Arthur n'avait, jusqu'il y a un mois, jamais pensé qu'il remettrait les pieds dans cette région qui l'avait vus naître sans pour autant la voir grandir. Il n'avait d'ailleurs que de vague souvenir des quelque vacance passé dans les rues à présent délabrer de ça ville natal et ,pour dire la vérité, il savait qu'il retarderait jusqu'aux tout dernier millième de seconde le moment ou il devrait à nouveau fouler ses trottoir gluant et respirer l'air polluer de cette endroit dont la flagrance nauséabonde lui brûlait, de son ressentis, jusque l'âme.
Ce n'était de toute manière pas par choix qu'il été retourné sur les pas de son enfance, mais bien par devoir. Il s'agissait de ce genre de devoir que seul un fils, du moins de son point de vus, pouvait accomplir. Pourtant il s'était demandé durant les 642,4 Km de route qu'il venait de faire, et ce même quand il eu franchit le panneau du dernier petit patelin, s'il n'aurait pas mieux valu faire demis tour pour retourner au milieu de sa douce campagne Alsacien.
Et pourtant le voilà arriver dans le petit village qui serra son lieu de vacance pour les deux prochaine semaines. Car il lui faudrait au minium cette durée pour ce préparer psychologiquement puis pour ce remettre de ce qui l'attendait durant le week-end coupant son séjour.
Mais pour l'heure il été là, le regard fixe sur l'horizon, tentant de distingué derrière le fin brouillard les côtes couleur de craie du pays voisin, rêvant de grand voyage loin de toute l'agitation mélodramatique qui l'attendait dans quelque jour. L'odeur du sel emplissait ses narines et le vent emmêlait ses cheveux bouclé, il pensa un instant qu'il allait passé une éternité afin de les remettre en ordre, mais ne s'attarda pas sur cette idée. Il se contentait de profité de ce moment face à la mer, sombre et agité, qui battait la côte pour en grignoter la pierre. Le son ridiculement apaisent de ce mouvement régulier berçait avec douceur son esprit aussi agiter que les vagues, les calmant quelque peux.
Il finit enfin par ce détaché de ce paysage, soupirant lourdement avant d'avancer vers ça voiture. La pauvre Twingo avait mangé tellement de kilomètres en si peux de temps qu'elle semblait au bout de sa vie, prête pour la casse, ses pneus à moitié lisse et légèrement dégonfler ne faisait que renforcer cette aspect misérable. Il est sur qu'il ne s'en plaindrait de toute façon pas, étant déjà bien conscient que si cette pauvre titine roulait encore ce n'était que par miracle.
Le jeune homme s'installa donc au volant de son bolide et repris les quelque minute de route qui le séparait encore de son logement de vacance. Quand il dut trouvait un endroit pour ce pénible voyage il en avait fait toute une affaire, se donnant pour objectif de réunir trois condition essentiel : premièrement, être assez loin de l'endroit où il devrait sacrifier son week-end sans qu'il ne soit trop long d'en revenir, ce qui le fatiguerait plus que nécessaire. Deuxièmement, que le cadre soit tout ce qu'il ne figurait pas quand il pensait à son enfance ici. Et pour finir, que le logement soit le plus économique possible, car il été hors de question qu'il dépense tout ses économies dans ce voyage qu'il ne voulait pas. Ho oui il en avait mis des jours, des semaines à trouver le lieu qui répondait à ses exigence, faisant cent fois le tour des petite annonce du net, appellent des dizaines de numéros d'hommes et de femmes plus ou moins louche avant d'enfin trouvé ce lieu perdus dans la campagne nordique coincé entre les deux caps. Tardinghen, en plus d'être un charmant petit village, était à un peux plus de deux heures de route de ça ville natal. Et le logement qu'il avait trouvé, un mobil-home de 30m2, ne lui coûterait que 350 euros par semaines, défient ainsi tout les prix du marcher. Les photos du petit logis était tout à fait charmantes, dépeignant un cadre remplis de verdure dont le jardin été soigner et une maisonnette rectangulaire d'un blanc impeccable.
Il tourna pour la dernière fois sur ça droite pour s'engager sur un petit chemin rocailleux qui montait vers une adorable maison. Face à elle ce trouvait les fameux mobil-home encadrer de clôture végétale les préservant des regards indiscret. Même si les terrains n'étaient pas droit, les jardins semblaient agréable. Il se gara sur le morceau de pelouse près du dernier emplacement comme convenus lors de ça réservation avant d'enfin couper le moteur, laissant un peut de répit à ça vieille voiture. Il s'avachit alors dans le siège, ronchonnant entre ses dents, puisse qu'après tout et malgré ses effort, décidément la motivation n'y été pas.
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Amour entre deux Caps
RomanceArthur ce retrouve à contre cœur dans ça régions de naissance, bloqué dans des vacances non souhaiter à partager son habitation avec un étranger qui parait peux commode. la cohabitation ne vas ce pendant pas ce faire paisiblement, secret et sentime...