Chapitres 6: Les pouvoirs.

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C'était incroyable. Et c'était un petit mot pour définir la situation actuel. Nous sommes liés. Ce sentiment de le connaître depuis toujours venait surement de là. Et puis dans la cafétéria, le moment où j'avais l'impression qu'il y avais quelque chose, comme un fil entre nous, ça venait de là aussi. Il faudrait aller en parler à Kallen, peut être que ce n'est pas normal. Oh je suis tellement perdu et exciter à la fois. Encore deux autres sentiments que je peux classer dans cette journée hors du commun. Pour casser le blanc, je dis:
- Tu ne penses pas qu'il faudrait aller en parler à Kallen ? Peut être qu'il pourrait nous expliqué d'où ça vient.
- Oui, tu as surement raison.
- Aller hop c'est partit. On va aller résoudre un autre mystère.
- Ahah, on peut dire comme ça, dit il amusé.
Nous repassâmes par les couloirs où nous étions passer il y a quelques minutes auparavant. Une fois arrivé devant le bureau de Kallen, nous nous regardâmes une dernière fois avant d'y entrer. Puis confiante, je frappa à la porte, d'un coup de poing assuré. J'entendis Kallen qui m'autorisa à entrer. J'ouvris la porte et à ma plus grande surprise, rien n'était en lévitation cette fois. Tout était normal. Kallen pris la parole et dit:
- Que puis-je faire pour vous ?
- Nous avons découvert un truc de fou ! Dis-je toute excitée.
J'entendis alors dans ma tête la voix de Quentin qui me conseilla de me calmer légèrement. Cela me faisais bizarre d'entendre ça voix dans ma tête mais aussi étrange que cela puisse paraître ça ne me dérange absolument pas.
- Alors dis moi tout Sarah ? Que ce passe t-il de si important ?
- Nous avons découvert un lien entre nous.
- C’est-à-dire, repris Kallen, curieux de connaître la suite.
- Et bien en faites, dis Quentin, nous pouvons communiquer mentalement , entre nous. Et dès qu'on se concentre, c'est comme si plus rien autour n'existais. C'est très étrange mais aussi, à chaque fois qu'on se fixe, en tout cas pour ma part, dit Quentin en me regardant, j'ai l'impression d'être plus fort, d'être comme invincible.
Kallen nous fixâmes, d'un air, pas du tout surpris, mais il avait plutôt la tête de quelqu'un qui réfléchissait. C'était assez marrant à vrai dire.
- Mmm, très intéressant. Je pense que nous avons trouver la source de ton énergie Sarah. Je pense, que part ce lien, vous crée une sorte de matière qui vous redonne de l'énergie à tout les deux. Pour ce qui est de cette communication mental, je n'ai jamais vu ça de toute mon existence, et pourtant notre Saint sait à quel point j'ai vécu. Je pense que ce lien va vous permettre de faire encore plus que ces deux seules choses. Je vais vous donner 8 heures en plus de cour pour pouvoir vous expérimenter. Etant donné que votre énergie se résorbe plus vite, il n'y a aucuns problèmes.
8 heure en plus ?! Il veut vraiment qu'on devienne plus fort. Bon c'est vrai que 8 heure, ça fais beaucoup mais je suis tellement contente de passer plus de temps avec lui. C'est un gars calme, poser. Avec ces cheveux noir redresser a l'aide de gel, ces yeux bleu vert, ces épaules développer, ces bras musclés et j'en passe: il me fais fondre. D'un seul coup j'entendis mentalement:
     -    Sarah, j'entends tout je te rappelle.
Oh mon dieux, l'erreur monumentale. Je me sentis rougir. J'étais tellement gêner. Puis je lui répondis, toujours par pensée:
     -     Arrêtes de lire dans mes pensés.
     -     Bon d'accord.
Puis je souri.
Kallen repris:
    -      Je pense que se silence veut dire oui. Les 8 heures commence dès demain. Pour vous préparer à ce changement d'horaires pas de cours cet après - midi. Je compte sur vous. A demain.
    -      A demain, dis je.
    -      A demain et au revoir, enchaîna Quentin.
Nous sortîmes de la salle et nous nous dirigeâmes vers l'entrée du lycée. Une fois dehors, nous nous installâmes sur le même banc que tout a l'heure. Je regarda le soleil, les oiseaux, les arbres qui dansaient, le vent venait ce frotter contre mon visages, je savourais ce moment de paix intérieur. J'étais tellement bien. A ce moment précis, plus rien n'importais. Puis je dis:
- Alors, parle moi un peu de toi.
- Ahah ça serais trop long, dit il en baissant la tête avec un petit sourire au lèvres.
- Oh tu ne vas pas t'en sortir comme ça. Et puis, si on y pense, j'ai tout l'après-midi non ?
- Bon très bien, je m'appelle Quentin, j'ai exactement 17 ans, je vis ici même, dans cette école extraordinaire. Les gens sont adorable, dit il ironiquement, j'ai comme pouvoir le feu et je peux parler mentalement avec une fille chieuse mais que j'apprécie quand même, et que je connais depuis à peine quelques heures. Je crois que j'ai plutôt bien résumer ma situation actuel.
- Mmm je pense aussi, mais je ne veux pas que tu me dises ce que je sais déjà, c'est inutile si on y pense. Non, moi ce que je veux, c'est que tu me raconte ton passé, et ce que tu envisage de faire dans les jours prochains.
- Oulala c'est trop me demander tous ça.
- Ah oui et pourquoi ça ?
- Parce que j'ai eu une enfance assez dur et j'aime pas trop en parler, dit il en baissant la tête.
- Oh, je suis désoler. Mais n'oublie pas que c'est toi qui choisie ton avenir alors profite de ce privilège et ne rate pas tout ok ?
- Ahah  je vais essayer, dit il en souriant.
Je n'en reviens pas. Moi qui pensais être une dure à cuire, je m'attache à un garçon en moins de 24 heures. Et  bah Sarah, c'est pas du jolie tout ça. Après avoir passé l'après midi avec Quentin à rigoler, a discuter ect.., je me suis diriger vers mon immeuble. Bien sur Quentin m'a accompagnée. Quand je suis avec lui, je suis au ange. Il faut que j'arrête de penser à lui tout le temps, ça deviens une habitude.
En rentrant, j'ai posé mes affaires et je me suis affalée sur le canapé. Puis je me suis fait un petit récapitulatif de ma journée, et un récapitulatif sur ce que je dois faire pour que ma journée de demain ce passe mieux. Alors tout d'abord commençons par la première liste:
• J'ai rencontrer le meilleure des gars .
• J'ai rencontrer le pire gars.
• J'ai rencontrer deux filles géniales .
• J'ai rencontre THE peste .
• J'ai découvert de nouveaux pouvoirs .
• J'ai eu le droit à 1 millions de regard froid.
Bon et bien je crois que j'ai fais le tour pour cette liste. Passons à l'autre maintenant:
•  Rester principalement avec Quentin, Marlène et Inès.
• Rester le plus LOIN possible de THE peste et de Clément.
• S'entrainer dès que j'aurais fini cette liste à m'améliorer niveau pouvoir.
• Et être sympas avec les gens pour une meilleure intégration ( même si je pense que cette partie va être délicate et va prendre du temps.).
Mmm plutôt cool mes objectifs. Bon c'est pas tout mais moi comme j'ai dit, je vais m'entrainer pour demain avec Quentin. Je ne veux pas qu'il me prenne pour une débutante.  Je suis aller dans ma chambre et je me suis assise en mode bouddha sur mon lit. Bon alors qu'elle facultés je pourrais développés ? Peut être la lévitation. Je me suis concentré sur un objet mais rien ne se produisais. Je sens que je vais avoir du bouleau moi. On va marcher autrement. J'ai visualisés l'objet (  qui là était un coussin ) j'ai fermé les yeux et je me suis imaginé le coussin qui flottais. Quand j'ai rouvert les yeux, il n'y avait rien. Rien qui flottait. C'était triste. Peut être que je ne suis pas faites pour la lévitation. Peut être que j'ai un autres pouvoir en rapport avec les éléments. J'ai imaginé la Terre et je me suis dit que non, j'ai rien sentis de particulier aujourd'hui avec cet élément. Le feu, évidemment. L'eau. Non, a part un bon bain, l'eau c'est pas trop mon truc. Surtout quand je pense qui détient ce pouvoir. Il ne reste que l'air. L'air, l'air. Et c'est là que je me suis souvenu que je me sentais bien en présence de l'air. J'étais apaisée, soulagée. Et bien essayons. C'est alors que je me suis dirigée vers ma fenêtre et je l'ai ouverte. J'ai fermé mes yeux, visualisé l'air, je l'ai sentis me caresser la peau. J'ai rouvert les yeux, déterminée. J'ai mis mes mains en l'air en direction de la fenêtre, comme si je pouvais attrapée le vent et j'ai déplacer mes bras brusquement, comme si je poussais l'air en direction du coussin. Je ne m'attendais pas à ce que cela marche, mais surtout je ne penserais pas que le vent allais tout faire voler dans ma chambre. Heureusement que je n'avais pas sortit grand chose de ma valise. Comme quoi, ça a du bon d'être flemmarde. Heureuse d'avoir découvert que je métrisais un autre élément, je me mis à danser comme une complète débile mental. En même temps que je dansais majestueusement, Quentin à ouvert la porte et c'est mit à rigoler. Puis j'ai dis:
- On toque avant d'entrer.
- Je suis désoler, dit il tout en continuant à rigoler, je ne pensais pas que tu serais en train de faire la poule.
- Je ne faisais pas la poule, dis-je vexé a moitié, je dansais.
- Ahah d'accord. C'était juste pour te rendre ton rouge à lèvre il est tomber de ton sac. Et qu'est ce qu'il c'est passé dans cette chambre ? Dit il tout en analysant la pièce.
- Un petit test, dis je tout simplement, bon aller sors de ma chambre maintenant, c'est un endroit privé.
- D'accord, tu me raccompagnes jusqu’à la porte ?
- Ok pas de souci.
Nous nous dirigeâmes vers celle-ci quand Inès et Marlène rentrèrent. Elles nous ont tout les deux fixés, comme si nous avions fait quelque chose de mal. Puis je dis mentalement à Quentin:
- Pourquoi elles nous fixent comme ça ?
- Je sais pas, peut être qu'elles ont imaginés qu'ont avaient couchés ensemble.
- Tu penses ?
Puis instinctivement je me mis à rigoler, et Quentin fit de même. Les deux filles nous ont  regardés, l'air complètement effarées. Marlène pris la parole:
- Mais qu'est ce qui se passe ici ?
- Rien de spécial, je vous raconterais tous tout à l'heure, dis-je amusée de leur réaction. Bon je vais raccompagnée Quentin. Commencez à faire chauffer les pizzas, j'arrive, je meurt de faim.
- Ok, dis Inès avec enthousiasme.
Je poussa Quentin jusqu'à la porte. Il résistait mais je suis plus costaux qu'il n'y parait. Une fois dans le couloir nous descendîmes les escalier et  Quentin piqua une crise de rire, je le regardais avec grand sourire, amusée qu'il rigole autant. Son rire était grave et pas du tout ridicule contrairement au miens. Ces traits du visage étaient gracieux, et faisait très viril. Il avait ce sourire qui ressemblait a celui de Mario Casas. Il était très sexy. Puis je lui demanda, en rigolant légèrement:
- Qu'est ce qui te fais rire à ce point ?
- Ahah, c'est de revoir le visage des filles, dit il tout en reprenant sa respiration. Elles étaient entre la décomposition et l'émerveillement. C'était hilarant.
Puis je me suis remémorer leur visage quand elles se sont imaginés des choses. Quentin avait raison c'était excellent. Puis je me mis à rigoler à mon tour. On nous entendais jusqu'au dernière étage, j'en suis presque sur. Nous étions plier en deux, les mains sur notre ventre pour apaiser la douleur même si cela n'avait pas une grande utilité. Puis, au bout de 5 minutes, nous nous sommes calmés un peu, les larmes aux yeux tellement nous avions rigolés. Il me regarda avec un grand sourire et dit calmement en me regardant avec douceur:
- Cela fait bien longtemps que je n'avais pas autant rigolé. Ça fais un bien fous.
- Je suis contente de voir que tu as la capacité de rigoler.
- Et ce n'est pas fini Philegio, ce n'est pas fini, me dit il en me faisant un clin d'œil.
Il y eu un grand silence, un peu gênant, où l'on s'observais. Il a durais 30 secondes pas plus, puis Quentin me dit:
- A demain, Philegio ?
- A demain, dis je calmement.
Il me tourna le dos, me fit un signe de la main et tourna vers son bâtiment . Je ne sais pas si, maintenant que je le connais, je pourrais me passer de lui. Mais bon, je n'ai pas encore découvert tous sont caractère. Je fis demi-tour en direction des escaliers, je les monta et me dirigea vers la porte. Un bruit surgit alors vers l'entrée. C'était Clément qui entrait dans mon bâtiment. Je fis volte face et tenta d'ouvrir la porte. Mais comme d'habitude la porte à un peu de mal. Aller, ouvre toi, ouvre toi. Une fois que celle-ci a enfin cédé, je me suis vite dirigée à l'intérieur de l'appartement , et ferma la porte aussi vite que je l'ai pu. Mais c'était trop tard, Clément avait glissé son pied afin que je ne puisse pas la fermer . Je laissa tomber ma tête, exprimant ma déception. Grand Saint, pourquoi, suis-je aussi peu rapide. Ce n'est pas pour rien que mes parents m'appelaient deux de tension. Je rouvris la porte, affichant une expression, qui disais "Qu'est ce que tu me veux ENCORE". Il me regarda en se grattant la tête un peu gêner. Il a de quoi être gêner, je te le dis. Puis je pris la parole, voyant qu'il n'était pas très motivé pour commencer:
- Qu'est ce que tu veux, Clément, dis je d'un ton nonchalant.
- Je voulais m'excuser, dit il enfin.
- C'est quand même bête d'avoir fait le trajet pour ça. Tes excuses, j'en ai rien a faire.
- Ecoute Sarah, je voudrais qu'on reparte de zéros.
- Clément, dis-je en le regardant droit dans les yeux, le cerveau est composé de quelque chose d'exceptionnelle: La mémoire, dis je ces derniers mots faisant comme si c'était magique.
- Ton humour est hilarant Sarah. Mais tu me plais vraiment et j'ai vraiment envie de passer plus de temps avec toi.
- Attend dis-je en sortant la tête de l'ouverture de porte, où est la caméra ? C'est à quel moment où je dois me faire arnaquer ? 
- Il n'y a aucune arnaque Sarah, dit il très sérieux.
Je plissa les yeux comme si j'étudiais un quelque chose qui sortait de l'ordinaire et repris:
- Alors, tu serais capable de ressentir quelque chose ? Fascinant.
- Sarah, est ce que tu peux arrêter avec ton sarcasme 30 secondes s'il te plait ?
- Ecoute, dis-je maintenant très sérieuse, si tu avais voulus passer plus de temps avec moi, il fallait y penser avant de me traiter de pestiférée.
- Mais Sarah je rigolais, dit il sur la défensive.
- Et je t'ai communiquer mon ressenti en te disant que ce n'était pas drôle.
- Et c'est pour ça que je viens m'excuser.
- J'accepte tes excuses, dis je sans conviction.
- Ok cool, dit il optimiste.
- Bon bah salut.
- Attend.. Rajouta t-il en laissant son pied qui bloquait encore la fermeture de la porte, ça te dis de manger avec moi demain midi.
- Et bien, si manger avec Marlène, Inès et Quentin ne te dérange pas, il n'y a pas de souci.
Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit d'accord avec ce que je venais de lui dire. Ma mission éviter le pire mec est un échec.  Bon bah demain, je sens que je vais passer un midi.. Comment dire,… Sans ambiance. Il me dit au revoir et j'ai enfin pu fermer la porte, aucun pied n'est venu gêner cette fois. Je me rendis dans la cuisine, je m'installa au bar. Les pizzas étaient prêtes, comme prévue. J'ai commencée à prendre une part quand j'ai eu le droit a des regard qui voulais dire "Tu as pas des chose à nous dire ?". J'ai posée ma part de pizza, déçu de devoir attendre de manger. Même mon ventre se plain. Je leur est expliqué le lien que j'avais avec Quentin, que notre énergie se résorbait en restant avec lui, ma découverte d'un nouveau pouvoir, l'arrivée brutale de Quentin dans ma chambre lorsque je dansais soit disant "comme une poule", la conversation qu'on a eu mentalement lorsqu'elles étaient là, le fou rire qu'on c'est pris en bas et quand Clément est venu se faire pardonné. Les deux filles m'ont regardés avec de grands yeux. Puis Inès dit:
- Rien que ça ? C'est impressionnant comme ta journée est mouvementée. Si seulement la mienne était aussi… dynamique.
- Ahah, une journée animée c'est bien, mais trop c'est un peu relou, dis je tout en rigolant un peu.
- Bon maintenant que tu nous as racontée ton récit, ont t'autorises à manger.
- Ahah, merci mes maîtres, dis je ironiquement.
Quand je mis ma pizza dans ma bouche et quand qu'elle frotta mon palais, c'était comme une explosion de saveur. Rien de telle qu'une bonne 4 fromages quand on a une faim de loup. Je l'ai d'ailleurs presque toute engloutit. Les filles n'ont pas voulu s'interposés entre cette merveilleuse pizza  et moi de peur de le regretter. Quand enfin, j'eu fini de manger, j'alla prendre ma douche. Je confirme, l'eau chaude peut faire oublier n'importe quoi. Je sortie de la salle de bain et Inès se trouvait devant, surprise, je sursauta. Puis je dis :
- Oula tu m'as fait peur.
- Ahah,  j'ai crue que tu t'étais noyer dans la douche.
- Oh c'est gentil, dis je ironiquement, tu t'inquiète pour moi.
Elle me lança un regard faussement énervé. Je lui renvoya un sourire. Elle entra dans la salle de bain et ferma la porte à clé. Amusée, je me dirigea vers ma chambre, et m'étala sur le lit. Je vais enfin pouvoir dormir. Cette journée très.. On va dire mouvementée m'a épuisée. Et je m'assoupis, rêvant de ma famille bien aimée qui étais loin de moi. Quand je me réveilla, Marlène était au dessus de moi, l'air inquiète. Je me releva et lui dit:
- Qu'est ce qui il y a ?
- C'est plutôt à moi de te poser la question. Tu as commencée à crier comme une hystérique.
- J'ai du faire un cauchemars, je suis désolée si je vous aient réveillées.
- Non non ne t'en fais pas. Par contre c'est l'heure de te réveillée.
Je grogna par mécontentement. Déçu, je me leva quand même, alla déjeuner avec les filles puis, plantée devant mon dressing j'eu comme un flash, les souvenirs de mon cauchemars me revinrent en mémoire. J'étais en train de me promenée avec Marlène, Inès,  Quentin, Clément et Julia lorsque une horde de gens sortirent de derrière les arbres. Ils avaient des tatouages qui leurs donnèrent un petit côté virils bien que ceux ci ne soit pas très beau. Puis instinctivement, je me mis a courir, ne savant pas pourquoi. Mais les géants qui nous courraient derrière, étaient bien trop fort et ils nous rattrapèrent en peu de temps. Inès courait doucement. L'un des gardes la pris et lui enfonça le couteau dans le ventre. Je cria de tout mon corps. Mais Quentin m'a retenu et nous avons continué en laissant Inès derrières nous, seule, en sang. Et le flash s'arrêta brutalement. Je repris une grande respiration encore abasourdit de ce que je venais de voir. Si je pouvais choisir sur ce dont je voulais me souvenir ou pas c'est certain que je n'aurais pas voulu me souvenir de ça. Mais c'est trop tard, le mal est fait. Bon après que ma mémoire m'ai jouée des tour, j'alla me préparer. Je sortie avec mon sac que j'avais positionnée au niveau de mon coude. Quand je descendis, je remarqua une personne qui attendais. Je dis mentalement, pour voir si c'était Quentin:
- C'est moi que tu attend ?
La personne en bas se retourna et me fixa, puis il ouvrit la bouche et dit d'un ton enjoueur:  
- Philegio, tu te prépares doucement dit donc.
- Ahah disons juste que j'ai eu un petit imprévue, dis je en souriant.
- Un imprévu ? Demanda t-il interrogatif.
- Je t'expliquerais.
Je finis de descendre les escaliers et nous marchâmes tout les deux jusqu'au lycée. Pendant le trajet, je lui est raconté mon cauchemars qui m'étais revenu comme un flash. Il dit:
- C'est quand même bizarre qu'il te soit revenu comme ça. En général on ne se rappelle pas de ces rêve en détails.
- C'est sur  mais les rêve ne sont pas fait pour être logique.
- Oui.
Arrivé au lycée, nous nous dirigeâmes vers la salle 302.  C'est ici que ce passais le cour des sortilèges et pouvoirs. Je m'étais mis à côté de Quentin car il n'y a pas beaucoup de monde qui m'apprécie et que j'apprécie en retour dans cette classe. La prof, madame Cardanguo, étais blonde aux yeux bleu. Elle était plutôt bien habillée, en tout cas c'est ce que je pensais. Malgré son âge, elle était bien préservée. Elle me demanda de me lever pour voir l'intensité de mes pouvoirs, afin qu'elle puisse me donner des sortilèges adaptés. Je fis ce qu'elle me demanda. Le feu jaillit alors de mes mains.
- Déploie tes ailes s'il te plait, dit elle tout en me regardant sérieusement.
- Il n'y a pas de souci mais j'ai besoin de plus d'espace aussi non je vais blessé quelqu'un.
- Pas de problème, vient près de mon bureau, je vais élargir la pièce.
Surprise de ce qu'elle venais de me dire je m'avança et comme prévu elle élargit la pièce. Wouaa c'était bizarre mais trop cool. Je déploya mes ailes, et cette chaleur qui me procurais un bien être, ce répandit dans tout mon corps. Le feu  qui se trouvais au creux de ma main était plus puissant mais pas incontrôlable. La prof reprit la parole et dit:
- En effet, je comprend pourquoi on vous a fait sauter une classe. Je dois vous donner des sortilèges très puissant. Merci, vous pouvez a aller vous asseoir.
Tout le monde me fixais. Je crois que le mot "puissant" les as effrayés. Je retourna à ma place et dit à Quentin mentalement:
- J'ai crue que tout le monde allaient partir en courant.
- Ahah pourquoi tu dis ça ?
- Leur regards voulaient dire " j'ai peur maman"
- Toujours dans l'excès Philégio.
- Ahah.
Ce qu'il y a de bien quand on peux parler mentalement avec quelqu'un qu'on aime bien, c'est qu'aucun prof ne sais qu'on discute. C'est gé-nial. Une fois le cour terminé, la prof m'arrêtais au niveau de son bureau:
- Tenez Mlle Philegio. Un livre sur les sortilèges qui vous correspond.
- Il n'ai rien que pour moi ?
- Bien sur que oui, je viens de le concevoir pour vous.
- Déjà ?, répondis-je abasourdis. 
- Ahah oui, répondit elle en rigolant, c'est l'une de mes facultés.
- Cool.
- Commencez à l'étudier dès ce soir après les cours,  vous aurez besoin d'entraînement.
- Très bien, au revoir.
- Au revoir.
Je sortis de la salle et rejoignis  Quentin qui se trouvait juste devant.  Puis je lui demanda:
- Qu'est ce qu'on a comme cours maintenant ?
- Le cour de Mr Kallen.
-  Encore ? Mais on l'a eu hier.
- Tu sais on a pas énormément de cour dans la semaine. Il y a celui de Mr Kallen, celui de Mme Karistabe, de Mme Cardanguo, et deux autres cours ou tu n'est pas encore allée. Celui de Mr Plorique où l'on apprend des techniques d'attaque et de défense et celui de Mr Rodrigon où l'on fait beaucoup de sport comme la course à pied. Chacun de ces cours est utile à ...
- La tâche final de fin d'année, je sais, je sais. 
Nous nous dirigeâmes vers la même salle qu'hier lorsque nous étions avec Mr Kallen. Je rentra, et remarqua que les chaises n'étaient plus là. Temps mieux, on aura moins l'impression d'être enfermer dans un truc pour alcolo. Kallen nous demanda de tous s'aligner, assez loin de lui et du coffre qui se trouvait à sa gauche. Une fois cela fait, il reprit la parole et dit:
- Bon aujourd'hui, nous allons voir et apprendre nos sortilèges les plus puissants afin de pouvoir les maitrisés.
C'est à ce moment là que je croisa les doigts pour que personnes ne me regarde. Certaines personnes l'on fait mais les autres se sont abstenus. J'étais la seconde si Kallen commençait par la gauche. Je ne sais pas ce qu'il y aura en face de moi mais j'espère seulement qu'il sera assez puissant pour résister. Je savais que mes pouvoirs étaient très puissant. Je sens qu'il brûlent en moi. La fille avant moi, il me semble Clarisse, s'avança un peu sachant qu'elle était la première. On sentait qu'elle avais un peu peur. Elle avait les mains moites, ça se voyaient. Kallen ouvrit son coffre et dit en même temps:
- Bon je vais rappeler la particularité de cette cible. Elle encaisse énormément de pouvoirs. Votre but ? La détruire. Je vais en décevoir beaucoup en disant qu'une seul personne à réussi et c'est moi. Tout le monde sais maintenant que la tache va être très difficile. Sortez donc vos manuelles de sortilèges, mettez vos mains au dessus de vos manuelles et je veux que vous vous imaginiez le sortilèges le plus puissant que vous voudriez faire. Pour toi Sarah, ça va être plus compliqué étant donné que tu as vu très peu de sort.
- Ne vous inquiétez pas monsieur, je vais m'en sortir. J'aime surmonter les défis, dis-je d'un air malicieux.
- Très bien, et bien sache que j'en attend beaucoup de toi dans ces cas là. Montre nous que tu peux briser cette cible.
- Je vais tout faire pour.
Je fis comme Kallen nous a dit, je mis mes mains au dessus du livre et je m'imagina le feu et l'air mélangés. Le vent propulsait le feu qui se faisait très puissant. A la fin de se sort, je vis un poing dessiner par l'air qui arrêtait le feu. Je trouvais ça plutôt pas mal, mais à ma surprise, le livre ne s'ouvrit sur aucune de ces pages. De toute façon, je savais comment le faire. C'était comme instinctif. La cible en place, Clarisse s'avança à la demande de Kallen même si elle n'était pas très d'accord. Je pense qu'elle a eu une très mauvaise expérience avec cette cible. Elle jeta un sort tout de même assez puissant avec la Terre. Elle créa de la terre qu'elle propulsa à une vitesse hallucinante contre l'engin. Mais rien à faire, la cible n'a même pas vacillée. Pourtant Clarisse semblait à bout de force après le sort qu'elle venait de jeter. Cela ne fit que renforcer le fait de vouloir détruire cette chose indestructible qui se trouvait devant moi. Je reçut une motivation de la part de Quentin dans ma tête puis je le remercia. Je me concentra. Une fois mes pouvoirs a fond et ma concentration au taquet, je m'imagina le sort que j'avais pensée un peu plutôt. Et toute la salle partie dans un tourbillon. Je remarqua qu'il y avait un sort de protection autour des personnes présentes dans la salle. Rassurée, je donna tout ce que j'avais. En même temps, je pensa à ma famille avant de partir et les derniers mots qu'ils m'ont dit. Un autre élan d'énergie me pris et mon sort redoublât de puissance. L'air faisait un tourbillon élégant autour du feu comme lorsque les gymnastes magnent  le ruban lors de leurs prestations. Le feu, lui, formait comme un tube transparent propulsé au centre de la cible. Je déploya mes ailes, bien décidée à ce que cette engin tombe. Je donna tout ce que je pouvais. Mes cheveux partaient dans tous les sens à cause du vent qui n'arrêtais pas de tournoyer. Au bout de, je dirais, 5 bonnes minutes. La cible tomba enfin. J'arrêta mon sort en refermant mon propre poing. L'air le représenta en plus grand. Remarquant que je volais, je descendis délicatement en faisant attention à ce que je ne blesse personne. Je replia mes ailes et me tourna vers Kallen et les autres élèves. Tout le monde était bouche bée. Même Kallen. Puis il dit:
- Je suis impressionné de voir que tu maitrises et l'air, et le feu. Je suis encore plus impressionné de voir que tu viens d'inventer un sors car jamais, et j'entend bien jamais, je n'ai vu ce sors. Tu as même su le contrôler en imaginant quelque chose qui pourrait le stopper. Ce poing est la marque de fabrique de tes sortilèges. Et bien sur, la cible est détruite mais ça, c'est un petit détail face au sort que tu viens de faire.
- Merci, dis-je ne savant pas quoi dire d'autre.
- Tu peux allée te remettre à ta place et je te félicite encore.
Les autres élèves m'applaudirent et sifflèrent. Et pour une fois ils sifflaient positivement. Heureuse, je retourna à ma place . Quentin me dit alors mentalement:
- Ouaa, pas mal Philégio, tu as mis la barre haute.
- Merci, c'est un vrai compliment venant de toi.
- Tu m'étonnes.
Je me retins de pouffer de rire. Puis je riposta mentalement:
- Tu vas devoir tout donner alors.
- C'est sur.
Une fois les autres élèves passés qui se sont acharné sur la cible, en vain, c'était autour de Quentin. J'avais hâte de voir ce qu'il avait dans le ventre. Il se concentra, et commença a envoyer un sort assez puissant avec le feu bien entendu. Mais au bout de 30 secondes, il y a eu comme un miroir réflecteur à la place de la cible qui renvoya le sors qu'il jetait sur lui. J'ai sentis comme une douleur dans la poitrine. J'avais des bourdonnements dans les oreilles, et je me sentais affreusement mal. Quand j'ai vu Quentin s'écrouler, j'ai rassembler le maximum de mes forces et je suis allez près de lui. Il était très mal en point. Kallen était déjà partie chercher des secours. Mais je sentais bien qu'il avait besoins d'aide maintenant. Julia rigolait. J'étais hors de moi. Mais l'heure n'était pas à la vengeance. Il fallait soigner Quentin. J'ai ouvert ça chemise, et j'ai obligé mon cerveau à ce concentrer sur la blessure de Quentin plutôt que sur ces abdos de rêves. Il avait une blessure énorme qui avait fait comme un trou sur son torse. J'étais horrifiée. Quand la peste à vue ça, son sourire a aussitôt disparu. Je me suis concentrer sur mes pouvoirs et j'ai imaginé la blessure se refermer. J'ai alors exécuté le sort. Une lumière verte à surgit du torse de Quentin. Elle faisait voler mes cheveux. Avec le sort que j'avais exécuté juste  avant, mes pouvoirs étaient moins puissant. Mais il fallait que je me batte pour Quentin. Je n'allais pas le laissé mourir a cause de cette peste de Julia. Je me suis imaginé la première fois que j'ai vu Quentin, les délires qu'on a eu, le moment où ont a découvert notre lien, les mots qu'il m'avait dit il y a peine 2 minutes. Alors, mon pouvoir a redoubler d'efficacité. Il fallait qu'il guérisse. Quand j'ai vu que la blessure était totalement refermer, j'ai arrêté le sors avec mon poing. Puis j'ai vu les yeux de Quentin se rouvrirent. Un grand soulagement m'envahit. Puis il dit:
- J'ai briser la cible ?
En larme, je répondis que oui, puis a bout de force, je lâcha prise et m'évanouis. Juste avant que mes yeux ne se referme, j'ai vu Quentin se relever pour éviter que ma tête ne heurte le sol, puis Kallen et les secours son arrivés.
                                                                                  *
Je rêvais. J'étais dans une maison, pas la mienne, non une autre que je n'avais jamais vu. Il y avait un petit garçon, sur le canapé, en train de regarder la télé avec un bol de céréale Nesle. J'ai remarquer qu'il ne me voyait pas. J'en ais déduis que j'étais juste le spectateur de ce rêve. Etrange. Deux adultes sont entrés dans la pièce et se sont assis sur les chaises a proximité de la table. Il se tenait la main, l'air très amoureux. Il discutait. Je n'arrivais pas a distinguer ce qu'ils disaient. Mais j'avais ce pressentiment que ce n'était pas très important, qu'il allait arrivé autre chose. Quelque chose de plus grave. Au bout de 5 bonnes minutes, la porte a voler contre le mur d'en face. Les parents se sont levés et ont couru devant le petit garçon pour le protéger. Alors, des hommes très robuste sont entrez, ils avaient les mêmes tatouages que les hommes de mon précédent cauchemar. Ils ont commencés à jeter des sorts très puissant sur les deux adultes. Ceux-ci ce défendaient bien, mais on sentait qu'ils n'allaient pas tenir longtemps. Il étaient deux, les autres, je dirais bien 10. Ils ne faisaient pas le poids. Alors, ils dirent au petit garçon, d'allez là où personne ne le retrouverais. A l'instant même ou celui-ci entendit ces mots il se dirigea vers l'escalier, comme si il c'était préparé à ce moment précis toute son enfance. Les parents se battaient de toutes leurs forces mais ils lâchèrent prise 5 minutes environs après le départ du petit garçon. L'une des brutes dit un sors dans une autre langue. Les deux adultes firent alors des convulsions. Leurs yeux étaient à présent blancs et leur langues s'étaient transformés en langue de serpent. C'était un spectacle horrible. Puis ils se mirent a brûler et finirent en poussière. J'étais choqué et tout mon corps tremblait. Puis je décida de monter pour voir si ils avaient attrapé le petit garçon. Je gravis les escaliers et j'entendis l'un des monstres dire à un autres:
- Il a disparu, c'est le patron qui ne va pas être content.
Puis tout devint noir et je me réveilla.

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