As salam aleykoum wah rahmatulah wah barakatouh!
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OMNISCIENT.||La descente au enfer...||
Maissa arriva à l'hôpital avec énormément de difficulté, elle a tellement mal conduit, qu'elle aurait pue y passer, de loin elle voit Hayat, en pleure, complètement hystérique à demander comment vas son fils, mais impossible de lui dire son état.
Maissa courra vers Hayat, quand Hayat la voit, elle s'écroula dans ses bras.
-Hayat : Mon fils... mon fils ya rabbi... MON FILS! MON AMOUR MAISSA! MON FILS VA MOURIR Y'A RABBI IL VA ME LE PRENDRE!
Maissa pleura, en se mordant la lèvre.
-Maissa : Non... Non tata... il est fort Nehlian... je te le jure... il est fort... -pleure-
Mais Maissa le savait, c'était perdu d'avance, elle le sent.
-Maissa : Tata... ta l'air fatiguer, va te reposer à la maison, je reste ici, t'inquiète pas.. il va s'en sortir... va prier, je reste ici, je t'envoie un message quand j'ai des nouvelles.
-Hayat : T'es... t'es sur..? Merci Benthi W'Allah...
Laisse fit un bisous sur le front d'Hayat, Hayat la remercia, avant de s'en aller en pleurant.
Qu'est-Ce sa doit être douloureux de perde un fils...
Maissa s'asseya, essayant de calmer ces pleure, une infirmière arriva vers elle.
-Infirmière : Bonjour madame, vous êtes?
Maissa releva la tête vers elle.
-Maissa : Je... je suis une amis d'un Nehlian Sadhi.
L'infirmière hocha la tête.
-Infirmière : Vous... vous voulez le voir..?
Maissa hocha la tête en tremblant, elle se releva difficilement, ces cernes était creuse, ces cheveux étaient en pétard.
Elle était épuiser...
L'infirmière lui indiqua la chambre, Maissa il y aller en trottinant, elle avait peur de voir se qui se cachait de l'autre coter, car elle savait que sa ne lui plaira pas...
Elle se préparait au pire..
Elle entra dans la chambre, et en premier plan elle voya Nehlian, les yeux à moitié rouvert, Blanc, il l'a regardait, tout comme elle, il était relié à des fils.
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Haydut askim...{CHRONIQUE}||S2
Подростковая литература"𝐒𝐢 𝐭𝐮 𝐝𝐞𝐯𝐫𝐚𝐢𝐬 𝐦'𝐨𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐨𝐬𝐞 𝐞́𝐭𝐞𝐫𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞, 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞 𝐦𝐨𝐢 𝐭𝐚 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫, 𝐜𝐚𝐫 𝐞𝐧 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́, 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐨𝐢, 𝐦𝐚 𝐫𝐨𝐬𝐞." "𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐬𝐢 𝐣𝐞 𝐭'𝐨𝐟𝐟...