À notre tour

- Marche arrière - 9

Victoria Anderson

  Cooper, Cooper...
  Donc le gars de la boîte de nuit c'est lui, tout va bien. Quel drôle d'excuse pour se calmer les idées alors que je viens de faire la merde à l'un de mes supérieurs. Au même moment mon téléphone vibre et l'inconnu m'écrit

  Inconnu :
« Ce soir, je veux te voir à la boîte »

  En vrai, j'ai besoin d'évacuer mon stresse de la journée alors pourquoi pas un coup d'un soir ça n'a jamais fais de mal... Mais si je le revois. Bon j'y vais et je vais pensée aux conséquences après. Maintenant, comment je cache ça à cette folle, elle crame tous ce que j'entreprends. La seule pensée qui me traverse l'esprit c'est de faire le mur.

  Moi :
« Ouais, tu me verra »

  Pendant ce temps, je dessine une robe minimaliste et élégant à la fois. Quand je fini de mettre les détails et les accessoires il est déjà dix sept heure écart. Je prend les clés de la voiture et c'est parti pour faire les magasins à Los Angeles.

  Sur la route, je vois l'enseigne Chanel. Arrivée, je me fais accueillir par le personnel avec leurs sourire chaleureux. Les essayages me fatigue énormément mais je fini par flasher sur une robe noir pailletée au manche transparente étincelant. Je vais à la casse pour régler la note et enfin repartir vers la maison.

  À l'entrée, j'entends Alys ronfler comme un ogre. Je pars vers ma chambre pour enfiler ma splendide robe et me mettre le plus en valeur. Normalement, je dois rentrer dans la villa à 9h du matin et pas du soir.

Dans le véhicule je chante comme d'habitude à plein poumons sir cette fois la musique

- Made it out alive, but I think I lost it... That's so true.
  That's so true de Gracie Abrams.

  Dans la boîte nuit, est comme la dernière fois rien à changer, je m'ambiance déjà entraîner par la musique qui anime ses lieux. Maintenant je dois chercher la personne qui me parle en virtuel.

Moi :
« Je suis arrivée tu es où ? »

Inconnu :
« Qui t'as dit que j'allais venir ? »

  Donc, à ce que je vois il ne viendra pas tant pis. Je commence à voir mal aux pieds à cause des talons alors je décide d'aller au bar. En m'asseyant sur l'une des chaises hautes, je demande au serveur une pinacolada. À cette instant une voix m'es familière en tournant ma tête, je retombe sur mon supérieur. Alors que je voulais m'échapper discrètement c'est un échec.

  - T'es la toi, me dit-il en me regardant dans les yeux.

Ne dit rien !

  - On t'as déjà dit qu'il faut répondre quand on te pose une question Anderson, continue-t-il alors qu'il voit bien que je ne veux pas lui parler.

Ne craque pas !

  - RÉPOND PUTAIN ! gronde-t-il.

  -Quoi ? dis-je en finissant par abandonner.

  - T'as une chemise à me payer... Elle vient de Prada.

  - Je croyais que j'étais pas assez blindé pour t'en racheter une.

  Un rictus apparaît sur ses lèvres avant qu'il dise :

  - Si ta les moyens d'acheter une robe chez Chanel, c'est que Prada ce n'est pas un problème... Après nous savons que c'est vrai les marques de luxes sont connus de Paris.

  Je hoche la tête sans me prêter à lui alors que ma boisson fini par arriver, j'en demande encore deux. En oubliant que je tient mal l'alcool, à peine ma pinacalada finit que je suis déjà saoule.

  - Tu tiens pas l'alcool mais tu bois comme si ta vie en dépendait.

  J'étouffe un rire par ce qu'il vient de dire, bordel je suis à ce point ivre ? C'est ouf comment on est naïf. Mais un sentiment en moi de culpabilité se fait ressentir.

  - Hay gente que te das cuenta más tarde, que había que evitarlos desde el principio.

  - No comprendo ?

  Cette fois-ci, je tourne ma tête vers lui, il est relâché sûrement par les effets de l'alcool contrairement à moi qui étais rongé par l'émotion. Ma commande arrive, je bois les deux d'une traite avant de repartir me trouver un coup d'un soir quand j'arrive à la piste de danse ma tête se dirigea vers le bar mais le brun étais parti.
Cooper...

Lendemain
9h12

  Putain mon mal de crâne, je relève ma tête et constate que ce n'est ni mon lit, ni ma chambre. En observant cette pièce je vois un mot sur la table dit dit : « Salut belle au bois dormant, merci pour cette nuit charmante avant que tu t'enfuis je t'ai prépare un petit déjeuner dans la cuisine et j'ai acheté des vêtements pour femme qui sont sur le lit. J'espère te revoir voici mon numéro » On peut dire que je suis sur un nuage.

Je me lève et je fonce m'habillée puis je pars prendre le dej qu'il m'a fait, en regardant l'heure je vois mes notifications est la panique monte. Vingt appels manqués de Alys, dans quel merde on m'a dit de tourner ?

  Pas le temps pour profiter le seul problème c'est que la voiture est resté là bas... À peine sorti que je vois la voiture garée en face de chez lui, et du coup Alys elle va comment au travail ?

  Mi loco (ma cinglé en espagnol) :
« Si tu te demande comment j'ai fais pour aller au travail. Notre M.Brown a eu la TRÈS bonne idée de nous laisser 2 voiture amaidìn (idiote en irlandais) »

  Je crois qu'elle est fâché... Mais je ne suis pas sûre...

Histoire écrite par lpcsapjsms et TheSaraHistoria.