« On voit nos rêves s'étouffer, couler. »_____
H I L A A L
Bâtiment, 23h20.
J'étais comme à mon habitude, assis dans les escaliers de mon bâtiment, en attendant que Sahar daigne accepter ma demande.
Je fixais mon téléphone, quand je reçus cette notification que j'attendais tant.
« SHR☀︎ ︎vous a accepté ! Faites lui coucou ! »
Et avec ça j'ai reçu un message de sa part, c'est le moment de la faire stresser.
Sahar - sale fou comment t'as eu mon snap ?
Moi - t'es qui toi ?
Sahar - comment ça j'suis qui ? T'es pas drôle du tout Hilaal.
Moi - mais qu'est ce que tu dis ? C'est qui Hilaal ? J'crois t'es entrain de te tromper de personne.
Quand je joue la comédie, je joue la vraie comédie.
Sahar - attends attends, t'es bien de ******* ?
Moi - vraiment pas. Je t'ai dis que tu te trompes de personne, j'suis de Toulouse moi.
Sahar - la honte alors, excuse moi de m'être faite passée pour une folle j'me suis trompée de personne.
Moi - je sais pas qui est ce fameux Hilaal mais il a dû piquer ton cœur.
Sahar - Hilaal t'es chiant ! J'ai vraiment cru que je m'étais affichée de fou à cause de toi, grosse merde.
Moi - moi grosse merde ?
Sahar - ah oui oui. Comment t'as eu mon snap ?
Moi - on a tous nos petits secrets.
Sahar - vas-y lui.
Moi - vas-y moi ?
Sahar - vas-y toi.
Moi - attends qu'on se croise on va voir c'est qui le « vas-y lui ».
Sahar - on verra bien.
Moi - vas-y va dormir c'est l'heure.
Sahar - toi aussi vas-y, et pries si t'as pas encore prier.
Moi - t'inquiètes, bonne nuit Sahar.
Sahar - bonne nuit.
J'ai l'impression qu'elle et moi avons toujours été aimantés en quelques sortes.
J'éteignis mon téléphone et le rangea dans ma poche, puis me décida enfin à rentrer chez moi.
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"Nul n'atteint l'aube, sans passer par la nuit."
RandomTout viendra avec la patience, y comprit le bonheur. Sahar : aube. Hilaal : croissant de lune somptueux. « Sahar, je ne veux pas que mes parts d'ombres obscurcissent la lumière que tu as en toi. » ...