Chapitres 22

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Isabella,
Je n'ai qu'une semaine avant me tapper la honte devant Ashley et qu'elle va me foutre le seum devant les autres lectrices, J'étais dans la cuisine car Cesare m'a appelé pour faire le lave-vaisselle évidemment monsieur avait du mal a le faire de lui-même, je venais de terminer le lave-vaisselle et je fait des cookie et du jus d'orange presser pour accompagner le tout je refais le lave-vaisselle,

1 heure plus tard,

Mon ordinateur portable sonne, quelqu'un m'appelle, qui C'était encore?, qui venait me déranger j'ouvre mon ordinateur portable
Je vois le nom Ashley s'afficher, j'étais en panique de tout sa je savait comment sa allais finir, je n'avais pas le choix...,

— Putain, muremuai-je.

Il fessait chaude, quelqu'un rentre dans la chambre,

— Je sort avec mes potes ont va pêcher en mer. Tu veut venir?, me questionnat-il.

— Euh...je...fin...oui..Je...pourquoi tu me propose çà?, lui questionnai-je.

— Pour pas que tu reste seule ici Débile, dit-il en claquant la porte.

Je savais pas si je voulais aller où pas, je commencez donc a préparer mes affaires

Arriver au bord de la mer,

J'avais une peur bleus de tombé il fesait pas si beau, le bateau doit au moins coûter une fortune, dans les 200 millions de dollars, blanche équipée d'une cuisine, de tout ce qu'on n'a besoin. J'étais avec les petites copines des amis garçons de Cesare. Je commencez a avoir des vertiges en buvant trop de cocktail, et bière, Mon cerveaux venait de signaler une mauvaise alerte a mon corps commencez a m'approcher du rebord du bateau ou je vois des poisson nager. Les mouvement de la mer me fessait peur et rappeller que je savais pas nager. Les garçons étaient en haut entrain de nous mater l'un des deux, qui s'appelle Viktor appele sa copine.

— Chou, l'eau a l'air bonne vous voulais pas nager?, lui questionnat-il.

— Oui sa serai trop bien!, dit-elle l'une de ses amies.

— C'est top en plus il fait grave chaud, dit-elle sa copine.

— Toute les filles vont se baigner aller faite nous un petit plonger, nous dit-il.

Je secouait la tête je voulais pas nager sachant que je risquerai ma vie, et que je savais pas nager,

— Aller débile nage, Fait nous un petit plongé, me dit-il avec sa voix roque.

Je soupire d'expiration, j'avais peur de me noyer et de me sentir mal, ce qui commencez a venir, je veut pas mourir, je veut vivre, je voulais commencer a me retournée,

L'une des petasse me pousse dans l'eau de la mer, je pousse un crie avant de tombé dans l'eau, tout le monde rigolé, j'étais entrain de me noyer mon corps tombais dans l'eau de la mer, mon corps crispé voulais remonter a la surface, j'avais peur de perdre la vie, je hurlais a l'aide, personnes ne venait ils s'éloignaient de moi avec le bateau, moi j'étais entrain de mourir noyer,

— AU SECOUE S'IL VOUS PLAÎT AIDER MOI, hurlai-je en sortant ma tête de l'eau.

Cesare en rigolant, jusqu'à ce qu'il me vois paniqué, il descend les escaliers pour me sauver la vie, il fait aussi un petit plongeons,

— Ouais Cesare!, fut-ils ses potes.

Mon corps emportez par le courant, en me laissant sans oxygène et les autres qui rigolais en me regardant me noyer, une main touche mon corps ce qui me fait tremblé car je pensez que c'était une requin ou quelques choses dans la mer. J'avais peur. J'essaie de me débattre. Jusqu'à remonté a la surface de l'eau.

— Cesare?, lui dis-je.

— T'inquiète pas je suis la, dit-il.

En me prenant dans ses bras. Mes jambes sont autour des siennes.

— Je suis là, me dit-il.

Tout en regardant mes yeux, ses cheveux trempés qui couvre son visage, j'ai sentie une sorte d'alchimie. J'aimais bien celas. Non j'adorais. Cesare approche ses lèvres pulpeuse contre les miennes, il m'embrasse. Je sais pas si c'était vraiment lui ou mon imagination. Mais je commencez a m'attacher à lui. Le Cesare gentil est mieux que celui du méchant. Il viens de me sauver la vie. Et ça je ne pourrai jamais le remercier asse Cesare, qui l'aurai crut, les autres filles sautent dans l'eau et sa m'éclabousse. Je supportais pas d'être venue ici. J'aurai du me bougeais le cul,

— Faut que j'allais a la terre ferme..., dis-je tout bas.

— D'accord j'ai un petit bateau dans  celui-ci, dit-il.

Il me soirit moi également,

Le lendemain

Je me balade dans les rues de chicago j'ai une drôle d'impression que quelqu'un est entrain de me suivre, j'espère pas que sa soit les filles qui sont la pour me tapper la honte, Y a une boutique en vente sa m'intéressait beaucoup, au coin de la rue, je m'y rends, le vendeur était là a tout emménagé,

— Bonjour, Excusez-moi je suis très intéressée par cet boutique combien vaut-elle?, lui questionnai-je.

Sachant que dans mon compte en banque je n'ai que 1.000$, je sais pas combien elle coûtait, le vendeur me regarde de haute en bas,

— Elle vaut 10.000 dollars mademoiselle plus les frais de réparation et le loyer qui est de 100 dollars, dit-il.

Je restais bouche ouverte je savais que j'en trouverai pas mais j'aime beaucoup cette boutique,

— Merci elle est très belle cette boutique mais je n'ai pas les moyens de me permettre bonne journée, dis-je.

Avant de partir,

Cesare

Zarbi est venue voir cette boutique, pourquoi?, je la suit depuis tout a l'heure, je m'avance devant le monsieur qui la vends,

— Combien elle vaut?, dis-je.

— Euh..., dit-il en me regardant bizzarement.

— Je suis prêt a vous donner 100.000 de dollars si vous me la vendez et si vous m'aidez a la renouveler pour cette jeune demoiselle, dis-je.

L'homme affiche un sourire,

— Vendue!, fut-il.

Avant de rentré de me faire visiter les lieux. Je n'ai plus cas appelé zarbi, où lui parler ce soire pour me faire pardonner de sa noyade.

My Rose RedOù les histoires vivent. Découvrez maintenant