chapitre 2: première rencontre et lait caillé

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Un bruit énervant se fais entendre, il est de suite arrêté par la main de la jeune fille déjà réveiller depuis perpéte en effet, depuis quatre heure du matin ne réussissant a retrouver un semblant de sommeil, Elena rester debout a faire les cents pas en attandant l'heure pour sortir, elle avais déjà tous fais; elle avais fais son footing a cinq heure, c'étais doucher et avais manger, mis ces vêtements, prépare ses affaires, et il lui rester encore une bonne demi heure a attendre avant de sortir, c'est a s'en demander pourquoi elle mets son réveille puisque sa fais presque deux ans qu'elle n'a pas passé une nuit de ropot entière.
Décidant d'y aller a pied, elle se mets en route, remonte avec sa main droite ces lunettes rondes qui penche légèrement, et resserre l'élastique qui tiens ses cheveux, elle marche doucement en profitant du calme de cette rue.
Elle arrive 30 minute plus tard au lycée pile quant d'autres élèves commence a y entré, ne désirant attiré l'attention, elle rentre avant que les populaires et les gens normaux ( qui reproduisent tous se que font les populaire) n'arrive. Les portes menant aux classes sont encore fermé, alors son regard court sur l'etendu devant elle, des choix numéroté semble se former:
1- resté au milieu du passage et attiré l'attention --> Ce qui est hors de question
2- partir voir un groupe --> sa mènerait a la destruction de se club par les rumeures des populaires sans oublier le faite de son insociabilité
3- se retiré seul dans son coin au fond de la court
Visiblement et par soustraction, il ne reste plus que la dernière théorie qui reste envisageable, c'est donc ainsi qu'Elena parcourt la court sous les chuchotements pas tres pratique ( puisqu'on distingue clairement les mots) qui commence a se faire pour rejoindre le bout de la court et s'assoir contre le tronc d'un arbre. Des minutes s'écroulent alors qu'elle ne fais rien d'autre que fixé ses chaussures, une contemplation qui fus interrompu par un toussotement, elle ne prend pas la peine de levé la tête puisque cette personne ne s'adresse sûrement pas a elle, et si c'est le cas elle veux juste l'humilier un bon coût.
" ého, je te parle" et bien elle opte pour la deuxième raison, - l'humiliation-, elle aperçoit ses chaussures, des Adidas noire, d'après la grandeur du pied c'est sans doute un garçon. Après quelque seconde ne le voyant ni parler ni partir, elle décide de lever les yeux doucement, un geon noir, t-shirte avec un charabia incompréhensible, et la tête du future Mr. Popularité avec un sourire en coin qu'elle eu le plaisir de décrire sous le nom de : Jack. Elle le fixe du regard sans cilé attendant son châtiment divin.
" ehhh.... Elena c'est bien ça ? " dit il plus comme une affirmation qu'une question, il marque une pause la contemplant comme si il se maudisé lui même pour se qu'il allais dire : "tu es toujours toute seul, viens trainer un peu avec moi ! "Continuât-il
Elle le fixa quelque seconde avec interrogation, pourquoi vient il lui parler, sa n'a aucun sens! Ses yeux virèrent ensuite vers l'ennui et elle rabaissa sa tête vers ses chaussures pour continuer sa contemplation, bien plus intéressante que se garçon qui prépare sans doute un mauvais coup. Jack la regarda abasourdit, elle haussé l'ignorer, cette minable viens de lui passé un vent a lui qui tous se batterais pour passé du temps avec, elle n'allais pas sans sortir comme ça : " alors tu viens?" dit il en serrant son poignée, d'abord trouver son secret, ensuite se vengé.
Elena soupira avant de relevé la tête, visiblement il ne comprend pas que ignoré veut tout simplement dire 'non' alors elle lui explique avec des mots : " je préfère rester seul" dit elle pile en même tant que la cloche eu sonné, un deuxième soupire sortit de sa bouche alors qu'elle se mettais debout et pris son sac, la différence de taille entre les deux étais maintenant évidante, il fessais bien dix centimètres de plus quelle minimum, néan moins sans ajouté un mot elle le laissa la, seul, après s'être fais prendre le plus gros vent que jamais personne ne lui avais mis.
Dans la classe, les chuchotements allaient bon train alors au'Elena tentais tant bien que mal de suivre le court d'histoire le dernier court avant la pause déjeuné, comme à son habitude elle Rejoins la comptine, aucune sause sur la figure, première étape franchis, elle prend son plateau puis part vers sa place initiale mais avant d'y arriver elle fais bousculer par un gars, elle le regarde cinq seconde le temps pour lui de l'insulter puis continus son chemin. Mollement et avec aucune envie elle prend la première bouchée d'une obéraient fourré avec un je ne sais quoi qui n'a pas l'air super bon. soudain une nausée s'empare d'elle, un goût qui ressemble fortement à celui du lait caillé la titille et elle ne peut se retenir d'avantage avant de courir vers l'extérieur du réfectoire, malheureusement elle n'a pas le temps d'arriver jusqu'aux toilettes qu'elle vomis le tous, " c'est dégoûtant " s'écriaient quelques filles alors que d'autre rigolais d'elle, on effet presque tous le réfectoire l'avais suivie pour assister à la petite scène, certain avaient même des portables dans la main pour filmé,
" alors notre petit cadeau t'a plus, j'espère que tu apprécies le lais caillée " cria un garçon en rigolons, elle se relève alors que les moqueries continue, elle les fixe cinq seconde se disant a quelle point ils sont bêtes avant qu'un surveillons n'arrive et que les élèves s'éparpille, une mine de dégoût s'affiche sur son visage alors qu'il contemple le vomie au milieu du couloir, son regard se pose ensuite sur Elena: " tu devrais aller a l'infirmerie, jeune fille", elle acquise d'un signe de tête, alors que ce dernier ne parte appeler le pauvre concierge.
Elena après être partit se lavé avais passer une bonne heure allonger a l'infirmerie, "autant en profiter " se dit-elle, alors allongé, elle fixé le plafond, ses pensées métigeant du passé au présent, en peu dire que beaucoup de choses avaient changer, un sourire amer passa sur son visage, oui elle avais terriblement changée, et elle ne regrette pas le moins du monde puisque c'est se qu'elle avait elle même décidé, peut être es pour le meilleure ou bien pour le pire, mais en moins on ne pouvais plus la trempé et même si on s'acharnais sur elle maintenant sa ne sera jamais pire que l'hypocrisie et les coups de poignard dans le dos.
Après deux heure Elena avais fini par retourner en court, par 'chance' la vidéo d'elle qui vomissé avait cerculer dans tous le lycée grâce a la merveilleuse invention qu'est le web, elle passa ainsi les deux dernière heures a recevoir des petit mot d'encouragement .... Vous y avez crus? Et ben non, elle avais le plaisir de voir tous les élèves faire semblant de vomir a son passage ou bien lui parlé de l'odeur fétide de son halaine, se qui étais complètement faux puisqu'elle c'etais lavé et mastiquer quatre chuingum a la monthe minimum, après sa elle sortit du lycée, dix minute plus tard elle entendus quelqu'un hurlé mais ne fis attention et continua son chemin, quant soudain quelqu'un lui attrape le bras, instinctivement elle se retourne, le garçon devant elle et plier en deux presque a boue de souffle il prend une grande bouffé d'air avant de remonté sa tête d'un coup laissons apparaître un Jack plus beau que jamais les joues légèrement rosé du a l'effort.
" j'ai remarqué que tu prenais toujours cette route, on habite du même coté, alors autant y aller ensemble" dit il en la fixant, espérant récolté des informations durant le trajet
" j'ai l'habitude de rentré tranquillement" répondit Elena espérant qu'il la laisse tranquille, jack compte a lui se contenté de serré le point pour objective rester gentille tant qu'il n'a pas se qu'il cherche : " et bien sa te changera un peu" .
Elle se retourna pour partir mais il ne céda pas et commencé a marché a côté d'elle
" il fais beau aujourd'hui, non?" dit il essayant de la faire parler, un vent, "dit sa te dirrais de faire un petit détour" ... de la pluie
" tiens et si on allais monger un bout? " ..... Une tornade
Le reste du trajet se fois ainsi en silence, Elena ignorant royalement Jack qui au fond de lui bouilloné de rage. Arriver chez elle, elle ne lui dis même pas au revoir et rentra puis referma la porte le laissant en plan.
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Voilaaaaa merci d'avoir patienté, laissez votre avie, a pluuuuuuus

la fille minableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant