*Chapitre 1 : " Regarde toujours devant toi. "

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On me disait souvent que les anges n'existaient que dans les films, les contes, dans l'imaginaire. J'ai eu bien des doutes. Dois-je les croire ou non, je ne sais pas...Mais un jour de pluie, un jour sombre où les ténèbres avaient envahi le ciel. Tu es apparu, tu as croisé mon chemin, ce jour-là était l'un des plus beaux que je puisse connaitre. Comme tombé du ciel, une créature divine d'ôté de l'immortalité, comme une statue de marbre dont on a immortalisé la beauté, un peu de grâce, de délicatesse et d'innocence dans ce monde rage et de cruauté ou l'argent mène la dance. Comme un enfant jeté dans le monde des adultes fasse aux problèmes. Ton corps, ta voix, tes yeux, tous en toi faisais que tu étais la créature de tous les désirs humain. Je ne sais ni ton nom, ni ton histoire et encore moins ce qui ta mise sur mon chemin. Mais sache que je t'aime déjà. Si tu savais, tu me prendrais pour un fou... Soudain je ne sais trop d'où une voix ensorcelante, aussi charmante que la personne à qui elle appartient m'interpella
« Hey Séraphin attend ! cria-t-elle- Qui m'appelle ?? Demandai-je
-Excuse moi je suis nouvelle, je suis dans ta classe. Tu peux rester avec moi aujourd'hui si ça ne te dérange pas ? me demanda-t-elle
- Oui mais dit moi à qui j'ai affaire, lui répondis-je - Je m'appelle Angel. »

Angel, elle connait mon nom j'en suis tout ému. Comment a-t- elle sut mon nom sans se tromper en sachant qu'elle ne m'avais vu qu'une seule fois, peut-être une bonne mémoire mais j'en doute un peu. Cette après-midi-là je n'ai pas vu l'heure passer, les minutes s'étaient envolées. J'ai pu plus te découvrir, ta personnalité, ton caractère...
Les jours, les mois passèrent, nous devenions de plus en plus complices, les regards, les rires, nos milliards de fous rires qui me fessaient tomber amoureux de toi. Le mois de février fut très surprenant, le jour de ton anniversaire le 19 février fut vraiment magique. Je me rappelle de ta belle robe blanche qui dévoilé tes jambes pâles, tu portais aussi des ballerines couleurs crème. Je savais que quelque chose en toi avais changé mais je ne sais pas quoi... Arrivé chez toi vers quatorze heure, ton cadeau en poche, j'avais eu bien du mal à te le trouvé mais je savais qu'il te plairait beaucoup, tu m'aperçus devant chez toi, en train de remonter ta longue allée entre les sapins, les rosiers et autres conifères, où le givre avait emprisonné quelques boutons des rosier rouge sang et blanc neige qui était placer les uns a cote des autres, en s'entremêlent les fleur fessais de ces lieux un endroit féerique. J'arrivais à ta porte. Tu as ouvert et tu m'as pris dans tes bras, je posai ma tête sur ton épaule.

« Il y a maintenant de cela seize ans un ange, une personne formidable est née... seize ans quelle respire seize ans que son cœur bat. Et maintenant malgré les hauts et les bas que tu es dans ma vie... Je voudrais garder notre complicité, tu sais je t'aime tellement, je serai toujours là pour toi quoi qu'il arrive, je serai la quand tu ne seras pas bien je serais toujours la quoi qu'il se passe! Joyeux seizième anniversaire mon Angel, lui murmure-ai-je
- Merci, merci d'être venu, merci pour tous Séraphin..., me répondit-elle.
- Mais de rien
- Vien, entre je t'en prie, me dit-elle. »

Nous entrâmes dans ce mini château, son vaste terrain où au bout se trouvait une forêt de grands arbres aux milles couleurs. Je pensais me situé dans un de ces films fantastiques ou dans un rêve... mais je ne me suis pas réveillé. Ton chien courait vers la forêt, on ne le vis bientôt plus tellement il courait vite. Tu m'as attrapé par le bras et tiré au bout du terrain. A l'entrée de la forêt tu t'es arrêtée. Tu m'as dit que nous sortirions changés; nous pénétrions ainsi dans la forêt, toi devant pour me montrer le chemin. Arrivée devant un grand arbre et des grosses pierres, nous nous sommes arrêtés, tu as fermés les yeux et en l'espace d'un instant ton âme est sortie de ton corps. Quand tu as de nouveau ouvert les yeux, ils avaient pris une teinte rosâtre, en ces lieux où nous étions tous commençaient à se métamorphoser, petit à petit tout autour de nous prenais la couleur de tes yeux, seul le sol garda sa couleur sombre je trouvais ce spectacle spécialement magnifique. Tu me fixas puis me dit :

《 Angel. 》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant