La douce brise de la nuit caresse doucement mon corps par la fenêtre ouverte,
De son du manteau de velours,
Elle m'enveloppe complètement.Autour de moi,
Sans que je puisse les voir,
Les grillons murmurent leur doux chant du soir.La lune éclaire doucement par la fenêtre,
Une table, des chaises et un comptoir.
Et un peu plus loin....Un mince filet de sang sur le plancher,
Qui remonte jusqu'a une grande flaque sur le sol,
Et cette flaque prend naissance de ma tête.À quelques centimètres de là,
Un pistolet gît dans le creux de ma main.
Une balle je me suis tiré.Étouffant le bruit en écoutant pour une dernière fois ma musique.
En pensant à cela un petit sourire apparaît sur mon visage.
Avant de se durcir complètement.Cela prit quelques heures avant que les secours interviennent,
Ils ont essayé en vain, de me réanimer,
Mais j'étais déjà partie , pour de bon cette fois.