j'entre dans la boite de nuit seul sans personne pour me soutenir moralement j'avance doucement dans cette endroit la musique était à fond. Des gens dansaient sur la piste il une légère odeur d'alcool mélangée à la transpiration. Cette senteur me pique le nez et je retient mon souffle quelques secondes pour pas respirer cette odeur. Je me sens noséu mais je te cherche du regard. Je te trouve pas, je replace ma mèche qui tombait devant mes yeux et la glisse derrière mon oreille avant de décider d'aller au bar pour boire un petit truc. Je m'approche et le barman me demande ce que je bois. Je lui réponds en criant à cause de cette satanée musique que je supporte pas même si je sais que tu l'adores. Moi je la deteste à cause de toi. Tu t'approches, je te detaille à nouveau, ton jean bleu marine que tu aimes tant. Mon dieu j'aimerais lui déchirer, je deteste ce vêtement sur lui. Tu portes ma chemise fermée. J'ai cherché partout avant de me rappelles que tu l'avais gardé quand tu m'as quitté. Tu te colles, je suporte pas, tu me murmures comme quoi tu as changé mais je ne suis pas convaincu de cela même si un voix intérieure me disait le contraire. Je me haies et je te haie encore plus. Tu me tires sur la piste, tu essayes de me faire danser mais ce soir j'ai pas la tête a ça. Je veut juste parler pour clarifier les choses avec toi, et, au moment où je m'approche tu pars. Au fond de moi, une voix crie de toutes ses forces;
Hey tu n'avais qu'à pas rester, tu m'avais presque dans la poche. Ça aurait pu être si simple.. Tu compliques tout, maintenant c'est trop tard.
Je sors de la piste, mon ventre me fait mal, c'est ta faute tout est toujours ta faute. Je t'aime et te déteste pour ça. Je décide de partir contrarié, mais tu me retiens par le bras et me tires dehors. Je te suis par la force et tu me dis d'une voix douce "Je veux que l'on se remette ensemble." Je te réponds d'une voix tremblante, "Tout est compliqué avec toi. Tu aurais pu rester avec moi au lieu de partir en me disant que tu m'as laissé pour quelqu'un d'autre.Je te déteste. Laisses moi te dire que les gens comme moi font une partie, et quand tu as fini de jouer parte goodbye je pars en courant sans me retourner.