•Chapitre 9•

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"La vérité ?
Il n'y a rien de plus pur."

Quand nous rentrons a la maison, il y a la voiture de nos parents. Je gares la mienne dans le garage, et ferme le toit.
Nous entendons crier, et quelque chose ce briser.
On se regarde, puis nous montons les marches quatre à quatre,  ouvrons la porte à toute volée, et cherchons d'où proviens ce vacarme.

Voilà que j'avais déjà une soirée de merde planifier, mais la ...

On se dirige vers le salon, et nous voyons notre père avec le deuxième vase, près à subir le même sort que le premier, dans les mains, hurlant l'erreur fatale de notre mère.

Elle l'a tromper.

J'accours jusqu'à mon père et lui prend l'object des mains, le repose, et me tourne vers ma mère :

"Maman ?"
J'ai poser cette question comme une supplication, lui demandant de me dire que c'était faut.

Elle ne me regarde pas. Elle fixe le sol.
Ses yeux sont ternes, dénués de lumière.

Alors je me détourne d'elle, et décide de regarder le visage de mon paternel avec plus d'intention, il pleure. Il pleure tellement que son corps est secoué de spasmes.

Je le prend dans mes bras et le serre fort, puis c'est à mon tour de sangloter.
Mon père ne me réconforte pas, parce que lui même n'a pas le force de se réconforter.

Je défait mon étreinte et me retourne une nouvelle fois vers ma mère. Elle sanglote et son visage est baigné de larmes. Son joli maquillage, d'habitude intacte, coule, son mascara est étaler sur ses joues, son farre à paupière est mélangé à son mascara, et son rouge a lèvre est sur son menton, dans une situation plus comique, ça aurais été drôle.

Je pars, passe devant ma sœur en coup de vent, sort dehors et cours.
Ma famille est brisée, je ne peu pas dire anéantie, parce que l'on se verra. Mais d'une façon différente.

Je ne sais pas ou je vais, j'irais la ou bon vent me mènera.

*

Pdv de Matt.

Appel téléphonique :

"Vous êtes bien sur la boîte vocale du ..."

"Salut Nash, j'ai une putain de nouvelle a t'annoncer, rappel moi."

Je raccrochais, et rallumais la télé.

Ya rien.
J'me fais chier.
Et pis l'autre con pouvais pas répondre ! Avec son message de paysan.
Ah j'vous jure, il me fait pitié des fois s'gars.

Bon ...
Je me lève du canapé, éteint la télévision, vais a l'entrée, met mes Timberland, et me dirige au pied de l'escalier.

"Eh ! Cam !"

"Quoi ?!" Ronchonna-t'il

"Je sors !"

"Mais je m'en bat les reins gars ! J'suis pas ta mère !
Tu veux que j'te donne une heure limite ou quoi ?!"
Hurla-t'il

"Au fait ! J'ai appelé Nash. Tu sais pour le nouveau truc a propos des meufs."

Je l'entend se lever, tomber, et sortir en trombe de sa chambre et le vois apparaître en haut de l'escalier.

"Il a dit quoi ?"
Il a dit ça avec tant d'excitation et de curiosité que je ne pu m'empêcher de rigoler.

"Je suis tombé sur son répondeur."

"Mec, t'aurais pas pu me dire ça avant que je saute de mon lit, m'éclate la gueule par terre et ai failli dévalé les escaliers ?"

"J'ai pas eu le temps !" Me justifiais-je

Il repart énervé se rallonger.

Puis je quitte la maison, direction la ville.

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Hello !

J'ai plusieurs choses a vous dires ;

- UN ÉNORME MERCI POUR TOUT CES VUES ET CES VOTES

BON, LES COMMENTAIRES ...

- J'ai écris une nouvelle histoire courte, il peut y avoir une suite, si vous me demandez.

- Je poste un chap soit demain soit dans deux jours, on verra s'il y a assez de vues.

- Bye les filles, je vous aimes enormement merci merci merci

Love

u

;) <3

A l'orée du jour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant