l'école des exorcistes

chapitre 57 : le retour de naoya

Nobara : ( Toque a une porte)

Pdv de Nobara

Elle est longue maki ! D'habitude on fait toujours la route ensemble le jeudi et quand j'arrive elle est déjà prête. Mais la pas du tout. C'est louche.

Nobara : ( retoque)

??? : ouais j'arrive.

Nobara : attend...s'était pas la voix de maki !

Me dit pas que c'est elle...

Mai : ( Ouvre la porte )
Quoi ?

Nobara : mai... ?

Mai : toi ?

Nobara : Qu'est-ce que tu fais chez maki ?

Mai : je vis avec elle.

Nobara : ta pas les moyens de te payer une baraque ?

Mai : ferme la. Tu m'a interrompue alors que je me coiffer.

Nobara : pas désolé.

Mai : grr.

Nobara : Bref elle est où maki ?

Mai : elle ce prépare. Aller entre.

Nobara : sans façon je vais attendre dehors...

Mai : ( Tire le bras de nobara)
Entre je te dis. Il fait froid dehors.

Nobara : ( soupir)

Une fois entré nobara ce met à l'aise et mai finit de ce préparer.

Nobara : c'est plutôt jolie chez vous.

Mai : ( ce coiffe)
Tu veux dire que maki ne t'a jamais fait entré ?

Nobara : oui d'habitude on part directement. J'ai jamais demandé à rentrer ici.

Mai : Hé bien remercie moi pour ça.

Nobara : Sans façon.

Mai : grr

Elipse de quelque minutes

Mai : Voilà j'ai finit.

Nobara : ça change pas vraiment de ta coupe habituelle. Faudrait penser à changer.

Mai : Oh toi tu commence à m'énerver.

Nobara : M'en fous.

Mai : ( ce lève et lance un regard malicieux à Nobara !)

Nobara : heu... pourquoi tu me regarde comme ça...

Mai : ( plaque Nobara part terre et l'empêche de bouger )

Nobara : Hé tu fais quoi ?

Mai : tu m'énerve. Tu mérite une punition.

Nobara : c'est à dire...
( commence à rigoler)

Mai : ( chatouille Nobara)
Je vais m'amuser un peux.

Nobara : ( rigole )
Arrête.

Mai : Nan ! Fallait pas m'énerver.

Maki : ( Ouvre la porte et crie )
ÇA SUFFIT CE BAZAR. )

( on retournera sur cette partie Au prochain chapitre )

Pendant ce temps chez les zenin

Naobito : ( bois du saké)
Tu peux répéter ?

Naoya : j'ai pas envie de nettoyer.

Naobito : mais je m'en fiche que tu ne veux. Je te rappelle que je suis ton père et aussi le chef de cette famille donc tu fais ce que je demande.

Naoya : ( Murmure)
Et aussi un gris alcoolo.