce n'est pas grave, t'inquiète. Me rassure t-il.

Je me levais de ma chaise pour saluer mon père puis me retourna vers le sujet de mes tourments.

Moi – d'ailleurs je ne t'ai pas demandé, comment tu te sens ?

Mael – ça peut aller. Les médicaments calment beaucoup la douleur.

Moi – d'ailleurs, on connais l'heure de son opération ? Demandais je en me tournant vers mon père.

Papa – 10h30 si tout va bien.

À cette précision je me crispa.

Papa – ce que je veux dire, c'est si il n'y a pas de retard.

Moi – okay. Soufflais je.

Mael – Gaby ? Je me tournais alors vers lui. Tout va bien se passer, je te le promet.