Once upon a time Wendy

Il était une fois

Il était une fois une petite fille de 13 ans, dormant dans sa chambre d'enfant, quand une ombre entra par la fenêtre et les entraina vers un monde imaginaire, où la petite fille rencontra un jeune garçon de de quatre ans plus âgé qu'elle.

Mais, toutes les bonnes choses ont une fin.

Aujourd'hui, la petite fille à 17 ans.
Elle est plus belle qu'auparavant.
Plus forte.
Et elle a grandit.

Cette jeune fille, c'est moi.
Et l'innocence de l'enfance m'a quitté le jour où je les ai perdu, il y a deux ans.

Je me balade maintenant dans les rue de Londres, toujours en guerre.

J'ai perdu mon père. Il est mort durant les deux ans que j'ai passé Neverland.
Il est décédé au front, me croyant morte.

Quand je suis rentré à la maison, seule, ma mère n'en n'a pas cru ses yeux.

Puis une fois rentré dans notre veille maison, nous nous sommes, toutes les deux, rendu compte qu'il nous manquait l'essentiel.

Mon père et mes frères n'étaient pas là.

Elle m'a dit qu'il était mort au front.
Moi je lui est mentit, je lui est dit que le groupe d'enfants avec qui j'étais avais été attaqué, ce qui est à moitié vrai, Mais je lui est aussi dit que nous étions en France, alors que nous étions bien loin de la Terre.

Mais ça fait deux ans maintenant.

Ma mère et moi sommes très proche, mais elle est gravement malade.

Mon arc à la main, mon masque sur le visage que me rappelle :

- Ton arc plus à droite. Dit-il à la petite fille de 13 ans.

Elle décoche la flèche que arrive dans le blanc de la cible.

- Je suis nul ! Se plains-t-elle.

- Vide ton esprit et tu y arriveras. Réessaie !

La petite fille vise, ne pense plus à rien et décoche la flèche bleu qui se plante au centre de la cible.

- Tu vois, Wendy, je te l'avais dit.

- Merci Peter, tu es comme un grand frère pour moi.

Ce que j'étais innocente ! Me vider l'esprit ne suffit pas, cela ne me suffit plus.
La colère, la tristesse, voilà ce qu'il me faut.
Peter avait raison sur un point, l'amour est une faiblesse.

J'arrive devant la pharmacie. Je veux aider la seule personne que je me permet d'aimer. Et le manque d'argent ne m'arrêtera pas là.

Il y a quatre en je n'aurais j'aimais envisagé faire ce que je m'apprête à faire.
J'étais trop innocente, gentille, naïf et puérile.
Mais j'ai changé... comme lui. Les raisons sont juste différentes.

J'ouvre brusquement la porte du bâtiment, mon arc bandé.
Il ne m'ont pas pris au sérieux. Je les comprends, plus personne n'utilise d'arc maintenant.
Ils ne savent pas ce que les attends.

Je ressors, quelque minutes plus tard, mon arc dans une main, un sachet de médicaments dans l'autre.

Je me retourne une dernière pour voir les corp soufrant des employer de cette pharmacie, et de certains clients ne s'étant pas enfuis.
Il n'y a que des blesser, aucun mort, je ne suis pas une meurtrière.

Je cours jusqu'à chez moi. J'ouvre la porte de la chambre de ma mère et lui montre le sac.

Elle sourit d'abords puis réfléchit.

- Où les as-tu trouvé.

- À la pharmacie.

- Comment les as-tu eu ?

- Je les ai acheté... En faisant des économies.

- Ne me ment pas.

Je ne réponds.

- Comment les as tu eu !? Crie ma mère.

- Je les est volés...

- Monte dans ta chambre !

- Maman...

- Dans ta chambre !!!

- Tu vas les prendre au moins ?

- Non ! Je vais les rendre.

- Mais...

- Monte !!!!

Le lendemain ma mère à rendu les médicaments. Et après avoir vu aux information ce que j'avais fait à la pharmacie, elle c'est suicidé.

Elle est est morte par ma faute, comme mes frères.

Et j'en souffre... parce que je les ai aimés. L'amour est un poison mortel, et plus jamais je n'aimerais quelqu'un !

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Chapitre court, puisque j'ai décider de faire des petits chapitres pour ce livre.

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