Différente.

Chapitre 1: Le prolas

- Joyeux anniversaire Sarah, chantonna ma famille avec entrain.
- Alors, tu est prête ? me demanda mon frère.
- S'il te plaît, ne la brusque pas, elle est déjà suffisamment agitée comma ça !
Maman avait raison. J'attend ce jour depuis l'âge de mes 7 ans et j'étais effectivement très agitée. Mon frère, Victor, trouve, bien sur, toujours le moyen de m'énerver ou de m'agiter. Quand je les regardent, j'ai l'impression qu'ils sont normaux, qu'ils forment une famille banale. Mais je suis née, tout comme mon frère, de parents vampires qui sont, soit dit en passant, des vampires exceptionnelle. Mon père est un homme très séduisant tout comme ma mère. Lors de leur transformation, plus communément appelé "Prolas" il sont allez dans leur école de vampire et se sont rencontrés. Chaque vampire a un don, un pouvoirs, et donc il y a différentes écoles pour chaque élèves. Il y en a exactement 6. La première, où se trouve mon frère, qui a le don de voyance, se nomme Furilse. Cette école est faites pour les élèves qui on un contact avec l'au delà. La deuxième école où sont allez mes parents s'appelle Mercar. Mercar est une école qui accueille les élèves dotés de talent physique. Ils sont formés pour défendre les Saints où tout autres vampires important qui dirigent ce monde. Juserre est la 3ème école. Celle-ci forment les vampires doter d'une grande acuité mental. C'est grâce à ces élèves, que chaque jour, la technologie avance. La 4eme école se prénomme Narresme. Les pouvoirs des élèves se trouvant dans cette école sont en partie des pouvoirs de guérisons. Sans eux, les vampires n'existerais pratiquement plus. La 5eme école se nomme Terrasquaire. A Terrasquaire, les élèves ont souvent un contact avec la nature et les animaux. Ce sont les gardiens de la paix si on peut dire comme ça. Et enfin la dernière école, la meilleure pour la fin, Danémon. Danémon est l'école qui forme les Saints, les vampires les plus important de l'histoire. Ces vampires peuvent changer la face du monde. Très souvent, leurs pouvoirs sont dangereux ou très rare. Chaque vampires ont 4 pouvoirs. Certains très utiles, d'autres carrément inutiles. Ce soir, Je vais passer mon Prolas, et c'est alors qu'a minuit je me transformerais en vampire. Mes pouvoirs apparaitront et j'irais dans une école, séparer de ma famille pendant 3 ans sauf pour les anniversaires et les fêtes. Sa va être dur mais je m'y suis préparer.
- Je pense qu'elle ira à Terrasquaire. C'est la fille la plus vulnérable que je connaisse, dit mon frère.
- Tu va voir si je suis vulnérable, dis-je avec amusement.
Je me précipita vers lui et lui fit des chatouilles. Il rigolais a en perdre sa respiration.
- Sa suffit, maintenant arrêter de vous chamailler, ordonna ma mère.
- Je dit ce que je pense, c'est tout ! Et vous, qu'en pensez-vous ? demanda mon frère.
- Je la verrais bien a Juserre, elle est très intelligente, dit mon père avec bienveillance.
- Peut importe où tu ira, je serrais toujours fier de toi, souffla ma mère a mon oreille.
- Merci Maman, dis-je doucement.
- De toute façon, on aura la réponse se soir.
Mon père se mit a s'agité comme si une bête le gênais. Il commençais a avoir les larmes aux yeux, je le voyais bien. Je n'aimais pas le voir dans cet état, ça me faisais de la peine.
- Papa ? Sa va ? Demandais-je
- Oh, oui, dit-il en séchant ces larmes, c'est juste que tu va me manquer.
- Moi aussi tu va me manquer Papa.
Ma mère regarda l'heure. Elle n'aime pas être en retard. Toujours organisé. En même temps, son boulot lui obligeait a être très pointue dans ces horaires.
- Si nous continuons comme ça nous allons être en retard. Va vite voir dans ta chambre ce qu'il t'attend.
C'est vrai qu'il était 22h00, et pour préparer une fille, qui, bientôt allais devenir une jeune apprenti, il fallait a peu près 1h30, plus le trajet de 20 minutes, plus le début du rituel avant le Prolas qui va durer 10 minutes, et a 00h00 pile je me transformerais. J'ai peur. Tout les vampires passent par cette peur. Cette peur de changement brutal.
Je me dirigea vers ma chambre comme me l'a indiqué maman. Et c'est alors que je vis la plus belle des robes étendue sur mon lit avec les chaussures et parures assortis. J'ai d'abord cru rêver ! Elle était splendide. C'est l'une de ces robes que tu voit dans les films. Une robe bustier avec des plis sur le haut et des paillettes. Le haut était séparer du bas par une ceinture orné d'un nœud papillon ni trop imposant, ni trop petit. Le bas descendais jusqu'au sol et j'étais persuader qu'on ne verrais pas mes pied. Il était lui aussi composé de paillettes. Bref, c'étais la robe de mes rêve.
- Ce n'est pas possible ! Vous avez fouillez dans ma tête pour savoir qu'elle robe était la plus parfaite à mes yeux. Oh merci, merci mille fois, Je vous a-do-re , dis-je en criant de partout.
- Alors elle te plait ? Demanda ma mère.
- Mais bien sur qu'elle me plait, m'écriais-je.
- Ah bah tant mieux, répliqua mon père, parce que ta mère nous a baratiné avec ça toute une journée et quand enfin, on lui a céder, elle nous a trainer jusque dehors pour faire les magasins !
- Marc, je crois qu'elle a compris que vous avez "souffert" pour lui acheté sa robe, dit ma mère avec rictus.
Je les regardais avec un grand sourire. Qu'est ce que je les aimaient.
- Ma chérie, tu vas être en retard, alors dépêche toi vite d'enfiler cette robe et tous ce qui va avec, et rejoint nous dans la salle à manger pour qu'on termine de te préparer. Je te promet que va tu vas être la plus belle des apprenties, dit ma mère avec empressement.
- Je ne m'en fais pas pour ça, dis-je tout excité.
Quand mes parents furent partit de ma chambre, je me précipita vers ma robe et l'enfila soigneusement, de sorte que je ne puisse pas l'abîmé. Ensuite, je mis mes chaussures et mes bijoux et je descendis dans la salle à manger, rejoindre mes parents et mon frère.
- Oh grand Saint, tu es resplendissante, dis ma mère, apparemment sous le choc.
- Comme tu dit ma chère Marie, elle est resplendissante, enchaîna mon père.
- Est-ce ma sœur que voilà ? Demanda mon frère pour me taquiné encore une fois.
Je me mis a rougir, puis je fis le plus beau sourire. En descendant, je vis une coiffeuse et un maquilleur. J'étais folle de joie, c'étais le plus beau jour de ma vie.
- Viens t'assoir ma chérie, me demanda ma mère, toujours aussi souriante.
- D'accord, dis-je tout en m'asseyant.
- Carla va te coiffer, c'est une vrai pro alors surtout n'est pas peur et détend-toi, dis ma mère, s'assurant que je ne stresse pas. Carla, cria t-elle, c'est à toi. ;
- J'arrive, dis Carla tout en accourant.
Ce soir j'étais la reine, celle qui attirait tout les regards. Ma coiffure et mon maquillage n'est même pas fini que je savais déjà que j'allais être resplendissante se soir. Au bout de quelques minutes, après que Carla est tortiller mes cheveux par ci, par là, elle dit:
- Voila mademoiselle, votre coiffure est fin prête.
- Je peux me voir ? Demandais-je
A peine avais je prononcé ces mots que ma mère riposta:
- Mais enfin, grand Saint non, dit elle tout en levant les yeux au ciel, tu n'es pas encore maquiller par Christopher. Allez à toi de jouer Christopher, ordonna t-elle.
- Oui madame, tout de suite, dit il avec entrain.
Ma mère était une femme exceptionnelle. Elle aimait commandé. C'était elle la patronne, la dirigeante. Elle me connaissait sur le bout des doigts. Toujours très accueillante et serviable. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle a intégré Mercar. Toujours forte et pleine d'assurance, elle était digne de protéger les plus grands. Christopher sorti toute sa panoplie de maquillage. Rouge à lèvre, fard a paupière, mascara, crayon, eye-liner, fond de teint, bref, tout ce qu'il fallait. Bien sur, je me doutais bien qu'il n'allais pas me mettre autant de maquillage. Joyeusement, il dit d'un coup:
- Et voila j'ai terminé madame.
- Waouh, cria mon père
- Sublimissime, souffla ma mère
- Beau travail, cria mon frère aux deux prodiges, je suis très fier d'être ton frère ce soir.
Bien sur, il n'oublia pas le "Ce soir". Faisant l'impasse sur la 107eme répliques de mon frère, je me leva de ma chaise et me dirigea vers le miroir central de la salle à mangé. A peine je me suis vu que des frissons me parcouru. Je n'étais pas narcissique et pourtant je me trouvais magnifique. Le maquillage n'étais pas foncé mais plutôt naturelle comme je l'aime. Et la coiffure, ce n'étais pas les coiffures de mariages trop sophistiquer mais une coiffure plus banale, qui restais exceptionnelle. C'est à peine si j'en pleurais.
- Ma chérie ? Dis ma mère avec inquiétude, ça te plait?
- Oui, beaucoup, dis-je les larmes aux yeux.
- Parfais, alors monte vite dans la voiture, elle t'attend dehors, dis ma mère.
- Oui maman, et je ne vous remercierais jamais assez, dis-je émue a Carla et Christopher.
- Mais de rien mademoiselle, tout le plaisir était pour nous, dit Christopher émue lui aussi.
- Oui sa a été un grand plaisir de vous coiffer mademoiselle, j'espère vous revoir au plus vite, dit elle gentiment.
- Je partage ce plaisir, dis-je.
- Trêve de bavardage et en route, dit ma mère avec douceur tout en étant ferme.
- Au revoir.
- Au revoir, répondirent-ils en cœur.
Je quitta la Salle à manger suivit de ma famille. Quand j'entra dans le hall, mon père se dirigea vers la porte d'entré principal et l'ouvrit. Je vit alors une Mercedes. Qu'elle était belle. Du tout moi. Alors le chauffeur m'ouvrit la porte et je m'assit dans la voiture. Ma famille me suivirent et firent de même. Plus la voiture avançait sur la route, plus je me mettais a stresser. Je ne devrais pas. Tout va bien se passer, je le sais mais ce dont j'ai peur, c'est de quitter ma famille. Est-ce que je vais les quitté brutalement après le rituel ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Ce qu'il faut se dire c'est que je les reverraient. Je me rendit compte que nous étions arrivés. C'était un endroit sombre remplit de bougies et chandelles ce qui rendais ce lieu chaleureux. Je descendis de la voiture et juste devant moi ce trouvais une petit ruelle qui menais vers une clairière. Dans cette clairière se trouvais déjà quelques personnes. Ils étaient grands.
- Chaque personnes que tu vois là sont des professeurs venu des 6 écoles. Quand ton Prolas sera achevé tu viendras nous dire au revoir pendant que les professeurs se réuniront pour choisir quel école tu intègrera, m'expliqua ma mère.
- Ensuite, enchaîna mon père, il t'emmèneront dans ton école où seront tous les autres élèves qui auront intégrer celle-ci, et il y aura un bal afin d'apprendre a vous connaître.
- Ah bon ? Dis-je surprise, je ne savais pas.
- Et bien maintenant tu sais, dit mon frère en rigolant intérieurement.
- Tu es prête ? Demanda mon père.
- Mais bien sur, regarde moi, dis-je en tournant sur moi-même.
- Non, dit il en me prenant par les épaules, je veux dire psychologiquement, tu te sens prête ?
- Oui et de toute façon, je n'ai pas le choix, lui dis-je en souriant.
- C'est vrai, acquiesça mon père, tout ce passera bien, je te le promet.
- Je sais Papa, je sais, dis-je stresser.
Mon père était quelqu'un de très attentionné. Toujours à l'écoute, il s'avait me consoler, me rassuré et c'est ce qui fais de lui un vampire exceptionnelle. Il était un tombeur jusqu'à ce qu'il rencontre ma mère. Je dirais même qu'il a briser plusieurs cœur ce qui fais de lui en quelque sorte un con. Mais avec le temps, il a changé. Il c'est marié avec ma mère et est devenu un très bon père.
- S'il vous plaît, s'il vous plaît, dit un professeur en se levant, la cérémonie va commencée
- Bonne chance ma fille, dit ma mère émue.
- Bonne chance, dit mon père en me regardant gentiment.
- Bonne chance sœurette, dis mon frère, qui pour une fois, ne me taquinait pas.
J'étais une vrai boule de nerfs. J'avais chaud puis froids. J'ai vraiment peur qu'il se passe quelque chose de grave. J'ai tellement peur de fermer mes yeux pendant un instant et ne plus jamais pouvoir les rouvrir. Je vis mes parents s'assoir sur un banc suivit de mon frère.
Une femme s'avança et s'arrêta juste devant moi.
- Je sens que tu n'es pas a ton aise, mais détend toi, tout va très bien se passer, dit elle doucement a mon oreille.
Elle leva les bras au ciel et dit:
- La cérémonie est ouverte. Aujourd'hui nous allons accueillir dans l'une de nos 6 écoles une nouvelle et jeune apprentie, Sarah Philegio. J'appelle notre premier professeur de l'école de Furilse afin qu'il est un contact avec l'au-delà pour que la cérémonie ce passe bien.
Il s'avança vers nous et prit la parole:
- Aujourd'hui comme a fait remarquer ma collègue, Céleste, nous allons accueillir une nouvelle apprentis, Sarah.
Il prit une voix puissante et forte pour s'adresser au force du haut.
- Grand Saint, accueillez cette apprentis avec bienveillance. Donnez lui force et puissance afin qu'elle passe sont Prolas avec succès.
Il fini sa phrase en criant. Je ressentais la puissance qui émanais de lui. Céleste repris la parole:
- J'appelle maintenant le professeur qui représente en ce rituel, l'école de Mercar afin qu'il la protège du danger extérieur et que le Prolas se passe en toute sécurité.
Il s'avança et se plaça au même endroit où se trouvais quelque temps avant le professeur de l'école de Furilse puis dit:
- Bonjours Sarah, bonjours grand Saint. Aujourd'hui est un jour exceptionnel. Aujourd'hui nous allons accueillir une apprentie. Et c'est pour cela que je demande de protéger ce rituel afin que sécurité et protection en face partie.
Tout comme l'ancien professeur il leva les bras au ciel tout en dégagent une force surhumaine. Alors Céleste reprit la parole et dit:
- J'appelle en ce rituel aujourd'hui, le 3eme professeur. Je parle bien sur de celui qui représente l'école de Juserre. Il veillera à ce que cette jeune fille prenne le bien plutôt que le mal comme appuie.
Il fit comme les 2 professeur précédent et dit:
- Merci de m'accueillir en ce rituel. Aujourd'hui en effet n'est pas un jour comme les autres. Je demande au grand Saint de veiller sur cette jeune fille afin qu'elle prenne le chemin le plus sage.
Il me regarda avec un air bienveillant puis se mit a la suite des professeurs. Céleste regarda le quatrième professeur et dit:
- C'est au tour d'un des professeurs de Naresme de guérir les blessures passé de cette jeune fille.
- Merci Céleste. Grand Saint je vous demande de guérir les blessures intérieures de Sarah ici présente, pour qu'elle aille de l'avant et oublie ce qui pourrais perturber son Prolas.
Un grand soulagement intérieur régna alors en moi. Je me sentais apaisé, relaxé. Ces mots qui paraissait normaux me faisait en faites un grand bien. Céleste se remit alors a parler:
- Le 5eme professeur représente l'école de Terrasquaire. Grâce a celui-ci, paix et harmonie règnera en ce rituel.
- En effet Céleste. Je demande a notre grand Saint d'apporté toute la paix et l'harmonie dont a besoins, je le sens, et ce lieu et cette jeune fille nommé Sarah.
Alors Céleste demanda, par un signe, au professeur de se placer a la suite des autres. J'en ai déduit que c'étais son premier rituel. Céleste s'avança vers le 6eme et dernier professeur et dit:
- Je suis ravie de voir que notre 6eme professeur, Kallen Rodrigon, nous a fait l'honneur de représenter son école. Etant un professeur proche du grand Saint. Il demandera alors d'apporter en cette jeune apprentie, le pouvoir qu'elle mérite.
- Merci Céleste de mener ce rituel à bien.
Je vit alors les joues de Céleste rosir. Cela me faisait plutôt rigoler.
- Aujourd'hui mes chers amis, n'est pas un jour ordinaire. Aujourd'hui cette jeune fille nommée Sarah passera son Prolas et deviendra alors l'une des nôtres. Je demande au grand Saint, celui à qui je suis fidèle, de donner à cette jeune fille le pouvoir qui reflète son caractère, le pouvoir dont elle mérite.
Il se tourna vers moi et dit:
- Cher Sarah, te sens-tu prête à intégrer l'une de nos écoles ? Te sens-tu suffisamment forte et méritante pour recevoir les pouvoirs qui te seront conférer.
Je le regarda une minutes. Je savais que j'étais prête, je l'étais depuis bien longtemps. Alors, droit dans les yeux je lui répondit:
- Oui, je me sens prête.
- Bien, dit-il d'une voix forte, alors que ton Prolas commence.
A l'instant même où il prononça ces mots, les 12 coups de minuits se mirent à retentirent. Au 12eme coup, je sentit alors une force surhumaine jaillirent de mon corps. Puis je pris un mal de dos terrible. Si terrible que je tomba a genou puis cria de tout mon être. Soudain je ressentis une bouffé de chaleur. J'avais chaud, tellement chaud. Je ne savais pas que ça faisait aussi mal. Si ça se trouve, ce n'est pas normal. J'ai peur. Non, non, il faut que je me ressaisissent. Et à cette penser, je me mis à expulser toute cette chaleur. Mon mal de dos et cette chaleur si étouffante s'arrêta et je me releva. C'est alors que je vis les visages ébahis de mes professeurs. Je ne comprenais pas pourquoi tout le monde me regardais comme ça. Je vis alors dans mes mains, du feu. Et pourtant, ça ne me brulais pas. Alors je compris que je contrôlais le feu. Mais ça n'expliquais pas pourquoi une telle réaction. Alors le professeur de l'école de Danémon, Kallen Rodrigon, pris la parole:
- Ce jour marque l'arrivé d'un vampire qui contrôle le feu, dit il avec force, mais aussi le premier vampire ayant des ailes.
Quoi ! des ailes ?! Je tourna la tête et je vis alors une magnifique paire d'aile. Elles étaient lasses et molles. Elle avaient la forme des ailes d'un aigle, elles étaient grise ce qui signifiais celons moi, que je n'appartenais ni au mal, ni au bien pour l'instant mais peut être que quand je choisirais, elle changerons de couleurs . Et elles brulaient ce qui les rendaient subliment. Elles doivent être encore plus belles redresser, dures et fortes. Céleste s'avança vers moi et me dit:
- Va rejoindre ta famille afin que tu puisses leurs dirent au revoir, pendant ce temps, les professeurs réfléchissent quelle école tu intègrera, d'accord ? Pour que le feu cesse, tu dois te concentré et dire que tu veux l'arrêter. Et met toi une cape afin que tes ailes soient protégés.
- Très bien. Merci beaucoup.
Elle me tendit une cape puis je me l'a mis sur le dos. Ensuite je dirigea vers ma famille. Je voyais le visage de ma mère qui était émue et contente et celui de mon père qui exprimait de la fierté et de la surprise. Puis je vit celui de mon frère, qui était dégouter.
- Oh ma chérie, tu es magnifique. Merci grand Saint, merci. Je suis terriblement contente pour toi, dit ma mère émue aux larmes.
- Merci maman et oui je suis très contente, répondis-je
- Qu'est ce que je suis fier de toi. Notre grand Saint a fait le bon choix. Ces pouvoirs sont fais pour toi, dit mon père avec conviction.
- Oh merci papa.
- Bravo, dit mon frère avec nonchalance.
- Merci, lui répondis-je sur le même ton.
Je les aiment. Je les aimaient de tout mon être. Il faut que je leur disent avant que je ne parte.
- Je vous aiment très fort, dis-je très émue.
- Nous aussi, répondit ma mère à la place des autres.
Je m'avança pour leur faire un câlin de groupe. Nous nous serrâmes très fort. Puis, à cette instant les professeurs se tournèrent et dirent:
- Nous avons délibérés.
Alors le professeur de l'école de Danémon s'avança et dit:
- Je suis fier de t'accueillir dans mon école Sarah.
Oh grand Saint, j'allais être dans la meilleure école. L'école où se forment les grands Saints et autres grands vampires. Alors Kallen repris la parole:
- Fais un dernier bisous à ta famille et nous t'emmenons à l'école pour le bal.
Je me retournai et dit les larmes au yeux:
- Au revoir et à bientôt. Sachez que je vous aiment très très fort.
- Nous aussi, dirent-ils en cœur.
- A bientôt ma chérie, dit ma mère.
- A bientôt, répondis-je.
Je me dirigea vers la voiture et fis un dernier au revoir à ma famille. Puis je rentra dans la voiture. A l'instant même où je fermis la portière, Kallen dit:
- Tu es le vampire le plus exceptionnel que je n'est jamais rencontré.
- Je ne sais pas trop comment le prendre Monsieur, dis-je un peu dérouter.
- Venant de moi, c'est plutôt un compliment, dit il, et pas de manière appelle moi Kallen. Bienvenu a Danémon.
- Merci, Kallen, dis-je respectueusement.