Sirène, la légende du Cercle Blanc.

Chapitre 3

Arrivée sur la terre ferme, il ne nous restait qu'à trouver du travail mais cette fois si on oublie le métier de cobaye. Rafael était maintenant l'un des n'autres. Il nous avait beaucoup aider, cela nous aurais pris des jours avant de trouver le cercle si ont aurait suivi les instructions du grimoire. Nous étions maintenant des sans abri mais en un seul mois nous avions assez d'argent pour payer un loyer et changer d'identité.

J'étais maintenant connu sous le nom de Sarah et j'étais rendu avec les cheveux noires corbeau et ça fitais vraiment avec mes yeux brun noisette.

Oïlie était maintenant Laurie et Phoenie était devenu Émilie.

Notre gentil Rafael qui nous avait aider à nous faire de nouvelle fausse carte s'appelait maintenant Noah. Il était un pro pour créé de fausse carte et il nous donna chacune une carte de crédit qui contenait de l'argent à l'infini grâce à son ordinateur de piratage qu'il avait fait.

Nous avions assez d'argent pour rénover le tout. On avait reparti à 0 et une nouvelle chance s'offrait à nous. On était les frères et soeurs Firefox. Pourquoi on avait choisi se nom la... parceque nous étions aussi ruser que des renards et que nous étions toujours en feux pour faire de nouvelle quête.

Je travaillais au restaurent devant notre immense appartement de NewYorkais.

Laurie avait trouver un emploi où elle se rendais dans sa nouvelle voiture non loin de la qui était un magasin de littérature.

Et notre sportive Émilie avait trouver un travail proche de la plage où elle s'y rendais à la course. C'était un genre de centre d'entraînement où elle était la consierge.

Pendant que notre Noah s'amusait à faire les tâches à la maison et pêchait pendant ses temps libre ou passait le reste de son temps sur son super ordinateur.

Nous avions trouver la baignoire faite pour nous elle était immense et nous pouvions ensuite ramper hors de celui si quand il n'y avait pu d'eau à l'intérieur car une mini porte s'ouvrait et nous laissait partir. Ensuite il ne restait qu'à prendre le séchoir et le tour est jouer. C'était parfait.

En revenant du travaille je croisa Noah qui traînait dans la cuisine coucher par terre. Je me demandais se qu'il faisait et je m'approcha doucement par peur qu'il veuille me faire le sursaut car s'était vraiment son genre. Il n'avait pas fait le ménage et la moitier des choses dans la maison était par terre je ne comprenais vraiment pas pourquoi car il n'avait jamais fait sa. En le retournant de bord je lâcha un cri. Il avait plein de sang... Il avait un couteau enfoncer dans la poitrine et une balle dans la tête. C'était impossible qu'il s'est tirer car il n'a pas de fusil et encore moins d'arme à feux. C'était un meurtre et j'étais si triste de le voir dans cet état. Et si la personne qui l'a tuer savait se qu'il était cela voulait dire que nous serions les suivantes! J'envoya un texto à mes soeurs:

Venez aussi vite que vous le pourrez, Noah c'est fait assassiner et je crois que nous sommes les prochaines. Ne parler à personne et grouillez vous j'appelle les flics et l'ambulance.

Je pris ensuite le téléphone et appela là police. J'essaya de voir si Noah respirait encore et non. Je voulais le réanimer mais c'était peine perdu. Je couru à l'extérieur pour aller chercher là police qui venait d'arriver et les conduisit à notre appartement. Par la suite Émilie arriva et Laurie suivie. Je les serra fort dans mes bras. C'était si tragique! Comment avait t-il pu mourir à cet âge là. Pourquoi n'avait t-il pas le droit à une seconde chance. L'ambulancier de voulait pas que l'on rentre car il disait que se n'était que la famille et vu que sur nos fausse identité c'était notre frère nous pouvions embarquer. Dans le véhicule les docteurs essayaient vivement de le réanimer avec plein de machine. Mais le seul son que mes oreilles captait était le long biiiiiiiiiiiip qui ne s'essaie de continuer. Jusqu'à se que quelque bip bip devienne continuelle. Les ambulanciers disaient qu'ils fallait vite l'opérer en urgence. Et le sortirent et l'apportairent dans une salle d'opération ou nous ne pouvions pas entrer. Inquiète et stresser nous étions assisent sur les bancs devant la salle. Je ne pouvait pas arrêté de me ronger les ongles c'était ma manière de dire que j'étais stresser. Laurie pleurait à flot.. de vrai l'arme de crocodile quoi! Et Émilie essayait de nous calmer en nous disant qu'il va survivre. Finalement je m'endormi avec le stress qui me hantait.