Chapitre deux : faire parti de ma vie

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Je pris mon sac bleu-nuit avec des inscription incompréhensible pour les autres mais tous a fait drôle pour moi. Je descendi les escaliers en loupant une marche, se qui a bien failli me faire trébucher mais je me suis retenue pile au bon moment. Je fis un petit tour dans la cuisine pour prendre un casse-croûte et dérober mon téléphone de son socle. Ma mère venait de claxonner une troisième fois et qui dit la quatrième se sera courir jusqu'à l'arret qui est a 500 m de chez moi. Me coltiner toute ces personnes sois disant populaire et qui nargue les moin dans les rangs. Tout ça pendant 15 minutes. Mais la ma mère allait m'accompagner. J'ai enfilé mes chaussures et courut dans la voiture. Jane, ma mère, m'a eu a 20 ans ( c'est peut-être un peu jeune ) et mon père ... Euh ... Je ne lui ai jamais parlé. Ma mère était en même temps proche et distante de moi. J'étais entrain de croquer ma pomme et à ce moment là, je vois une pancarte où il y a écrit maison vendue. Je n'avais jamais vu cette maison ou certainement que je n ai même pas prêté attention a cette maison blanche qui ressemble aux autres petites habitations de ce quartier. A la fin du traget, ma mère m'embrassa. Je suis sortie assez embarrassée et rejoignis ma meilleure amie ,Sophie. Sophie n'était pas comme moi. Elle était extravertie qui se moque de se qu'elle fait ou pas et de l'avis des autres. Elle a même un petit ami Jake. Ils vont vraiment bien ensemble et leur amour est fusionnelle enfain tout ce que l'on recherche dans un couple. Elle a les cheveux d'un marron intence aux milles reflets et elle a les yeux verts. Je ne sais pas par quel miracle en primaire nous sommes devenu amie mais nous le sommes toujours et nous sommes inséparable. Bref j'arrive vers Sophie et je lui raconte l'histoire de la maison mais on a divagué très vite sur un autre sujet. Quand on est arrivé vers nos casiers ( le mien n°106 et le sien n°107, oui on a eu de la chance ) on a pris nos cahiers et on a filé en maths. Se fut une journée très banale.

Je croisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant