Partie 30*

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Un jour, on était allongé sur mon lit moi sur l'ordinateur et Kassim allonger sans rien faire.

Moi : T'es sur que sava Kassim ?

Kassim : Oui... Je le touche il est brulent.

Moi : T'as mangé ?

Kassim : Oui.

Moi : Va te doucher.

Kassim : Non c'est bon ça va passer.

Moi : Je t'apporte un médicament ?

Kassim : J'ai pris avant de venir, tu peux me ramener chez moi stp.

Moi : Bon ok attends. J'avais un débardeur noir et le bas d'un survêt Nike gris donc je mets le gilet du sur-vet et je mets des UGG noir (oui je sais, je respect rien) je prends un sac a bandoulière je mets tous dedans je fais un mot à la va vite pour Fares puisqu'il est toujours dehors et j'aide Kassim à marcher.

Arrive à la voiture il s'allonge à l'arrière et on y va je rouler un peu vite.

Kassim : J'ai froid.

Moi : Attends-je mets le chauffage. Je mets.

Kassim : Augmente.

Moi : Je ne peux pas mettre plus.

...

Kassim : Ta pas une
couverture ?

Moi : Non désolé... Ah si j'ai la serviette de Hasna derrière.

Kassim : Passe-moi-la stp.

Moi : T'arrive pas à la prendre ?

Kassim : Non. Je m'arrête en plein milieu de l'autoroute il y avait personne, je prends la serviette je le couvre et je remonte dans la voiture.

Kassim : Conduit vite stp.

Moi : J'suis à 140 Kassim.

Kassim : Ses pas graves roules vite. Je le vois trembler de plus en plus et crié. J'accélère de plus en plus et ralentissait quand il avait des radars.

Kassim : Aaaarrrh ! Je regarde dans le rétroviseur et je le vois trembler comme pas possible et ses larmes couler.

Kassim : ROULE VITE FERIEL ROULE !

Moi : Donne-moi l'adresse de l'hôpital !

Kassim : J'SAIS PAS AAAAARH.

Il taper sur le dos du siège passager de l'avant il me fesait vraiment peur, c'est la première fois que je le vois pleurer je pense que la douleur était atroce, je prends mon téléphone et j'appelle Nadjim, le premier contact que je vois.

Moi : Oui passe-moi l'adresse de l'hôpital.

Nadjim : Qu'elle hôpital ? Pourquoi ?

Moi : Ses Kassim...

Nadjim : T'es ou ?

Moi : Je conduis j'suis presque à Marseille là.

Nadjim : Surtout ne pleure pas Fériel t'es au volant. Il me passe l'adresse que j'entre dans le GPS.

Nadjim : Vas y j'arrive moi j'suis en ville je vais être en avance tu viens direct devant l'entrée de l'hôpital.

Moi : Oui d'accord.

Nadjim : Il est comment là ?

Moi : Il tremble beaucoup Nadjim... Il pleurs !

Nadjim : Il pleurs ???

Moi : Ouuuui !

Nadjim : Roule vite Fériel concentre toi bien sur la route y'a des fou sur cette route, vas-y roule vite je sais que t'es une pilote. Quand t'arrive à Marseille tu prends la deuxième voie.

Chronique de Fériel ; Drôle de rencontre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant