Imagine sur les stars

Imagine sur Cameron Dallas.

[ N/D/C ] nom de chien

Tu t'appelle [T/P] et tu as seize ans. Depuis que tu as emménagé dans ta nouvelle ville ça veut dire de puis trois mois, tu es amoureuse de ton voisin. Tu prend le même bus que lui tu es dans la même classe que lui aussi mais il ne te remarque pas, il ne te parle pas.
Tu es dans ton lit et tu regarde des vidéos sur Youtube ton passe temps préféré. Toi aussi tu rêve d'ouvrir une page youtube mais tu ne te sent pas assez bien pour ça.

- [T/P] va promener ton chien il a envie de faire pipi. Hurla ta mère du salon.
- Oui, j'arrive.

Tu descend et tu enfile tes baskets. Tu sors dans la rue et la tu le vois, revenir de son bus. Tu avais quitté une heure plus tôt que lui car il avait était collé c'est le rigolo de la classe. Tu passe le portail et [ N/D/C ] cours vers lui. J'aime ce chien :).

- Oh mes tu es mignon toi. Dit Cameron en caressant ton chien. Il s'appelle comment ? Te demanda t'il.
- [ N/D/C ].
- Il est beau.

Ton chien lui grimpe dessus et il le fait tomber. Toi tu ne peux pas t'empêcher de le regarder tellement il est beau et tu souris comme une débile.

- Tu es un bon pépère mais... Beurk.

Tu éclate de rire, ton chien et entrain de lécher Cameron. Tu prend ton chien et tu aide Cameron a se lever.

- Désolé, tu as des animaux chez toi car il ne lâche plus les gens qui s'en on. Dis-tu gêné face a sa beauté.

Cameron Dallas te parle omg, et toi tu lui parle d'animaux, tu es moi s'il vous plaît.

- Ouais une chienne. Te répont-il en te sortant de tes peensé.
- Oui ça dois être ça.
- Tu es [ T/P ] ?
- Oui.

Omg il connait mon prénom.

- Tu habite ici ?
- Oui depuis quatre mois.
- Je ne le savais pas, je ne t'ai pas vue et pourtant je sors souvent.

Oui. Tu as remarquais qu'il courait souvent.

- Je sors pas souvent, je suis plus une fille qui aime être seule la tête dans les bouquins.

Je viens vraiment de dire ça ?

- Ah. Tu veux que je t'accompagne pour promener ton chien ?
- Euh, je veux bien.

Pendant toute la promenade Cameron et toi vous avez rigolez, parlez de tout et de rien. Et au moment de rentré chez toi il te stop en attrapant ton poignée.

- Je dois te dire quelque chose. Dit-il toujours sa main posé sur ton poignée.
- Je t'écoute.
- Depuis, que tu es arrivé au lycée, je ne peux m'empêcher de penser à toi et je crois que je t'aime.

Tu lui saute dessus de joie et tu l'embrasse.