Chapitre 1

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Vicenzo...

Italie , le 7 octobre 1932 .

Je me rappelle de ce jour .
Où mon père , marcelo, mon oncle , et moi même avions travaillés toute la matinée à charger des pierres la charrette de Marcelo , pour qu'il puisse reconstruire le muret qui entouré sa petite maison. Ce dernier avait été détruit récemment par une bande de voyous.

Oui Je me rappelle de cette vieille maison dans laquelle j'avais grandi jusque là .

Les murs étaient recouvert à Moitié de papier peint tout écorché , et de cadres suspendus un peu partout renfermant de vieilles photos de mes ancêtres .
Il y avait une fenêtre de chaque cotés de la porte d'entrée , pour permettre à la lumière du soleil d'entrée dans cette pièce étroite.
Lorsque l'on y entré à droite ce trouver une grande table rectangulaire où ma mama déposait toujours des fruits de saison en son centre , entourée de 4 chaises différentes .
À gauche ce trouvait une petite cuisinière suivi d'un évier dominant le rideau que ma mère y avait accrocher , pour cacher l'étagère de fortune que mon père avait fabriquée qui contenait casseroles et autres outils de cuisine .
Juste en face de la porte d'entrée ce trouver la  vieille cheminée , surplombé d'un crucifie , et entouré de deux portes .
L'une menant à la grande chambre ou nous dormions moi mes parents ainsi que mon petit frère Antonino , et l'autre menant à la salle de bain .
J'aimais cette maison !
Elle était tout ce que j'avais connue jusque là .
Elle était mon repère , mon chez moi.

Et j'étais la en train de ramasser de gros cailloux pour les passer a mon père et qui les passaient ensuite à mon oncle, qui étais debout dans la charrette et qui les entasser un à un , et cela depuis un moment.
Tout était calme a l'exception  unique de nos trois respirations qui étaient sifflantes suite à nos efforts.

Oui tout était calme quand soudain un bruit d'arme à feu me fis sursauter , je me suis retournée et j'ai vue mon oncle étendue par terre baignant dans une flaque de sang qui ne cessait d'accroitre à vue d'œil , ses yeux devenaient soudainement vide , et son visage était meurtri part la chute qu'il venait de faire du haut de la charrette.

Bouche bée incapable de former une phrase, complètement paralysée face a ce drame.  C'est mon père qui me fit sortir de ma transe , empoignant précipitamment ma main il m'entraîna dans la maison d'un pas rapide .
Lorsque nous y sommes entrée ma mère était a la fenêtre en train de hurler voyant son frère étendue par terre sans vie .

Les coup de feux grondaient a l'extérieur fracassant la façade de notre maison d'époque .
Mon père nous obligea a le suivre dans la chambre , et c'est ce que nous avons fait .

Il ordonna à mama de se calmer car elle effrayait mon petit frère , puis il se mît a tourner dans la pièce comme s'il cherchait une solution , il allait et venait d'un bout à l'autre de la chambre il marchait rapidement , il faisait les cents pas, une main posée sur sa bouche et l'autre sur sa hanche .

Ma mère, elle, avait Antonino sur les genoux , le regard vide, le souffle saccadé pleurant la mort de son frère . 

Et moi J'étais toujours sans voix , la vision de mon oncle tuer d'une balle en plein cœur ne m'avez pas quitter , j'étais assis sur ce lit le regard perdu .

J'avais l'impression que cela durée depuis cent-ans , alors qu'en réalité seulement quelques minutes c'était écoulées .

Je me suis finalement mis à regarder mon père dans les yeux .
Il croisa mon regard le temps d'une fraction de seconde , sur son visage je pouvais y voir toute l'inquiétude que lui infliger la situation .
Quand soudain son regarde devint noire , il fronças les sourcils , se dirigea vers le grand et unique placard de la chambre , l'ouvrit et en sorti ce qui me sembla être deux revolvers ,
Je me suis alors demander ou il avait bien pu les cacher dans ce grand placard que je pensait connaître par-cœur. 
Mon père était un homme droit et juste , il était bon pour nous , pour moi , mais aller savoir pourquoi a ce moment ou je le vis empoigner les deux revolvers et se précipiter vers la porte , sans même un regard en notre direction , pour aller affronter Dieu sait combien d'hommes armés , et bien j'ai eu peur de lui , et cela pour la première fois.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 15, 2015 ⏰

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L'homme que je suisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant